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Yvelines : Il heurte la barrière de péage de l'A10 à pleine vitesse

Yvelines : Il heurte la barrière de péage de l'A10 à pleine vitesse

Le Parisien22-07-2025
Un dramatique accident s'est produit ce mardi matin en tout début de matinée sur l'autoroute A 10 au niveau de la barrière de péage de
Longvilliers
, à la limite du département de l'Essonne.
Peu avant 6 heures, pour une raison encore indéterminée, un automobiliste qui circulait dans le sens Province - Paris a heurté de plein fouet le terre-plein bétonné de la barrière alors qu'il roulait à pleine vitesse.
L'homme, qui était seul à bord de son véhicule, a été éjecté de l'habitacle sous la violence du choc. Il est décédé sur le coup. Selon les premiers éléments recueillis sur place, cet automobiliste se trouvait sur le chemin retour de son travail.
Endormissement au volant ou simple moment d'inattention ? Une enquête a été ouverte pour tenter de déterminer les causes de ce drame de la route. Le corps du conducteur, qui a été conduit à
l'institut médico-légal
(IML), doit subir une autopsie et faire l'objet de prélèvements afin de déterminer si la victime conduisait sous l'emprise d'alcool ou de stupéfiants.
Un autre accident s'était produit à quelques dizaines de mètres de là il y a une quinzaine de jours. Une voiture qui circulait sur le même axe à hauteur de Longvilliers avait subitement quitté la route pour terminer sa course dans le fossé. Les trois occupants avaient été pris en charge par les secours et acheminés vers les hôpitaux. Parmi elles, une jeune femme de 25 ans qui se trouvait alors en urgence absolue.
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Seine-Saint-Denis : un adolescent décède après avoir été éjecté d'un buggy, le conducteur en garde à vue

L'accident mortel s'est déroulé dans la nuit de samedi à dimanche, entre Noisy-le-Sec et Bondy. Après une mauvaise manœuvre du conducteur, le véhicule s'est retourné sur la victime. Un mineur âgé de 15 ans a été tué lors d'un accident de buggy - un engin léger tout terrain à quatre roues pouvant accueillir jusqu'à quatre passagers - dans la nuit de samedi à dimanche, alors qu'il se trouvait dans le véhicule avec deux autres adolescents et le conducteur âgé de 26 ans, a appris Le Figaro auprès du parquet de Bobigny, confirmant des informations du Parisien . L'homme qui était au volant a été interpellé et se trouve toujours en garde à vue ce lundi, précise le parquet. Les faits se sont déroulés aux alentours de 2h30 du matin, à la limite de Noisy-le-Sec et de Bondy (Seine-Saint-Denis). Publicité «C'était très violent» «Je tiens à exprimer, au nom de la Municipalité, mes sincères condoléances à la famille et aux proches de la victime en cette période de deuil», a déclaré Olivier Sarrabeyrouse, le maire de Noisy-le-Sec, dans un communiqué. D'après l'élu, l'accident «résulte de l'utilisation d'un véhicule motorisé en dehors des cadres réglementaires, sans mesures de sécurité ni protections adéquates». Le soir du drame, un groupe de jeunes a décidé de se balader dans la ville, en se déplaçant en buggy et en quad. Selon une source policière, le conducteur de l'un des véhicules aurait effectué une mauvaise manœuvre et avec la vitesse, le véhicule s'est alors retourné, écrasant l'adolescent. «C'était très violent», réagit cette même source. Fuite du conducteur «L'usage de ce type d'engin dans notre commune est condamnable d'autant que l'accident aurait pu entraîner d'autres drames, touchant de nombreuses victimes collatérales», poursuit le maire dans son communiqué en assurant que «le conducteur devra répondre de ses actes devant la justice». Ce dernier, qui avait fui au moment du drame, a finalement été retrouvé par les forces de l'ordre quelques heures plus tard. Pour justifier sa fuite, il a expliqué «avoir été pris à partie alors qu'il tentait d'aller chercher des secours», détaille encore le parquet. Les investigations en cours devront établir s'il a dit la vérité.

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Des chiots amaigris, enfermés dans des cages avec leurs excréments, le regard terrifié. Les photos font peine à voir. Pourtant ce sont bien elles qui ont été postées à plusieurs reprises sur le site Internet de revente Leboncoin. L'annonce fixait le prix de chaque animal à 550 euros. Cet « élevage clandestin », marqué par des signes « manifestes de maltraitances » a été repéré par plusieurs particuliers qui, choqués, ont alerté les membres de l'association Action protection animale (APA). Après enquête, le propriétaire en question a été localisé à Savigny-sur-Orge (Essonne). « Nous avons aussitôt prévenu le commissariat de Juvisy-sur-Orge. Les policiers ont réussi à trouver où il habitait exactement. Ils se sont rendus sur place dans la foulée », raconte Anne-Claire Chauvancy, la présidente de l'APA. À leur arrivée au domicile de l'éleveur, seuls quatre chiots, de type staff, sont retrouvés. Cinq autres auraient déjà été vendus. « Les conditions dans lesquels vivaient les animaux étaient conformes aux photos postées, déplore la présidente. Ils vivaient dans leurs excréments, étaient bourrés de vers. Ils étaient surtout très craintifs et présentaient quelques plaies. On ne peut pas affirmer que leur propriétaire les frappait, mais dès que les chiots le voyaient, ils s'urinaient dessus… » Le propriétaire placé en garde à vue Dans une cave à proximité du logement, les policiers ont découvert un couple de chiens, très certainement les parents, enfermés dans une cage, vivant dans le noir. « La mère avait encore les mamelles gonflées. On ne peut pas savoir si c'était sa première portée mais l'éleveur venait de la récupérer. Il n'avait pas encore fait les papiers pour la mettre à son nom, indique Anne-Claire Chauvancy. Eux aussi étaient assez craintifs, et voulaient défendre les chiots. Ils avaient les ongles longs, signe qu'ils ne sortaient jamais. » L'homme vendait, illégallement, ses chiots sur le site Internet Leboncoin. L'éleveur a été placé en garde à vue. Il devrait être prochainement entendu par la justice. L'APA a déposé plainte pour trafic, actes de cruauté et abandons volontaires. En attendant tous les chiens ont été saisis et placés dans un refuge partenaire de l'APA. « Les chiots seront très certainement placés dans des familles d'accueil en attendant de pouvoir être adoptés. Ils ont besoin de soins mais rien d'irrémédiable », assure la présidente.

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