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Les matches OM-Gérone et OM-Valence diffusés sur la chaîne L'Équipe

Les matches OM-Gérone et OM-Valence diffusés sur la chaîne L'Équipe

L'Équipe4 days ago
Dans le cadre de sa préparation, l'Olympique de Marseille disputera l'Aircup Tournée Catalogne. Les deux matches OM-Gérone (26 juillet) et OM-Valence CF (29 juillet) seront retransmis sur la chaîne L'Équipe.
Après avoir lancé sa campagne de matches amicaux aux Pays-Bas, face à Maassluis (victoire 0-5) et Charleroi (ce lundi, 18 heures), l'Olympique de Marseille traversera la frontière pyrénéenne. Les Marseillais disputeront deux rencontres, dans le cadre de l'Aircup Tournée Catalogne, diffusées sur la chaîne L'Équipe.
L'OM sera à l'affiche de deux soirées fin juillet : d'abord contre Gérone, au stade Estadi de la FAF en Andorre (samedi 26 juillet, 20h55), puis face à Valence, au Nouveau stade de Tarragone (mardi 29 juillet, 21h10). Les commentaires des matches seront assurés par Candice Rolland et Dave Appadoo.
Le programme et les résultats de la pré-saison 2025-2026 de Ligue 1
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« J'ai vécu des choses que je n'imaginais pas vivre » : les vérités de Tony Estanguet un an après les JO de Paris 2024
« J'ai vécu des choses que je n'imaginais pas vivre » : les vérités de Tony Estanguet un an après les JO de Paris 2024

L'Équipe

time2 hours ago

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« J'ai vécu des choses que je n'imaginais pas vivre » : les vérités de Tony Estanguet un an après les JO de Paris 2024

