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Puissants séismes au large de l'Extrême-Orient russe, alerte tsunami

Puissants séismes au large de l'Extrême-Orient russe, alerte tsunami

Le Figaro3 days ago
Deux séismes de magnitude 6,7 puis 7,4 se sont produits dimanche au large des côtes du Kamtchatka, dans l'Extrême-Orient russe, conduisant au déclenchement de l'alerte tsunami, selon l'Institut américain de géophysique (USGS).
L'épicentre de ces séismes est situé dans l'océan Pacifique, entre 130 et 144 kilomètres de la ville russe de Petropavlovsk-Kamtchatsky, capitale de la région du Kamtchatka, précise l'USGS.
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200 tonnes de fromages de Savoie bloquées après la détection de cas de dermatose nodulaire contagieuse
200 tonnes de fromages de Savoie bloquées après la détection de cas de dermatose nodulaire contagieuse

Le Parisien

time4 hours ago

  • Le Parisien

200 tonnes de fromages de Savoie bloquées après la détection de cas de dermatose nodulaire contagieuse

La ministre de l'Agriculture Annie Genevard sous pression. Les producteurs de fromages de Savoie ont stocké « environ 200 tonnes » de produits dans l'espoir d'un feu vert pour leur commercialisation, pour l'heure interdite dans le cadre des mesures de sécurité autour de la dermatose nodulaire contagieuse (DNC), a indiqué mardi le président de l'Association des fromages traditionnels des Alpes savoyardes (AFTAlp). Après la découverte d'un premier cas de dermatose des bovins en Savoie fin juin, l'arrêté préfectoral portant sur les mesures de déclaration, de surveillance et de prévention en lien avec la maladie, a également concerné les produits laitiers, a rappelé Thomas Dantin, président de l'AFTAlp. Cet arrêté instaure notamment « l'obligation de détruire les produits dans les 28 derniers jours de fabrication » précédant la détection d'un cas de DNC dans un élevage de bovins, a expliqué ce producteur de lait savoyard. Cette mesure a mené au stockage, à l'heure actuelle, « d'environ 200 tonnes » de fromages, pour une valeur « d'environ 2 millions d'euros », selon Thomas Dantin. « Il y a un point qui est quand même important, c'est qu'il n'y a aucun risque pour la santé humaine », a-t-il souligné avec insistance. La DNC, qui affecte bovins, buffles et zébus , se transmet par piqûres d'insectes « type stomoxe » (une mouche piquante) ou « taon », mais n'est pas transmissible à l'humain, y compris par l'alimentation de produits issus d'animaux infectés (viande, lait, fromage), selon le ministère de l'Agriculture. En ce qui concerne les fromages déjà fabriqués, « le bon sens paysan veut que s'il n'y a pas de risque, s'il n'y a aucun lien entre la maladie et l'humain, au moins nous laisser la possibilité de commercialiser ces produits », a souhaité Thomas Dantin. « Aujourd'hui, on attend une réponse de Madame la ministre » de l'Agriculture Annie Genevard , a-t-il dit. « Tous les kilos comptent » dans le système coopératif des fromageries, a signalé Thomas Dantin. Chaque année, environ 38 000 tonnes de fromages sont produites par les filières des huit fromages des Savoie labels AOP et IGP : abondance, beaufort, chevrotin, emmental de Savoie, reblochon, raclette de Savoie, tome des Bauges, tomme de Savoie. Depuis la découverte des premiers cas de DNC fin juin, des mesures radicales ont été prises pour stopper la propagation de la maladie avec l'abattage total des animaux des foyers infectés. La vaccination a aussi démarré vendredi dernier et doit toucher près de 285 000 bovins . En date du 21 juillet, 33 foyers ont été détectés, en Savoie et Haute-Savoie, selon le site du ministère de l'Agriculture.

Attention, cette maladie tue vos arbres fruitiers en seulement quelques jours : que faire pour les sauver ?
Attention, cette maladie tue vos arbres fruitiers en seulement quelques jours : que faire pour les sauver ?

Le Parisien

time14 hours ago

  • Le Parisien

Attention, cette maladie tue vos arbres fruitiers en seulement quelques jours : que faire pour les sauver ?

C'est l'une des maladies les plus redoutées par les propriétaires d'arbres fruitiers comme le pommier ou le poirier. Le feu bactérien, bactériose issue de la Erwinia amylovora , peut en effet tuer un arbre en l'espace d'une saison et il est particulièrement contagieux. Sans traitement réellement efficace accessible en France, il est donc essentiel de savoir reconnaître rapidement ses symptômes et de connaître les actions pour prévenir l'apparition et la propagation de la maladie. Dans les faits, tous les arbres et arbustes de la famille des Rosacées peuvent être touchés, à l'exception du rosier, précise la DRAAF Nouvelle-Aquitaine . Cette famille comprend le pommier et le poirier, mais aussi d'autres arbres fruitiers, comme l'abricotier ou le fraisier, ainsi que des arbres et arbustes d'ornement comme l'aubépine, les sorbiers, les buissons-ardents ou les cotonéasters. Si tous les jardiniers disposant de l'une de ces essences doivent donc la craindre, ce sont en particulier les propriétaires de vergers qui la redoutent. Lorsqu'une plante est touchée par le feu bactérien, un brunissement puis un dessèchement des parties aériennes (branches, fleurs, fruits) se produit. Elles semblent brûlées, mais restent en place sur l'arbre et peuvent mourir en quelques jours. Au niveau des feuilles, des taches brunes ou rouille apparaissent. Les rameaux, eux, se recourbent en crosse en séchant. Des chancres produisant des gouttelettes blanchâtres puis brunâtres peuvent apparaître sur le tronc et les branches. Cet exsudat visqueux est ce qui peut ensuite transmettre la maladie à d'autres arbres. Les chancres servent aussi d'habitat aux bactéries durant l'hiver. Pour limiter les risques, deux éléments sont à prendre en compte. D'abord, la météo. Le vent et la pluie sont des conditions qui favorisent le développement et la propagation du feu bactérien. Des excès d'humidité, de taille ou d'azote sont aussi des vecteurs, note Fredon Occitanie Surveillance. Du reste, les opérations humaines, comme la taille, accélèrent sa propagation. Plus généralement, la période de la floraison, à travers les cicatrices de la chute des pétales et l'action des insectes et autres oiseaux, reste la plus à risque pour les plantes concernées. Dès les premiers signes de feu bactérien, surtout durant cette période, la prudence est donc de mise. Les parties atteintes doivent être largement coupées (environ 1 m en dessous des symptômes), les chancres supprimés et les plaies recouvertes. Les plantes les plus atteintes doivent être arrachées et les fruits ramassés. Les déchets végétaux doivent ensuite être brûlés et les outils utilisés soigneusement désinfectés. Du reste, la suppression des floraisons secondaires, la pulvérisation de solutions de cuivre, d'argile ou de décoction de prêle en mars avril et le recours aux variétés résistantes à ces maladies sont autant de mesures de protection.

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