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Guerre en Ukraine : une rencontre entre Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky devrait avoir lieu «d'ici deux semaines», selon Friedrich Merz
Guerre en Ukraine : une rencontre entre Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky devrait avoir lieu «d'ici deux semaines», selon Friedrich Merz

Le Figaro

time3 hours ago

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  • Le Figaro

Guerre en Ukraine : une rencontre entre Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky devrait avoir lieu «d'ici deux semaines», selon Friedrich Merz

Donald Trump a de son côté affirmé lundi avoir «commencé les préparatifs» d'une rencontre entre les présidents ukrainien et russe. Il a précisé que cette même rencontre serait suivie d'une réunion à trois avec lui-même. Donald Trump va «commencer les préparatifs» d'une rencontre entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine, qui rejetait jusqu'ici une telle réunion, au terme d'une «très bonne» entrevue avec le président ukrainien et plusieurs dirigeants européens. Le président russe a convenu de cette future rencontre, qui devrait se produire dans les deux semaines à venir, lors d'un entretien téléphonique avec son homologue américain, a fait savoir le chancelier allemand Friedrich Merz, l'un des responsables européens conviés à la Maison-Blanche. «Nous sommes prêts à une rencontre bilatérale avec Poutine et après cela nous nous attendons à une rencontre trilatérale» avec la participation de Donald Trump, a de son côté déclaré le chef d'État ukrainien à la presse. Les éventuelles concessions territoriales exigées par la Russie à l'Ukraine sont «une question que nous laisserons entre moi et Poutine», a-t-il ajouté. Publicité «L'idée a été discutée qu'il serait nécessaire d'étudier la possibilité de porter à un plus haut niveau la représentation de l'Ukraine et de la Russie», a de son côté déclaré le conseiller diplomatique du président russe Iouri Ouchakov, cité par l'agence Tass. À lire aussi Guerre en Ukraine : Zelensky et les Européens face au «deal» de Trump «Garanties de sécurité» Donald Trump a précisé sur son réseau Truth Social que la rencontre, en un lieu qui reste à déterminer, serait suivie d'une réunion à trois avec lui-même, visant à mettre fin à trois ans et demi de conflit, déclenché par l'invasion russe. Lundi, le président américain et ses invités ont «discuté de garanties de sécurité pour l'Ukraine, des garanties qui seraient fournies par divers pays européens, en coordination avec les États-Unis d'Amérique», selon le président américain. Moscou refuse toute garantie de sécurité passant par l'Otan et son mécanisme de défense collective, le célèbre article 5. «Je pense que nous avons eu une très bonne conversation avec le président Trump, c'était vraiment la meilleure», a déclaré par ailleurs le chef de l'État ukrainien en début d'après-midi. Il a ajouté plus tard que Kiev avait offert de se fournir en armes américaines pour 90 milliards de dollars, le Financial Times évoquant lui un budget de 100 milliards financés par les Européens. Avant une réunion élargie avec les dirigeants européens, les deux hommes avaient eu un entretien bilatéral dans le Bureau ovale, où ils ont répondu à quelques questions des journalistes sur un ton cordial, à l'extrême opposé de l'humiliation publique subie par Volodymyr Zelensky au même endroit fin février.

Guerre en Ukraine : Trump a « commencé les préparatifs » d'une rencontre entre Poutine et Zelensky
Guerre en Ukraine : Trump a « commencé les préparatifs » d'une rencontre entre Poutine et Zelensky

Le Parisien

time3 hours ago

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Guerre en Ukraine : Trump a « commencé les préparatifs » d'une rencontre entre Poutine et Zelensky