Pour « L'Équipe », Tony Estanguet, patron de Paris 2024, revisite l'aventure fantastique des Jeux Olympiques et Paralympiques de l'été dernier et lève le voile sur la suite qu'il entend donner à sa carrière professionnelle. Voilà pile un mois, Tony Estanguet a garé son vélo au pied du siège de L'Équipe pour revenir, le temps d'un déjeuner, sur la réussite des Jeux de Paris 2024 qu'il a dirigé de main de maître. L'aventure d'une vie pour le triple champion olympique de canoë C1 (2000, 2004, 2012) qui, au terme de son mandat, le 31 décembre 2024, a pris le temps de se ressourcer en famille, notamment en Afrique du Sud. Une décompression indispensable après douze années intenses. À 47 ans, les propositions ne manquent pas, mais le Palois entend ne pas se précipiter avant d'envisager la suite, dans le sport, mais ni comme président du CIO, dont il est redevenu un des membres en mars, ni comme ministre. Replongez dans notre série « Tony Estanguet, le maître des Jeux » « L'après Paris 2024 n'a-t-il pas été trop difficile ?On s'était préparé au fait que ça s'arrête le 8 septembre (dernier jour des Jeux Paralympiques). On était content que ça s'arrête, quand même. Il y avait de la fatigue, de la tension, donc un vrai soulagement que tout se soit bien terminé. J'étais content de tourner la page, passer à autre chose, même si le service après-vente a été assez long (il est parti le 31 décembre 2024). L'expérience de votre retraite sportive vous a-t-elle servi ?J'ai revécu ce que j'avais ressenti fin 2012 (année de sa retraite sportive). Il y a des parallèles quand on monte très haut dans les émotions et dans les tours et qu'on passe à autre chose. Même si c'étaient des fins programmées, quand ça s'arrête, ça fait quelque chose. Il y a tout un processus de transition. J'ai un peu ressenti ce que j'avais déjà vécu dans une première vie. Ce sont aussi des moments précieux de pouvoir changer d'univers et de passer à autre chose. C'est pour ça que je n'ai pas voulu me précipiter, ne pas retomber tout de suite dans un autre projet trop important. J'ai eu des propositions qui me paraissaient prématurées. J'avais vraiment besoin de calmer le jeu, prendre du recul. « J'ai découvert des univers qui n'étaient pas du tout les miens, politiques, économiques. Je me suis mis en mode éponge, à essayer de comprendre, de progresser, de prendre mes responsabilités petit à petit » Quand vous regardez dans le rétro, que retenez-vous de ces quinze dernières années ?Ce que j'ai adoré dans cette aventure, c'est qu'on est parti d'une feuille blanche, quasiment. J'ai eu cette chance d'être là dès le début, avec Bernard Lapasset (coprésident avec lui du comité de candidature, décédé en mai 2023), Michaël (Aloïsio, directeur général délégué de Paris 2024) et Étienne (Thobois, directeur général). On était au siège du CNOSF (comité national olympique et sportif français), dans un bureau, à quatre autour de la table. C'était fort d'imaginer toutes les étapes, le projet, la stratégie. J'ai découvert des univers qui n'étaient pas du tout les miens, politiques, économiques. Je me suis mis en mode éponge, à essayer de comprendre, de progresser, de prendre mes responsabilités petit à petit. Cette ascension a été un peu exponentielle. Jusqu'à prendre les rênes après l'attribution des Jeux en septembre 2017 ?À partir de l'organisation, ma vie a basculé. J'incarnais, mais il fallait aussi que je sois le patron et celui qui disait oui ou non. Dans la même journée, je devais me prononcer sur des sujets auprès d'acteurs politiques, de sponsors, d'entités sportives en France, à l'international. J'ai aimé essayer en permanence de trouver des consensus, des compromis, résister face à tous ceux qui n'y croyaient pas. Et rester calme, mais déterminé. Est-il possible de trouver un job aussi excitant que patron du comité d'organisation ?Fin 2012, on m'a expliqué qu'il fallait que je fasse le deuil et que je ne retrouverai jamais quelque chose d'aussi beau. Ce que j'ai vécu sur Paris 2024 était largement aussi beau. Donc, aujourd'hui, je ne suis plus dans le fait de dire "ce n'est pas possible de retrouver autant d'intensité". Ce sera très différent, sûrement, et j'ai envie que ça le soit. C'est aussi pour cela que je n'ai pas souhaité m'impliquer plus que ça dans les Alpes 2030 ou dans des projets qui pouvaient ressembler à ce que j'ai vécu sur Paris 2024. Président du CIO ne vous a pas tenté ?Non, non, non. Déjà, l'opportunité ne s'est pas présentée et j'ai du mal à me projeter sur autant d'années. Kirsty (Coventry, élue le 20 mars) est là pour douze ans. Qu'est-ce que je ferai dans douze ans ? Je n'ai pas ce projet en tête de devenir président du CIO. Vous connaissez bien Coventry ?On est arrivés au CIO en même temps (2013). On a passé quelques années à bosser ensemble, dans des commissions. C'est quelqu'un que j'apprécie. Je suis ravi qu'elle préside le CIO. Ça envoie aussi un message de modernité. Pour assez bien la connaître, je pense qu'elle a tout à fait les épaules. Ça m'intéresse de pouvoir me mettre un peu dans sa roue pour l'aider sur des sujets en lien avec l'organisation des Jeux. J'ai développé une expertise assez forte là-dessus. Kirsty Coventry présidente du CIO, un choix très symbolique On parle beaucoup d'héritage des Jeux, pour vous c'est quoi ?Ce n'est pas facile à définir. Déjà, qu'est-ce qu'on entend par héritage ? J'ai répété, rabâché toujours un peu les mêmes messages à Paris 2024. On avait trois grandes priorités. Dans notre vision de 2018, on s'était dit qu'il nous en fallait une autour de la pratique sportive. Comment un comité d'organisation doit essayer, alors que ce n'est pas son rôle, de proposer et mettre en place des programmes ? On a poussé beaucoup de choses : les journées olympiques et paralympiques, les trente minutes de sport à l'école, la SOP (semaine olympique et paralympique), le savoir nager... On a mis des programmes sur pied, on a financé avec notre fonds de dotation beaucoup de choses, avec cette idée de