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Neom s'attaque à l'attaquant de Nice Evann Guessand

Neom s'attaque à l'attaquant de Nice Evann Guessand

L'Équipe3 days ago
INFO L'ÉQUIPE. Le club saoudien Neom poursuit son ambitieux recrutement en Europe. Dernier dossier ouvert en date : Evann Guessand. Des discussions avec l'OGC Nice ont débuté.
Neom espère encore accueillir des joueurs francophones. Après avoir recruté Alexandre Lacazette début juillet, le club entraîné cette saison par Christophe Galtier suit Ismaël Doukouré (Strasbourg), Axel Disasi (Chelsea), et désormais Evann Guessand.
Le club saoudien a entamé des discussions avec l'OGC Nice pour faire signer l'attaquant de 24 ans. International ivoirien (10 sélections, 1 but), Guessand s'est révélé en Ligue 1 cette année en inscrivant 13 buts et en délivrant 10 passes décisives en 42 rencontres.
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« Une des meilleures nouvelles qui sont arrivées au jeu ces derniers temps » : entre l'esport et les échecs, un mariage qui arrange tout le monde
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L'Équipe

timean hour ago

  • L'Équipe

« Une des meilleures nouvelles qui sont arrivées au jeu ces derniers temps » : entre l'esport et les échecs, un mariage qui arrange tout le monde

