
Mercato : Alvaro Carreras (Benfica) proche de signer au Real Madrid
Vers un retour au bercail pour Alvaro Carreras. Le jeune latéral gauche espagnol de 22 ans, déjà passé par le Real Madrid au cours de sa formation, entre ses 14 et ses 17 ans, devrait faire son retour par la grande porte. D'après Fabrizio Romano, il devrait en effet s'engager contre 50 millions d'euros en provenance de Benfica.
Parti terminer sa formation à Manchester United en 2020, Carreras n'y a jamais eu sa chance. Il a été prêté à Preston North End, Grenade puis Benfica, avant de s'engager définitivement avec le club portugais à l'été 2024. Au sortir de sa première saison complète avec le club lisboète (52 matches toutes compétitions confondues, 4 buts, 5 passes décisives), il devrait donc revenir au Real Madrid, où il serait en concurrence avec Ferland Mendy et Fran Garcia.
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Malgré sa bonne forme, Jonas Vingegaard a une nouvelle fois raté le coche sur la dernière étape de montagne du Tour de France 2025
Sa deuxième place au général actée, Jonas Vingegaard visait la victoire d'étape vendredi. Il a fini devant Tadej Pogacar mais a manqué le coche, battu par Thymen Arensman. Jonas Vingegaard a rejoint son bus rigolard, blaguant avec Krists Neilands (Israel-Premier Tech), tandis que, quelques minutes plus tôt, Sepp Kuss pouffait auprès de Victor Campenaerts : « Quand je t'ai entendu demander ''tu veux que je fasse le rythme ?'', je me suis dit ''oh, Viki est dans un bon jour !'' », lâchait l'Américain. Ambiance décontractée chez les Visma-Lease a bike, passés proches d'une victoire d'étape, ce qui prouve bien qu'ils ont déjà acté, et digéré, leur échec dans ce Tour. « Tadej (Pogacar) est extrêmement fort, le plus fort. Il mérite de gagner, il faut savoir l'accepter et, désormais, je l'accepte », avouait vendredi soir le Danois. La veille, il avait promis qu'il tenterait encore, mais la nuit a porté conseil aux Frelons, et le seul objectif, au départ d'Albertville, était de « tenter de gagner l'étape, expliquait Grischa Niermann, le directeur sportif. On savait que Tadej la voulait aussi, qu'UAE allait contrôler l'échappée, donc ça n'avait pas de sens d'attaquer tôt. Oui, on a vu Primoz Roglic faire ''all in'' dans la première ascension [en s'échappant, ndlr], on aurait pu faire pareil avec Jonas, il y avait peut-être 0,1 % de chance que ça fonctionne... On savait que ça n'allait pas passer, donc on a joué l'étape. » Vingegaard a préféré faire perdre Pogacar plutôt que de tenter de gagner Le maillot à pois (par procuration) a donc joué petit bras, profité du travail de son adversaire dans l'ultime ascension vers La Plagne. Et l'a suivi, quand le Maillot Jaune a attaqué. « On a vu que Jonas était encore très fort, se félicitait son directeur sportif. Il a pu rester dans sa roue, garder des forces, il a très bien manoeuvré mais, finalement, ils n'ont pas pu revenir sur (Thymen) Arensman et gagner l'étape. » Car si le plan de laisser rouler Pogacar a fonctionné, il y a eu un hic. Parti à 13 kilomètres du sommet, Arensman n'a jamais été repris, Vingegaard échouant à quelques mètres du Néerlandais d'Ineos. « Si Jonas avait lancé plus tôt, ils auraient pu le reprendre mais il y avait de grandes chances que Pogacar déborde Jonas ensuite », résumait Niermann. Faire perdre Pogacar plutôt que tenter de gagner, donc. « En Belgique, on dit que quand deux chiens se battent pour quelque chose, c'est souvent le troisième qui le prend », imageait Campenaerts. Le double vainqueur du Tour va ainsi quitter l'édition 2025 sans un os à ronger, puisque les deux dernières étapes ne lui conviennent pas. « Mais on n'est pas déçus, promettait le moustachu belge. Il y a un coureur plus fort, le meilleur du moment et peut-être de l'histoire, et nous, nous avons le deuxième meilleur. »


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Nantes d'accord avec Neom pour Nathan Zézé
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« Un choc à digérer » : Mekies, nouveau patron de Red Bull, rend hommage à Horner
Nouveau patron de Red Bull, le Français Laurent Mekies a eu, devant la presse, un mot pour son prédécesseur Christian Horner, limogé début juillet. L'arrivée de Laurent Mekies, nommé pour remplacer Christian Horner à la tête de Red Bull, était guettée par les photographes jeudi. Vendredi, c'étaient aux journalistes de surveiller de près les premiers mots du Français. Rien d'exceptionnel, malgré trente minutes de questions non-stop au malheureux qui a subi avec le sourire le roulement d'interrogations. « Il est assez novice, mais c'est excitant » : Max Verstappen élogieux sur le nouveau patron de Red Bull Laurent Mekies « Lorsqu'Oliver (Mintzlaff) et Helmut (Marko) m'ont appelé, j'ai été surpris comme vous. Je leur ai demandé quelques heures de réflexion et puis j'ai réfléchi, a-t-il raconté. Lorsqu'on vous propose de diriger une écurie aussi prestigieuse, cela ne se refuse pas. Lorsqu'on rentre à l'usine, on est saisi par la collection de trophées à l'accueil. Cela fait deux semaines que je suis à Milton Keynes et que j'essaie de rencontrer le plus de gens possibles. Ce fut bien évidemment un choc à digérer de voir Christian (Horner) partir, mais j'ai très vite senti que tout le monde voulait se remettre au travail. Parce qu'ici on aime gagner. Christian a joué un rôle important dans mon retour au sein de la famille Red Bull (après les années passées à la FIA puis chez Ferrari). Il a été le premier à m'appeler et m'écrit régulièrement. Les objectifs de Red Bull n'ont pas changé : il faut se battre pour des titres et il n'y a personne qui est assuré de conserver son poste à vie. » Red Bull est entré dans une nouvelle ère après le départ de Christian Horner... et Max Verstappen le vit bien Et pour y arriver, le Français a parfaitement intégré ce qu'il avait à faire : stopper la fuite des cerveaux de Milton Keynes. Il n'a donc cessé de rappeler, combien l'équipe « comptait de talents, prêts à s'engager à 100 %. Mon rôle sera de réduire le bruit autour d'eux et de leur permettre de bosser encore mieux ».