développement de la pratique du sport. Après, chacun est libre de dire si c'était bien ou pas. Je pense que ça a été utile. Sûrement que certains diront que ce n'était pas suffisant. Que vous disent les gens que vous croisez ?"C'est bien vous Tony Estanguet ? Je voulais vraiment vous remercier. Vous ne vous rendez pas compte tellement c'était fort !" Ça m'arrive tous les jours, partout en France, beaucoup à Paris aussi. Alors qu'à Paris, on entend que les gens sont un peu plus individualistes. « Le midi (de la journée de la cérémonie d'ouverture), à la réception avec tous les chefs d'Etat à l'Elysée et les médias, toutes les mauvaises nouvelles s'accumulaient sur mon téléphone. C'était une journée longue et difficile » Comment gérez-vous cette notoriété ?Je ne la recherche pas. J'essaie de ne pas trop me montrer non plus. Ce n'est pas difficile à gérer parce que les gens sont tellement gentils, tellement bienveillants. Ils me disent : "j'ai vu telle épreuve", "c'était incroyable", "j'étais volontaire". Récemment, une histoire m'a quand même un peu ému, un père m'a dit : "mon fils a 5 ans et à chaque fois qu'il voit une personne en fauteuil roulant, il croit que c'est un athlète. Vous ne vous rendez pas compte, il a complètement changé de regard. Il me dit, papa, t'as vu, il y a un athlète. Non, ce n'est pas un athlète, c'est quelqu'un en fauteuil roulant". Le côté un peu peur du handicap et dérangeant a beaucoup changé. Quelles ont été vos plus fortes émotions de Paris 2024 ?Souvent, je parle de Céline Dion. Parce que pour moi, cette première journée de cérémonie a été la plus dure des douze années. Le réveil à 6 h 30 avec la même personne qui, la veille à 22 heures, nous dit "c'est bon, on n'aura pas de pluie" et qui, le matin, nous dit "ben non en fait on ne comprend pas bien ce qui s'est passé, mais a priori, on va y avoir droit". Et derrière, le sabotage de la SNCF et les pannes toute la journée (1). C'était un gros, gros stress. Je devais faire mine que tout allait bien. Le midi, à la réception avec tous les chefs d'État à l'Élysée et les médias, toutes les mauvaises nouvelles s'accumulaient sur mon téléphone. C'était une journée longue et difficile. Il y avait douze tableaux pendant la cérémonie, pour les nerfs c'est long, sans jamais savoir si chaque tableau va pouvoir avoir lieu à cause de la météo. Quand Céline Dion arrive, je me dis que c'est le dernier. Donc là je peux profiter, vivre. C'est vrai que c'était un beau finish. Et on se dit que si on a survécu à ça, on est inarrêtable. Avez-vous des regrets, notamment le choix du breaking en sport additionnel (2) ?Non, je n'ai jamais trop fonctionné comme ça parce que je ne voulais pas entrer là-dedans. Je pense que j'ai bien fait. Et je ne suis pas sûr que si on avait pris d'autres sports additionnels, ça aurait pu être mieux. À ce moment-là, c'était pour moi la meilleure décision à prendre. On ne peut pas faire l'unanimité. Entre louanges sur place et critiques devant les écrans, le breaking a connu une première intrigante Êtes-vous déçu par la baisse du budget des Sports ?Bien sûr qu'il y a eu de la déception, mais aussi de la compréhension. Si on en est là, c'est que l'état des finances publiques est difficile. Mais je continue de prôner qu'on doit défendre le sport et sa place dans la société. Une étude parue début 2025 (sur l'impact social et sociétal du sport, de l'Observatoire des métiers du sport) dit que 1 € investi dans le sport égale 13 € d'économies sur la santé, le bien-être psychologique, la santé mentale. Si j'ai réussi à Paris 2024, c'est d'abord parce que j'ai appris beaucoup de choses en tant que sportif. Bien sûr, j'ai fait des études, mais je crois vraiment à tout ce qu'on acquiert comme valeurs en pratiquant le sport. Ce n'est pas encore suffisamment reconnu. Les Jeux, j'espère, ont contribué à valoriser le sport. Ce n'est sûrement pas suffisant donc bonne nouvelle, ça va revenir en 2030 (Jeux d'hiver dans les Alpes françaises). « Je ne suis pas sûr d'être capable d'être un bon ministre. (...) Je pense que dans l'univers du sport, j'ai encore plein de choses à apporter » Vous êtes prêt à faire de la politique pour défendre cela ?À chaque fois qu'on m'a sollicité, j'ai répondu présent. Est-ce que ça veut dire que j'ai envie de m'engager en tant que ministre ? Pour l'instant, j'ai dit que je me projetais mieux dans l'univers du sport que dans l'univers politique, tout en étant prêt à travailler avec ces gens-là. Je ne suis pas sûr d'être capable d'être un bon ministre, si c'est ça la question. Donc je préfère aller vers où je pense pouvoir être le plus efficace, le plus utile. Je pense que dans l'univers du sport, le mouvement sportif, j'ai encore plein de choses à apporter. Tony Estanguet a refusé le ministère des Sports du gouvernement Barnier Êtes-vous fier de la réussite de Paris 2024 ?Ce serait difficile de dire que je ne suis pas extrêmement satisfait et fier de voir que la copie est même plus belle que ce que je rêvais qu'elle soit. C'était magique, j'ai vécu des choses que je ne pensais pas vivre, je pensais avoir un peu tout vécu, quand même, avec le sport. Les Jeux, c'était juste exceptionnel et incroyable. C'est une réussite totale que j'ai du mal à expliquer parce que ça a été tellement un combat du début à la fin que j'ai adoré. Il n'y a pas un matin où je me suis levé en me disant que j'en avais marre. Par exemple ?On ne s'en rend pas compte, mais on est dans un pays capable de tout mais qui ne croit en rien. Au début, mon rapport avec les préfets et l'administration, c'était compliqué, un peu comme si "le sportif est gentil, mais il ne va pas nous expliquer comment ça marche". Je peux vous dire qu'à la fin, j'étais tellement impressionné par ce que l'administration française est capable de faire, voir des préfets se mettre au service de la réussite du pays avec des vraies compétences, un vrai pouvoir, une capacité à faire des choses qui n'avaient jamais été faites et qui étaient juste une réussite totale. »