La tenue d'un tournoi d'échecs en marge de l'Esports World Cup, à compter de ce mardi, acte un nouveau rapprochement entre le noble jeu et le sport électronique. Deux disciplines qui se tournent autour depuis des années et ont tout pour s'entendre. Sur le planning de l'Esports World Cup, la ligne du programme saute aux yeux, calée entre une compétition de Call of Duty et d'Overwatch. Du 29 juillet au 1er août, le festival saoudien de gaming, aux moyens pharaoniques, sera le cadre d'un tournoi... d'échecs. D'une ampleur rare, même, puisque le gratin sera de la partie, de Magnus Carlsen, meilleur joueur de l'histoire, à Hikaru Nakamura et Fabiano Caruana, ses plus proches poursuivants au classement mondial, pour se partager le cash prize de 1,5 M$. Tout le monde voulait en être : l'occasion était trop belle pour célébrer le mariage lucratif entre le noble jeu et le sport électronique, qui se rapprochent, presque irrémédiablement, depuis des années. Dans le calendrier échiquéen, l'EWC supplante les finales du Champions Chess Tour, un circuit créé en 2020 par Carlsen en personne. Mais dans son nouvel écrin, au coeur d'un été d'esport, le tournoi devrait avoir un tout autre éclat et, surtout, toucher un nouveau public. À Riyad, les échecs seront en effet traités comme n'importe quel autre jeu : les matches se feront sur support électronique - en l'occurrence des tablettes -, devant du public et les performances des joueurs aux tournois rapporteront des points à leurs organisations respectives pour la très lucrative compétition par clubs. Des clubs pour les stars C'est d'ailleurs la grande nouveauté amenée par l'EWC : la plupart des top joueurs ont été signés par des clubs emblématiques de l'esport, dont ils porteront les couleurs sur la compétition. « Je pense que c'était une des meilleures nouvelles qui sont arrivées au jeu d'échecs ces derniers temps, s'enthousiasme Maxime Vachier-Lagrave, actuel 19e joueur mondial, ancien n° 2, recruté en février par Team Vitality, l'une des plus grosses écuries françaises. C'est hyper motivant de représenter un club, parce que c'est quelque chose que je ne connaissais pas, ça motive pour donner le meilleur de soi-même. » « Aller sur les échecs, ça nous a semblé être une évidence, révèle Nicolas Maurer, président de Team Vitality, qui compte bien sur son nouveau poulain pour lui rapporter des points précieux dans la compétition par clubs. C'est de la compétition qui a une vraie connexion avec ce que nous, on fait au quotidien. » En 2022, Vitality avait déjà envisagé de recruter « MVL », lorsque premier site mondial d'échecs, planchait sur une ligue entre clubs d'esport, qui se serait étendue sur plusieurs mois. Un projet finalement avorté, mais qui prouve que les prises de contact entre les deux mondes commencent à dater. Plus récemment, en 2023, les échecs faisaient d'ailleurs partie des jeux sélectionnés par le Comité International Olympique pour faire partie de l'Olympic Esports Week à Singapour. Deux « sports cérébraux » Ces rapprochements apparaissent logiques, tant l'esport et les échecs - souvent rangés dans la même catégorie des « sports cérébraux - se ressemblent dans la pratique du haut niveau et le volume d'entraînement, surtout au vu de la place grandissante prise par les ordinateurs dans l'entraînement sur 64 cases. « Je pense qu'on a les mêmes remarques lorsqu'on est associés au sport : on nous dit qu'il n'y a pas la dépense physique qui nous permet d'être classifié en tant que tel, restitue Maurer. Mais quand on prend du recul, c'est de la compétition de haut niveau. La préparation, tout ce qui va nous permettre d'accéder à la performance ressemble beaucoup à ce que nous connaissons. » « Il y a une ressemblance assez simple, c'est qu'un joueur d'esport va passer plusieurs heures à « tryhard » (à s'entraîner et à bosser la théorie) le jeu par jour, complète MVL. Exactement comme aux échecs. » Avec l'esport, l'Arabie saoudite a trouvé son nouvel outil de soft power Les similitudes vont même plus loin sur les parties à cadences rapides, devenues les plus populaires en ligne, du blitz (dix minutes par joueur) au bullet (trois minutes ou moins), voire à l'hyper bullet (30 secondes). « Il faut être hyper vif à la souris, précis, et en même temps, réfléchir à ce que tu fais, expose le grand maître Jules Moussard, récemment signé par le club français Aegis, qui a fait de cette variante sa spécialité. Les mecs qui sont les meilleurs, je ne serais pas surpris que ce soit des monstres aux jeux vidéo, il y a énormément de liens. » Le double champion de France d'échecs, qui participera au tournoi de la dernière chance pour obtenir l'une des quatre places restantes à l'EWC à partir de ce jeudi, sait de quoi il parle : pendant son adolescence, il passait énormément de temps sur Starcraft et League of Legends, deux jeux phares de l'esport, où il est passé proche d'une carrière semi-pro. Si la pratique des deux disciplines se rapproche, logiquement, leur public aussi. Ces dernières années, les contenus liés aux échecs ont fleuri sur Twitch, plateforme initialement très liée au gaming. Parmi les plus gros vidéastes de France, Inoxtag (Inès Benazzouz, 9,2 M d'abonnés sur Youtube) a dernièrement organisé des tournois d'échecs entre influenceurs. Commentés par son coach, le maître international Julien Song, ses parties ont réalisé des audiences impressionnantes. Des compétitions à réinventer Pour le petit monde des 64 cases, l'intérêt d'une association avec des créateurs de contenu est le même que celui avec l'esport : gagner en visibilité tout en dépoussiérant l'image de la discipline. « Pour beaucoup de joueurs, il y a cette idée de vouloir moderniser le jeu, afin d'avoir une vision plus long terme, de pouvoir faire vivre les échecs avec leur temps », confirme Vachier-Lagrave. Un besoin d'autant plus urgent que ces dernières années échiquéennes ont surtout été animées par les polémiques, entre les accusations de triche contre Hans Niemann et le refus de Magnus Carlsen de défendre sa couronne de champion du monde. Le Norvégien, qui a lui-même été signé par Team Liquid, s'est régulièrement plaint de l'état des compétitions internationales, jugeant les parties demandant des mois de préparation, qui ont pourtant fait la renommée du jeu, trop longues et obsolètes. Au point d'être aujourd'hui en guerre froide avec la FIDE, la fédération internationale. L'EWC lui offre, comme à tous ses concurrents, de nouvelles perspectives hors de ce giron trop classique. « Avoir un circuit esport qui se met en place, ça permet aussi aux joueurs d'échecs d'établir un rapport de force un peu plus étroit avec les instances dirigeantes, acquiesce Vachier-Lagrave. Maintenant, on a d'autres options, donc on a plus à être les pantins, en quelque sorte, des organisations internationales. » Pour que ce contrepoids continue à exister, le rapprochement à court terme avec l'esport va devoir durer dans le temps, voire prendre de l'ampleur. Ce qui n'est pas gagné d'avance, puisque pour l'heure, la liste des compétitions impliquant des clubs se limite à la simple EWC. Pour qu'un circuit sur l'année se développe, il faudra donc que la FIDE elle-même, ou un autre organisateur soit moteur dans sa création. Sans quoi le contrat de la plupart des joueurs avec leurs écuries d'un nouveau genre pourrait se terminer au terme de l'été saoudien...