Jusqu'alors Vladimir Poutine rejetait toute réunion avec Volodymyr Zelensky. Mais à l'issue du sommet de Washington lundi, Donald Trump a affirmé « commencer les préparatifs » d'une rencontre entre les présidents russe et ukrainien. C'est l'annonce principale au terme d'une « très bonne » entrevue avec le président ukrainien et plusieurs dirigeants européens. Vladimir Poutine a convenu de cette future rencontre, qui devrait se produire dans les deux semaines à venir, lors d'un entretien téléphonique avec son homologue américain, a fait savoir le chancelier allemand Friedrich Merz, l'un des responsables européens conviés à la Maison Blanche. « Nous sommes prêts à une rencontre bilatérale avec Poutine et après cela nous nous attendons à une rencontre trilatérale » avec la participation de Donald Trump, a de son côté déclaré le chef d'Etat ukrainien à la presse. « Porter à un plus haut niveau la représentation de l'Ukraine et de la Russie » Les éventuelles concessions territoriales exigées par la Russie à l'Ukraine sont « une question que nous laisserons entre moi et Poutine », a-t-il ajouté. « L'idée a été discutée qu'il serait nécessaire d'étudier la possibilité de porter à un plus haut niveau la représentation de l'Ukraine et de la Russie », a de son côté déclaré le conseiller diplomatique du président russe Iouri Ouchakov, cité par l'agence Tass. Donald Trump a précisé sur son réseau Truth Social que la rencontre, en un lieu qui reste à déterminer, serait suivie d'une réunion à trois avec lui-même, visant à mettre fin à trois ans et demi de conflit, déclenché par l'invasion russe.

DIRECT. Guerre en Ukraine : Trump a « commencé les préparatifs » d'une rencontre Poutine-Zelensky
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Le Parisien

time4 hours ago

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DIRECT. Guerre en Ukraine : Trump a « commencé les préparatifs » d'une rencontre Poutine-Zelensky

Contexte Un sommet Poutine-Zelensky en vue après la réunion des Européens autour de Trump Donald Trump va « commencer les préparatifs » d'une rencontre entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine, qui rejetait jusqu'ici une telle réunion, au terme d'une « très bonne » entrevue avec le président ukrainien et plusieurs dirigeants européens. Le président russe est convenu de cette future rencontre, qui devrait se produire dans les deux semaines à venir, lors d'un entretien téléphonique avec son homologue américain, a fait savoir le chancelier allemand Friedrich Merz, l'un des responsables européens conviés à la Maison Blanche. « Nous sommes prêts à une rencontre bilatérale avec Poutine et après cela nous nous attendons à une rencontre trilatérale » avec la participation de Donald Trump, a de son côté déclaré le chef d'Etat ukrainien à la presse.

Guerre en Ukraine : Trump a «commencé les préparatifs» d'une rencontre entre Poutine et Zelensky, qui pourrait avoir lieu «d'ici deux semaines»
Guerre en Ukraine : Trump a «commencé les préparatifs» d'une rencontre entre Poutine et Zelensky, qui pourrait avoir lieu «d'ici deux semaines»

Le Figaro

time4 hours ago

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Guerre en Ukraine : Trump a «commencé les préparatifs» d'une rencontre entre Poutine et Zelensky, qui pourrait avoir lieu «d'ici deux semaines»

La rencontre entre Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky pourrait avoir lieu «d'ici deux semaines», selon Friedrich Merz Le chancelier allemand Friedrich Merz a déclaré lundi à Washington que le président russe Vladimir Poutine avait convenu, lors d'un entretien téléphonique avec son homologue américain Donald Trump, de rencontrer le dirigeant ukrainien Volodymyr Zelensky dans les deux semaines à venir. «Le président américain s'est entretenu avec le président russe et a convenu qu'une rencontre entre le président russe et le président ukrainien aurait lieu d'ici les deux prochaines semaines», a déclaré M. Merz aux journalistes après les discussions à la Maison-Blanche.

Carney et le « leadership » de Trump
Carney et le « leadership » de Trump

La Presse

time8 hours ago

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Carney et le « leadership » de Trump

