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La Russie, premier pays à reconnaître le régime des talibans
La Russie, premier pays à reconnaître le régime des talibans

Le Figaro

time2 hours ago

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La Russie, premier pays à reconnaître le régime des talibans

Réservé aux abonnés ANALYSE - Depuis leur retour au pouvoir, en 2021, les islamistes étaient des parias. Mais les digues diplomatiques commencent à se fissurer. Ils couraient après depuis près de quatre ans. Jeudi, les talibans afghans ont arraché une première victoire dans leur quête de légitimité internationale : la reconnaissance par un État. Et pas n'importe lequel. Lors d'un entretien à Kaboul avec le chef de la diplomatie talibane, Amir Khan Muttaqi, « l'ambassadeur russe a officialisé la décision du gouvernement de Russie de reconnaître l'Émirat islamique d'Afghanistan », a indiqué la théocratie dans un communiqué. Cette mesure intervient alors que les talibans s'activent pour exister dans le concert des nations. Ils ont envoyé des représentants à la dernière conférence pour le climat, la COP29, à Bakou, en novembre 2024. Ils ont multiplié les rencontres politiques de haut niveau avec la Chine et les républiques d'Asie centrale. L'Inde, qui veut éviter un afflux de combattants djihadistes venus d'Afghanistan au Cachemire indien, théâtre régulier d'attentats, a établi des contacts diplomatiques. Son secrétaire d'État aux Affaires…

Finlande : le retrait du traité antimines promulgué par le président
Finlande : le retrait du traité antimines promulgué par le président

Le Figaro

time6 hours ago

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Finlande : le retrait du traité antimines promulgué par le président

Le président finlandais Alexander Stubb a annoncé ce vendredi le retrait de son pays de la Convention internationale interdisant les mines antipersonnels, justifiant cette décision par la menace sécuritaire russe. Ce retrait doit être notifié auprès des Nations Unies et entrera vigueur 6 mois. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro International Les élus finlandais ont voté à une large majorité pour quitter la Convention d'Ottawa sur les mines antipersonnels en juin, à laquelle Helsinki avait adhéré en 2012. Dans une déclaration, M. Stubb a indiqué que les besoins de la Finlande «dans une situation de sécurité détériorée» avaient motivé cette décision. Publicité Une mesure «exigée» face au contexte opérationnel «La Finlande n'est pas confrontée à une menace militaire immédiate, mais les changements dans l'environnement opérationnel exigent que nous renforcions notre défense. Nous avons une longue frontière avec la Russie (1340 kilomètres, NDLR), qui n'est pas partie à l'accord d'Ottawa. Nous avons vu comment la Russie fait la guerre aujourd'hui», a-t-il ajouté. Les signataires de la Convention d'Ottawa ont l'interdiction d'utiliser, de stocker, de produire et de transférer des mines antipersonnels et sont également tenus de détruire les stocks restants. «La Finlande ne déploiera pas de mines en temps de paix», a assuré le président. Alors que l'Estonie, la Lituanie et la Lettonie, ainsi que la Pologne, prévoient également de quitter le traité, le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a critiqué en juin dernier les États membres qui prévoient de se retirer. Il a exhorté les États à «cesser immédiatement toute démarche en vue de leur retrait», tout en indiquant qu'il envisageait de lancer une campagne mondiale «pour faire respecter les normes du désarmement humanitaire, accélérer la lutte contre les mines en tant que moyen de promouvoir les droits de l'homme et le développement durable, et faire progresser la vision d'un monde sans mines».

Guerre en Ukraine : « Une cible critique pour la Russie », Kiev a touché une grande usine de fabrication de missiles
Guerre en Ukraine : « Une cible critique pour la Russie », Kiev a touché une grande usine de fabrication de missiles

Le Parisien

time8 hours ago

  • Le Parisien

Guerre en Ukraine : « Une cible critique pour la Russie », Kiev a touché une grande usine de fabrication de missiles

Une frappe parmi les frappes, mais pas n'importe laquelle non plus. Comme le rapporte le Kyiv Independent , l' Ukraine a revendiqué ce jeudi avoir touché « une cible critique pour la Russie » en attaquant l'usine Energia dans l'oblast de Lipetsk, à plus de 400 kilomètres du front. L'état-major général ukrainien a publié une déclaration officielle, affirmant que l'opération avait été menée par « les forces de systèmes sans pilote » , autrement dit des drones. La frappe avait été signalée dans un premier temps par le gouverneur de Lipetsk, Igor Artamonov, évoquant « un incendie » après une frappe de drones , et de « multiples explosions » signalées par les résidents. Aucune victime n'aurait été signalée, les employés ayant évacué avant les événements, selon la chaîne d'information russe Astra sur Telegram. L'usine Energia fabriquerait des batteries pour le guidage de missiles et des modules de planeurs, notamment pour le système Iskander et les missiles de croisière . « C'est l'une des cibles les plus critiques pour la Russie », d'après Andrii Kovalenko, directeur du Centre de lutte contre la désinformation du Conseil national de sécurité et de défense ukrainien. L'étendue des dégâts sur le site reste encore à déterminer. Des explosions ont été enregistrées directement, et la production a été interrompue, du moins pendant un temps. « Les forces de défense continuent de prendre des mesures pour saper le potentiel militaire et économique des troupes russes et contraindre la Russie à cesser son agression armée contre l'Ukraine », indique le communiqué de l'état-major ukrainien. Le site avait déjà été ciblé en mai dernier, mais sans succès.