Arrieta, Del Toro et Morgado sur le podium : UAE Team Emirates écrase la Classique d'Ordizia
Arrieta, Del Toro et Morgado sur le podium : UAE Team Emirates écrase la Classique d'Ordizia

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time4 hours ago

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Arrieta, Del Toro et Morgado sur le podium : UAE Team Emirates écrase la Classique d'Ordizia

La formation UAE Team Emirates a confisqué les trois places du podium de la Classique d'Ordizia, ce vendredi. Isaac Del Toro a laissé la victoire à son partenaire Igor Arrieta, quelques instants avant qu'Antonio Morgado ne règle le peloton. Dominer le Tour de France ne suffit pas chez UAE Team Emirates. Tandis que Tadej Pogacar survole la Grande Boucle, la formation émiratie brille lors de courses d'un jour. Ce vendredi, Igor Arrieta et ses équipiers ont écrasé la Classique d'Ordizia. Vainqueur de sa première course, l'Espagnol s'est imposé devant Isaac Del Toro et Antonio Morgado, deux autres éléments de l'équipe UAE. Un monopole du podium instauré en deux temps. Del Toro a d'abord laissé la victoire à son partenaire, alors que les deux hommes s'étaient isolés à l'avant de la course. Seize secondes derrière, Morgado a réglé le peloton pour devancer Diego Ulissi (XDS Astana Team) ou le Français Clément Alleno (Burgos Burpellet BH). Au palmarès, Arrieta (22 ans) succède à un collègue, Jan Christen, et à Marc Hirschi, qui évoluait chez UAE Team Emirates lors de sa victoire en 2023. En 2025, 19 coureurs de cette formation ont levé les bras.

Mercato : le milieu de l'Atlético de Madrid Thomas Lemar prêté à Gérone ?
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time4 hours ago

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Mercato : le milieu de l'Atlético de Madrid Thomas Lemar prêté à Gérone ?

Le milieu français l'Atlético de Madrid Thomas Lemar (29 ans) fait l'objet d'un intérêt de Gérone. Un prêt est à l'étude. À deux ans de la fin de son contrat, Thomas Lemar semble se diriger vers un départ de l'Atlético de Madrid cet été. Le milieu de terrain (29 ans) n'est plus un premier choix chez les Colchoneros depuis la rupture du tendon d'Achille dont il avait été victime au mois de septembre 2023. Il s'entraîne sans problème depuis six mois et il est en quête d'un rebond après un dernier exercice frustrant - seulement huit apparitions toutes compétitions confondues. La piste la plus concrète mène à Gérone. Des discussions pour un prêt sec du champion du monde 2018 sont en cours.

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