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Voile: les images de la spectaculaire collision au départ de The Ocean Race Europe, deux bateaux endommagés

Voile: les images de la spectaculaire collision au départ de The Ocean Race Europe, deux bateaux endommagés

Le Parisien11-08-2025
Une spectaculaire collision au large de la ville allemande de Kiel a émaillé dimanche le départ de la deuxième édition de The Ocean Race Europe, course par étapes en équipages mettant aux prises plusieurs des voiliers du Vendée Globe.
Deux minutes après le passage de la ligne de départ, alors qu'ils naviguaient bord à bord au près serré (en remontant le vent), le bateau Holcim-PRB de la Néerlandaise Rosalin Kuiper et le Mapei de l'Italien Ambrogio Beccaria se sont heurtés avec leurs appendices latéraux.
Dans un accident rarissime avec ce genre de bateaux bourrés de technologie, le foil babord de Holcim-PRB a déchiré la voile d'avant et la grand-voile de Mapei, tandis que ce dernier à percé la coque de son concurrent possiblement avec son foil ou avec son outrigger (un tube latéral contribuant à soutenir le mât).
🚨 ALERTE | OCEAN RACE EUROPE
Deux bateaux victimes d'une spectaculaire collision au départ de The Ocean Race EUROPE.#theoceanrace #theoceanraceeurope pic.twitter.com/DMh0XEajV0 — Le Fil Express (@LeFilExpress) August 10, 2025
Les deux monocoques ont très vite fait demi-tour pour rentrer au port, où ils devront décider des possibilités de réparer et de repartir en course, lors de cette étape ou de la suivante.
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Une « réclamation » déposée
Le directeur de la course Phil Lawrence a indiqué qu'« une réclamation officielle avait été déposée par l'équipe Holcim PRB contre Allagrande MAPEI Racing » et que « cette affaire serait traitée par le jury international à une date qui reste à déterminer ».
« À ce stade, nous comprenons que les deux équipes espèrent reprendre la course et nous devrions en savoir plus à ce sujet lundi », a-t-il déclaré dans un communiqué publié sur le site officiel de l'épreuve.
Le skipper d'Allagrande MAPEI Racing Ambrogio Beccaria a exprimé sa déception. « Mon coeur est triste. Nous avons travaillé si dur pour nous préparer. Je n'ai pas de réponse. C'est aussi très triste pour notre concurrent. Nous sommes en train d'inspecter le bateau. Nous n'abandonnerons certainement pas tant qu'il y aura une chance », a-t-il déclaré.
Au total, sept voiliers, avec des équipages mixtes et internationaux, avaient pris le départ de cette première étape entre Kiel et Portsmouth, sur la côte sud de l'Angleterre.
Déclinaison de la fameuse Ocean Race, une course par étape en équipages autour du monde, The Ocean Race Europe est un périple de 4.500 milles (8.300 km) autour du continent, de la Baltique à l'Adriatique, à bord d'Imoca, les monocoques du Vendée Globe.
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Les dessous de la liste de l'équipe de France pour l'Euro Wagner et l'Allemagne jouent la même musique Les champions du monde 2023 avaient croqué du chocolat l'an dernier en finissant quatrièmes sur le parquet olympique de Paris avant de dire au revoir à Gordon Herbert, l'homme qui a remis la Mannschaft sur le chemin des médailles. Pour son successeur, l'Espagnol Alex Mumbru, l'aventure commence en eaux calmes avec une seule défaite en préparation, samedi contre la Serbie (81-91). Lieutenant de Dennis Schröder depuis ses débuts en sélection, Franz Wagner est prêt à prendre les rênes. L'ailier d'Orlando est bouillant depuis le début de l'été (19,5 points de moyenne) après avoir frôlé le All-Star Game NBA (24,2 points et 5,7 rebonds). « Je pense que la Serbie et la France sont les deux équipes les plus fortes. Mais nous avons aussi de bons joueurs, et nous allons à l'Euro pour gagner et être compétitifs », a lâché Mumbru. 