« On repart sur un vrai projet, séduisant » : avec les contestataires et d'anciens joueurs, Nîmes veut tourner la page Rani Assaf
« On repart sur un vrai projet, séduisant » : avec les contestataires et d'anciens joueurs, Nîmes veut tourner la page Rani Assaf

L'Équipe

timean hour ago

  • L'Équipe

« On repart sur un vrai projet, séduisant » : avec les contestataires et d'anciens joueurs, Nîmes veut tourner la page Rani Assaf

Le désengagement de Rani Assaf et le nouveau projet qui se met en place au sein du club gardois ont réveillé la ferveur locale, malgré la relégation en National 2. Autour de la Bastide, c'est le calme plat. Le centre d'entraînement des Crocos s'apprête à accueillir la reprise de l'équipe première et, alors qu'on aurait pu s'attendre à une certaine effervescence, sur place, seul le lointain bruit d'une tondeuse et les injonctions étouffées d'un animateur du camping voisin viennent troubler le concert assourdissant des cigales. Sur le parking, derrière les grilles closes, seuls quelques pancartes griffées du logo d'anciens équipementiers et quelques minibus aux couleurs du club rappellent qu'ici, on joue au foot. En ce vendredi midi, rien ne témoigne, à première vue, de la ferveur qui renaît, en ville, après des semaines d'incertitudes et des années d'errance. « Depuis un mois, un mois et demi, c'est redevenu le sujet du moment ici », confirme Patrick Fustier, coprésident du collectif Sauvons le Nîmes Olympique, installé sur la terrasse du Victor Hugo, le bar où est née l'association en septembre 2023 dans un mouvement de protestation contre le président Rani Assaf, en poste depuis 2016. Le Nîmes Olympique fait peau neuve et mise sur le local Le verdict de la commission d'appel de la DNCG, tombé trois jours plus tôt - engagement de Nîmes en N2 après une exclusion des Championnats nationaux prononcée en première instance -, a été vécu comme un soulagement par les supporters. Parce que la convention qui liait la SASP, présidée par Assaf, et l'association a été résiliée fin juin, actant le départ de celui que tout le monde, ou presque, sur place, tenait pour responsable des maux des Crocos (contacté par SMS, Rani Assaf n'a pas donné suite à nos sollicitations). « Malheureusement, au Nîmes Olympique, quand on se coupe des supporters, qui sont l'ADN du club... Ç'a fait de la peine à tout le monde de voir le club descendre en N2 quasiment dans l'anonymat, regrette l'idole locale Renaud Ripart. Ça a été des années très difficiles. » Qu'importe, alors, dans le coeur des passionnés, que Nîmes ait connu, sportivement, sa troisième relégation depuis le printemps 2021 et les dernières heures en Ligue 1. « On repart sur un vrai projet, séduisant. Alors oui, c'est en N2, mais ça aurait pu être bien pire », balaie Dimitri Pialat, vice-président du collectif, loin de verser des larmes de crocodile après le départ d'Assaf. Dans le sillage de l'entrepreneur local et nouveau président Thierry Cenatiempo, association, collectivités, anciens joueurs, entrepreneurs et supporters ont fait front pour sauver ce qui pouvait l'être. Jusqu'à présenter un budget légèrement supérieur à 3 M€, adossé à plus de 2000 promesses d'abonnements, pour finir de convaincre la DNCG. Une nouvelle page s'ouvre, donc, dans la préfecture du Gard, où tout est plus ou moins à reconstruire. « On arrive sur un projet de renaissance, après trois descentes en quatre ans : l'objectif, c'est de stabiliser le club et, dans un futur proche, de le redorer un petit peu, le remettre à sa place », confirme le nouveau directeur sportif Anthony Dupré, 30 ans, à peine plus jeune que l'entraîneur Mickaël Gas (32 ans), qui passe du banc de la réserve à celui de la première. Un pur produit de la formation locale, qui sait plus que quiconque que « Nîmes est une ville de foot : il va falloir qu'on se mette vite au diapason ». Dans un groupe C de N2 particulièrement relevé, avec une quinzaine de jours de retard dans la préparation et un effectif rebâti du sol au plafond, la réception de Limonest, le 16 août, en ouverture du Championnat, ressemble quand même à un lointain horizon. Encore que, pas pour tout le monde. « Il y a eu un rejet total, ces dernières années, qui s'est traduit par les affluences (environ 1 500 spectateurs en moyenne la saison dernière, la plus faible de l'histoire du club). Pour le premier match, maintenant qu'il n'y a plus Assaf, les gens reviendront au stade, soutenir leur équipe, notre équipe », affirme Pialat, ancien président des Gladiators, groupe de supporters en sommeil depuis le début d'année. Paris, Lyon, Méditerranée : Nîmes dans le groupe de la mort Une équipe à laquelle le public pourra, au moins un peu, s'identifier : si la candidature spontanée de Nicolas Benezet, 34 ans et onze saisons au club, a été classée sans suite - « pas dans le projet », dixit Dupré -, et qu'un retour de Ripart apparaît comme illusoire - « Tout le monde m'en parle beaucoup, mais je pense que pour moi, c'est encore un peu tôt », confirme le couteau suisse de 32 ans, en fin de contrat à Troyes (L2) et qui se remet d'une rupture du ligament croisé d'un genou survenue en janvier -, Clément Depres, lui, a été convaincu par le projet. L'attaquant de 30 ans, 61 matches chez les pros avec Nîmes dont 18 de L1, évoque un « choix du coeur ». Membre, lui aussi, de la « Génération Costières », il a redécouvert la Bastide en fin de semaine. Accueilli, comme ses coéquipiers, dans le vestiaire de la réserve, faute de pouvoir, encore, accéder à celui des pros (*). Après trois saisons à Rodez et une en Thaïlande, il estime que son heure était venue : « C'est une prise de risques de ma part, mais ce club m'a tellement donné... C'est peut-être le moment de lui rendre. On s'est croisés avec Mika (Gas) au baptême du fils de Renaud Ripart, au printemps. Il m'a dit : "Imagine je prends la N2, tu viens ?" Je noie le poisson en disant qu'il faut qu'Assaf parte, que je ne peux pas revenir s'il reste là. J'étais tellement loin d'imaginer tout ce qui pourrait se passer que pour moi, c'était non. Il aurait fallu, à ce moment-là, qu'énormément de choses s'alignent. Et tout s'est aligné... » Ambassadeur de luxe, sur le terrain, de ce nouveau projet, Depres le Gardois arrive toutefois « sans pression et avec beaucoup d'humilité ». En quittant le restaurant de la Bastide, en face du centre d'entraînement, le revenant est apostrophé par un supporter : « Dites, vous, c'est bien Dupres ? C'est vous qui revenez ? Je me souviens du but que vous aviez marqué à Montpellier ! » Si la rivalité avec le voisin est tenace, la mémoire l'est moins : ce jour d'octobre 2020, en pleine Ligue 1 époque Covid, c'est Ripart qui avait marqué l'unique but du match à la Mosson. Là-bas, de l'autre côté du Vidourle. Les Crocos, eux, jouaient encore aux Costières, désormais à l'abandon mais ô combien emblématiques et que supporters et joueurs rêvent de retrouver, un jour. C'était avant le déménagement aux Antonins, deux ans plus tard. « Les générations évoluent, le Nîmes Olympique reste. Mais bien sûr que la question du stade, la question du centre d'entraînement, il faudra se les poser », philosophe Ripart. Preuve qu'à Nîmes, désormais, c'est vers l'avenir que les regards sont tournés.