Guerre en Ukraine : ce que l'on sait de l'attaque russe à Kiev, la plus massive depuis le début du conflit
Guerre en Ukraine : ce que l'on sait de l'attaque russe à Kiev, la plus massive depuis le début du conflit

Le HuffPost France

time10 hours ago

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Guerre en Ukraine : ce que l'on sait de l'attaque russe à Kiev, la plus massive depuis le début du conflit

INTERNATIONAL - Tandis que le président américain Donald Trump a reconnu ne pas « avoir fait de progrès » en faveur d'un cessez-le-feu en Ukraine lors d'un nouvel appel avec son homologue russe Vladimir Poutine jeudi, Kiev a dénoncé, quelques heures plus tard ce vendredi 4 juillet, une nouvelle attaque russe nocturne sans précédent sur son territoire. Selon les autorités ukrainiennes, la Russie a mené l'attaque la plus massive depuis le début de la guerre entamée en février 2022. « L'ennemi a attaqué avec un grand nombre de drones (...) c'est le plus grand nombre que l'ennemi ait jamais utilisé dans une seule attaque », a indiqué le porte-parole de l'armée de l'air ukrainienne à la télévision. Dans le détail, Kiev a recensé 539 drones et 11 missiles lancés sur son territoire pendant la nuit. Et les unités de défense aérienne ont seulement réussi à abattre 268 drones et deux missiles. Samedi dernier, 537 drones et missiles avaient été lancés par Moscou sur l'Ukraine, établissant déjà un précédent record. La capitale Kiev a été particulièrement touchée par ces bombardements, comme l'explique la BBC, qui indique que « presque tous les quartiers ont été endommagés ». Les alertes aux raids aériens ont retenti presque sans interruption pendant huit heures au moment où plusieurs vagues d'attaques ont frappé Kiev, la « principale cible des frappes », comme l'a expliqué l'armée de l'air ukrainienne sur Telegram. Des dégâts ont été enregistrés dans six des dix districts de Kiev, selon le maire de Kiev, Vitali Klitschko. Nuit « sans sommeil à Kiev » Dans ce contexte, le ministre ukrainien des Affaires étrangères a qualifié la nuit de jeudi à vendredi de « l'une des pires » jamais vécue par la capitale Kiev. Il s'agit d'« une nuit absolument horrible et sans sommeil à Kiev. L'une des pires jusqu'à présent », a-t-il écrit sur X, tout en lançant un nouvel appel à sanctionner sans modération et sans délai Moscou. Le timing de ces nouvelles frappes, peu de temps après la fin de l'appel entre Vladimir Poutine et Donald Trump, a poussé ce ministre ukrainien à accuser le président russe d'avoir « fait exprès ». Les attaques russes montrent le « mépris » de Poutine pour les États-Unis et la paix, a également dénoncé Kiev, comme le rapporte l'AFP. Selon la BBC, qui cite les autorités ukrainiennes, au moins 23 personnes ont été blessées durant ces attaques nocturnes. Tandis que The Guardian, citant le maire de Kiev, évoque 14 personnes blessées. Dans tous les cas, de lourds dommages ont été causés sur les infrastructures ferroviaires, comme le rapporte la compagnie publique ukrainienne Ukrzaliznytsia. Parmi les dégâts les plus importants, le maire de Kiev a aussi évoqué la chute de débris de drones ayant provoqué l'incendie d'un établissement médical dans le quartier de Holosiivskyi. Et deux autres incendies ont également été recensés dans le district de Svyatoshynskyi, à l'ouest de la ville.