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Le départ de Denis Zakaria, le capitaine suisse de Monaco, vers le club saoudien d'Al-Ahli est en suspens. En cas de transfert, l'ASM songerait au milieu niçois Hicham Boudaoui. Sous contrat jusqu'en 2028 avec l'AS Monaco, Denis Zakaria (28 ans) reprendra l'entraînement mardi après une journée de repos où il a été beaucoup question de son possible départ dans le club saoudien d'Al-Ahli, prêt à payer une indemnité de transfert d'environ 40 M€. Pour mémoire, le joueur avait été acheté 18 M€ par Monaco à la Juventus Turin, en 2023, pour cinq ans. Pour l'instant, toutefois, le transfert est en stand-by. Il est notamment suspendu à la réglementation concernant les joueurs étrangers autorisés dans les clubs saoudiens. À l'heure actuelle, chaque club saoudien a le droit d'enregistrer huit joueurs non asiatiques dans son effectif, plus deux joueurs supplémentaires âgés de moins de 23 ans. Comment Monaco peut combler le vide laissé par Zakaria en cas de départ vers l'Arabie saoudite Or, Al-Ahli a son quota de joueurs non asiatiques âgés de plus de 23 ans : Édouard Mendy, Roger Ibanez, Mehri Demiral, Franck Kessié, Enzo Millot, Galeno, Riyad Mahrez et Ivan Toney. Pour que Zakaria puisse signer à Al-Ahli, il faudrait un départ de l'un de ces huit-là et, si possible, celui de l'Ivoirien Kessié qui joue au milieu comme le Suisse. Mais Kessié, qui est le capitaine de cette équipe, ne veut pas partir. À ce jour, aucune offre écrite des Saoudiens pour le transfert de Zakaria n'a donc été paraphée par l'AS Monaco. Lundi soir, le dossier semblait même sérieusement se compliquer, le profil du joueur étant source de désaccords au sein du board d'Al-Ahli, dont certains membres se seraient avancés à son sujet en prenant des intiatives individuelles. Pour le moment, Zakaria est donc toujours monégasque, il sait la situation compliquée et le transfert aléatoire. Mais le montant du contrat de trois ans qui lui est proposé (7 M€ net la première année, 8 M€ la deuxième et 9 M€ la troisième) a de quoi le faire réfléchir S'il fallait le remplacer, Monaco penserait au Niçois Boudaoui Si Zakaria devait quitter Monaco, le club du Rocher le remplacerait certainement car Adi Hütter veut avoir cinq milieux de terrain défensifs à sa disposition. Si le Suisse part, il lui restera Lamine Camara, Paul Pogba (dont le retour est attendu en octobre), Mamadou Coulibaly (21 ans) et Aladji Bamba (19 ans), deux jeunes joueurs, tandis que Soungoutou Magassa devrait être transféré. Il en faut donc un cinquième et l'ASM penserait au Niçois Hicham Boudaoui (25 ans), sous contrat avec le Gym jusqu'en 2027. L'Algérien est le meilleur joueur du début de saison raté de l'OGC Nice et l'un de ses éléments les plus en vue depuis trois ans. Son activité au milieu, sa dextérité balle au pied, son coup de reins, ses choix de passes et sa personnalité lui permettent de sortir régulièrement du lot dans l'équipe de Franck Haise. Le baptême réussi d'Eric Dier en Ligue 1 avec Monaco Contre Toulouse (0-1), samedi, il a une nouvelle fois été le meilleur et même le plus dangereux, en forçant Guillaume Restes à un superbe arrêt sur une frappe de 20 mètres. Il serait une excellente recrue pour Monaco, mais son départ serait une catastrophe pour les Aiglons. Arrivé à Nice en septembre 2019 en provenance du club algérien de Paradou, Boudaoui a plusieurs fois fait part de son envie d'aller voir ailleurs. Mais on ne voit pas comment les dirigeants niçois pourraient s'en séparer dans les quinze derniers jours du mercato, après ce début de saison et sachant que Morgan Sanson, l'autre taulier du milieu avec Boudaoui, est blessé. Interrogée hier sur le sujet, la direction du Gym a dit n'avoir eu aucun écho sur un intérêt de Monaco pour son joueur et que de toute façon « Nice veut garder Hicham ». Mais si Ineos, l'actionnaire majoritaire du club azuréen, recevait une proposition de l'ASM pour Boudaoui qu'il souhaitait accepter, les dirigeants s'y plieraient. On est encore loin de ce scénario et tout le temps que Zakaria ne sera pas parti, Boudaoui restera à Nice.