Tennis : Stéfanos Tsitsipás officialise la fin de sa collaboration avec Ivanišević
Tennis : Stéfanos Tsitsipás officialise la fin de sa collaboration avec Ivanišević

Le Figaro

timean hour ago

  • Le Figaro

Tennis : Stéfanos Tsitsipás officialise la fin de sa collaboration avec Ivanišević

Le Grec Stéfanos Tsitsipás a annoncé la fin de son aventure avec son entraîneur Goran Ivanišević. Le Grec Stefanos Tsitsipas n'est plus entraîné par le Croate Goran Ivanisevic, a-t-il indiqué dans la nuit de mercredi à jeudi sur son compte Instagram. «Travailler avec Goran» Ivanisevic, l'ancien entraîneur à succès de Novak Djokovic, «a été une expérience brève mais intense», a écrit l'ex-N.3 mondial, retombé au 29e rang du classement ATP après son élimination sur abandon au premier tour de Wimbledon. Tsitsipás (26 ans), double finaliste en Grand Chelem et vainqueur de 12 titres ATP, a vu ses résultats nettement baisser depuis la saison 2023 et avait embauché Ivanisevic à l'entame de la saison sur gazon pour tenter de se relancer Publicité «Jamais vu un joueur aussi mal préparé» Les résultats n'ont guère été concluants, avec une défaite au deuxième tour de l'ATP 500 de Halle en juin et un abandon contre le Français Valentin Royer au premier tour de Wimbledon. Après cet abandon, Ivanisevic, vainqueur de 22 titres sur le circuit dont Wimbledon en 2001, avait déclaré n'avoir «jamais vu un joueur aussi mal préparé» que Tsitsipás. «Alors que nous empruntons désormais des chemins différents, je n'ai que du respect pour Goran - pas seulement pour ce qu'il a accompli dans le tennis, mais aussi pour la personne qu'il est», a assuré le Grec dans sa publication. Absent du circuit depuis son élimination précoce à Wimbledon, Tsitsipas doit revenir à la compétition au Masters 1000 de Toronto qui débute dimanche.

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