Elle a quitté une vie de luxe à 50 ans pour une vie plus libre
Elle a quitté une vie de luxe à 50 ans pour une vie plus libre

24 Heures

time10 hours ago

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Elle a quitté une vie de luxe à 50 ans pour une vie plus libre

Béatrice a divorcé le jour de ses 50 ans. Après des années à vivre dans le luxe, elle puise désormais son bonheur dans la simplicité. Publié aujourd'hui à 09h31 ILLUSTRATION AURÉLIE TONINATO En bref: «Le déclic s'est produit quand j'ai vu mon fils de 15 ans imiter son père. Pour lui plaire, il avait commencé à se moquer de moi, comme mon ex-mari le faisait. Mon garçon adorable, que j'arrivais à gérer sereinement quand son papa n'était pas là, devenait soudain un autre enfant dès que son père rentrait. Ce jour-là, je me suis dit: «Je ne veux pas qu'il devienne cet homme. On ne peut pas manquer de respect à une femme comme ça.» J'avais 48 ans quand j'ai enfin trouvé le courage de partir. Après un diplôme universitaire, j'avais suivi mon ex-mari dans ses nombreuses et diverses expatriations professionnelles: l'Allemagne, la Russie, Amsterdam… À chaque fois, ma carrière passait après la sienne. Au début, je le vivais bien: je viens d'une famille très traditionnelle, où les femmes sont au foyer. J'aime m'occuper de mes enfants, du ménage, faire la cuisine, donc je le faisais avec plaisir, tout en travaillant en parallèle, du moins les premières années. Mais lorsque nous avons déménagé dans un pays difficile, les choses ont commencé à se compliquer. Je n'avais plus d'emploi, j'étais enceinte de notre deuxième fils – le premier était petit – et mon mari toujours en déplacement. J'ai commencé à sévèrement déprimer quand l'hiver a commencé. Je me suis ouverte à mon époux, qui ne comprenait pas ce qui m'arrivait. Petit à petit, j'ai découvert son vrai visage: un homme sans empathie, qui ne pensait qu'à sa carrière. Il se moquait constamment de moi, des «blagues» qui relevaient du harcèlement. J'ai pris sur moi, essayé de dialoguer, mais rien ne changeait. Peu à peu, j'ai compris que la séparation était la seule solution. Pendant deux ans, je l'ai prévenu: «Je vais partir, je n'en peux plus.» Mais il ne m'écoutait pas. De mon côté, je me suis formée pour devenir coach et j'ai développé une activité d'indépendante qui marchait bien. Nous sommes finalement rentrés en Suisse après plus de quinze ans d'expatriation. Une fois à Genève, je lui ai dit que je voulais divorcer . Il était sous le choc. Pourtant, je ne portais plus mon alliance depuis des mois, j'avais remis mon nom de jeune fille sur la boîte aux lettres et on faisait chambre à part. Les signaux étaient là, mais il était dans le déni. Grâce à son travail, il gagnait beaucoup d'argent. Au moment de la séparation, je lui ai dit: «Je ne veux pas la moitié de ta fortune, je ne veux pas te ruiner. Ce que je veux, c'est que l'on se sépare et que les enfants le vivent du mieux possible.» Il s'est pris un logement et a eu la gentillesse de me laisser vivre dans la maison quelques années. J'ai retrouvé mon humour, ma patience. Mes fils et moi, on riait à nouveau ensemble. Mais il versait la pension avec du retard, et jamais le montant convenu. Au moment du Covid-19, il a voulu baisser la pension alimentaire; la juge lui a dit de me laisser un capital pour en finir. Je me suis sentie soulagée, car je ne dépendais enfin plus de lui financièrement. C'était le dernier lien toxique que je coupais avec lui. Depuis, je n'ai plus aucun contact, j'ai coupé les ponts! Mes fils continuent à le voir, bien sûr, ce qui est très bien pour eux. Oui, depuis, mon train de vie a beaucoup baissé. Mais j'ai trouvé un magnifique appartement à Nyon, beaucoup plus petit mais parfait pour moi. Les voyages en première classe et les restaurants étoilés, j'en avais fait énormément avec lui. Maintenant, je vais dans des endroits plus simples, avec des amis plus authentiques. Ça me convient mille fois mieux. Aujourd'hui, j'ai 57 ans et un nouveau compagnon merveilleux. Lui aussi a divorcé, on se comprend. On sait ce que ça coûte de ne pas entretenir une relation. On discute, on s'écoute, on prend soin de notre couple. Nos enfants sont grands, donc c'est aussi un autre mode de vie. Ce divorce m'a coûté des amis, et ma famille ne m'a pas beaucoup aidée, même s'ils ont compris mon choix. Mais j'ai aussi rencontré des personnes extraordinaires qui m'ont soutenue. Mon divorce a été signé le jour de mes 50 ans. Un clin d'œil du destin: ma renaissance, ma vraie liberté. L'argent? Franchement, je m'en fiche. Le respect et la paix n'ont pas de prix.» D'autres articles sur le divorce: Newsletter «Santé & Bien-être» Conseils, actualités et récits autour de la santé, de la nutrition, de la psychologie, de la forme et du bien-être. Autres newsletters Marie Maurisse est journaliste société à la rubrique Vaudoise. Active depuis près de 15 ans dans le domaine et spécialisée dans l'enquête, elle a cofondé le média spécialisé Gotham City, réalisé plusieurs documentaires et écrit deux livres. Plus d'infos @mariemaurisse Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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