« Un Grand Prix intense » : Quentin Delapierre sur la victoire française, malgré de la casse sur le bateau et des blessures
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« Un Grand Prix intense » : Quentin Delapierre sur la victoire française, malgré de la casse sur le bateau et des blessures

Pilote de l'équipe de France de SailGP, Quentin Delapierre revient sur le succès décroché dimanche en Allemagne, le premier des Bleus cette saison. Au bout de sa troisième finale après San Francisco et New York, l'équipe de France a signé dimanche à Sassnitz (ALL) son premier succès de la saison sur le circuit SailGP. Pilote d'un F50 tricolore passé pas loin d'un nouveau forfait après avoir dû renoncer au Grand Prix de Portsmouth le mois dernier, Quentin Delapierre revient sur ce week-end riche en émotions. « Quelles sont les clés qui vous ont permis de décrocher ce succès ?Le vent était changeant, on avait vraiment à coeur de jouer avec, d'être opportuniste et on l'a plutôt bien fait. Après nos deux premières finales, durant lesquelles on avait pointé en tête avant de terminer troisièmes, il y avait un peu de frustration. Au départ de celle-ci, on avait donc une détermination encore plus forte. On a pris un bon départ, ce qui nous a lancés sur de bons rails et avec un peu de réussite ça a fini par passer, donc on était très heureux. « J'ai perdu le contrôle du bateau et je me suis fait secouer comme une marionnette » Cette victoire vient concrétiser votre montée en puissance cette vient laver cette frustration engendrée par la casse de notre aile à Portsmouth, où on a perdu beaucoup de points alors que ce n'était pas de notre faute. Rebondir avec une victoire, c'est assez génial. Cela vient également concrétiser les changements qu'on a pu faire ces derniers mois. On a réorganisé l'équipe, avec l'arrivée de Philippe Mourniac en tant que coach, épaulé par Lucas Delcourt, notre analyste de performance. Tous les deux fonctionnent très bien, ils arrivent à nous amener des choses très concrètes. Dimanche, lors de la première manche, j'ai vu quelque chose sur la droite du plan d'eau. Je voulais y aller et Philippe, qui peut nous parler en direct pendant les manches, m'a dit : "Vas-y à fond ! Je suis d'accord avec toi, il y a plus d'air à droite." On est passé de la 10e à la 4e place, ce qui nous a permis d'entrer en finale. Votre week-end avait pourtant mal débuté, avec une grosse frayeur à l'entraînement safran a cassé net dans une situation pourtant anodine. J'ai perdu le contrôle du bateau et je me suis fait secouer comme une marionnette. Ça m'a valu quelques hématomes aux jambes, mais l'hôpital m'a heureusement confirmé que je n'avais rien de cassé. Au niveau du bateau, il y avait pas mal de boulot et le choc avait été tellement violent qu'on a préféré faire un check au scan pour s'assurer que la structure carbone n'avait pas de fissure. On a un peu retenu notre souffle jusqu'au dernier moment, d'autant qu'on a dû changer un safran à la dernière minute après avoir repéré une fissure. C'était un Grand Prix intense ! (il sourit) Bateau cassé sur le port, lourdes dettes, et bataille judiciaire : le rêve brisé d'un marin Quels sont vos objectifs pour la fin de saison, à commencer par la manche à domicile à Saint-Tropez mi-septembre ?On ne cache pas qu'on veut se qualifier pour la grande finale de la saison et la gagner (à Abu Dhabi fin novembre). Concernant Saint-Tropez, on n'a jamais fait de finale là-bas et on a le couteau entre les dents parce que c'est toujours incroyable de régater devant les Français. Ce serait absolument fantastique de gagner là-bas. Philippe nous a demandé d'essayer de faire une série assez incroyable sur les trois derniers Grands Prix européens (France, Suisse, Espagne), on est concentrés là-dessus. Vous étiez le skippeur du défi français « Orient Express » sur la Coupe de l'America l'an dernier, que pensez-vous des modifications du règlement annoncées la semaine dernière en vue de l'édition 2027 ?Déjà, je suis très heureux que le Challenger of record (Athena Racing) et le defender (Team New Zealand) aient pu s'accorder sur un protocole. En plus, celui-ci est bien né. Il y a des évolutions de la règle, notamment sur les nationalités ou sur les rôles à bord (deux marins ainsi qu'une navigatrice devront être de la nationalité du Challenge), qui sont plutôt des très bonnes nouvelles. Félicitations au defender, qui a été très constructif et a plutôt ouvert la porte à des évolutions qui n'étaient pas forcément dans sa première version. C'est une très bonne chose pour la Coupe et sa pérennité. »

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