C'est une citation, et elle n'est pas inventée. « Le leadership du président Trump et des États-Unis donne l'occasion de mettre fin à la guerre illégale de la Russie en Ukraine. » Qui a dit ça ? Mark Carney, après la rencontre de Donald Trump avec Vladimir Poutine, qui a laissé les observateurs dubitatifs. Les États-Unis ont déroulé le tapis rouge – littéralement – au leader autocrate, sans rien obtenir. La citation de M. Carney a pourtant été réfléchie. Elle vient d'une déclaration écrite officielle. Sa stratégie est évidente : flatter l'ego insatiable de M. Trump. Mais n'est-ce pas un peu too much, comme on dit à Paris ? N'y a-t-il pas un risque à se montrer si complaisant ? La phrase s'explique par la dégradation des relations canado-américaines, analyse l'ex-diplomate Louise Blais. « Cette relation est cordiale, mais elle est surtout devenue plus distante. Il y a peu de contacts, parce que Donald Trump n'en veut pas plus, du moins, pas pour le moment. Il est irrité par nous », constate Mme Blais, diplomate en résidence à l'Université Laval, qui a été consule générale à Atlanta (2014-2017), puis ambassadrice du Canada à l'ONU (2017-2021). Avant d'aller plus loin, deux mises en garde. Une analyse du dossier doit être clémente et prudente. Clémente, car M. Carney n'a pas provoqué cette confrontation. Il la subit. Aucune solution n'est évidente. Il cherche la meilleure – ou la moins mauvaise – pour traverser la tempête. Prudente, car on ne saura jamais comment les choses auraient été si M. Carney avait agi différemment. Et parce qu'on ne peut jamais prévoir avec certitude comment ce président impulsif réagira. Cela rend toute stratégie hasardeuse. Cela étant dit, avec les mois qui passent, un problème devient de plus en plus clair : le Canada n'a pas vraiment renouvelé son approche depuis 2017, et ça ne fonctionne pas très bien. « Pour rétablir un dialogue productif, nous devons changer notre approche », résume Mme Blais. Afin de régler les droits douaniers et renégocier l'accord Canada–États-Unis–Mexique (ACEUM), M. Carney a nommé comme négociatrice en chef Kirsten Hillman, qui est ambassadrice à Washington. Or, elle était en poste lors de la précédente négociation. Certes, elle maîtrise le dossier. Mais elle s'est aussi fait des ennemis, entre autres à cause de déclarations mal reçues à la Maison-Blanche. En 2018, le Canada tapait déjà sur les nerfs de M. Trump. Il préférait parler avec le Mexique. Heureusement pour nous, notre allié a insisté pour que les pourparlers se continuent à trois. L'hiver dernier, à Ottawa, on pensait que M. Trump bluffait avec sa menace de droits douaniers. C'est une tactique de négociation, mais il finirait par reculer, croyait-on. Notamment pour empêcher une inflation qui lui nuirait aux prochaines élections. Quelques mois plus tard, l'espoir diminue. On comprend que le deuxième mandat de Donald Trump ne ressemble pas au premier. Il est peu probable que le Canada évite les droits douaniers. L'objectif est plutôt de les minimiser. Mme Blais confirme que la patience de notre voisin est limitée. « Nos contacts républicains nous disent : on vous aime, mais soyez prudents, vous avez profité de votre relation avec nous, mais les règles ont changé, les tarifs ne disparaîtront pas, alors montrez-nous que vous voulez encore faire des affaires avec nous dans ce nouveau contexte », rapporte-t-elle. La question n'est pas de savoir ce qui est vrai ou juste, mais plutôt de trouver la stratégie optimale. Ottawa a pris un risque en annonçant des contre-mesures avant l'entrée en vigueur des droits douaniers américains, quand on ignorait encore que les produits qui relevaient de l'ACEUM seraient exemptés. Évidemment, ne rien faire aurait aussi été risqué. Pensons aux secteurs de l'acier, de l'aluminium et du bois d'œuvre : ils se faisaient attaquer, écraser, humilier, et exigeaient une riposte. En février, l'ex-premier ministre conservateur Stephen Harper écrivait d'ailleurs qu'il « ne devrait pas y avoir de débat, par exemple, sur la question de savoir si nous prendrions des mesures de représailles face à des tarifs ». « En cas de guerre commerciale, nous n'avons que de mauvais choix », ajoutait-il. Il concluait ainsi : « La pire réplique possible est l'absence de réplique. » M. Carney a cherché un équilibre entre la force et l'apaisement. À la fin de juin, il a frustré beaucoup de Canadiens en renonçant à la taxation des revenus des géants du numérique. On ignore ce qui serait arrivé si le Canada avait été encore plus conciliant. Mais ce qui est certain, c'est que la Maison-Blanche n'a pas oublié les menaces formulées à l'hiver. Outre la Chine, peu de pays ont agi ainsi, se plaint-on à Washington, durant les minutes de la journée où quelqu'un pense au Canada. Le premier ministre de l'Ontario, Doug Ford, a été applaudi pour ses déclarations pugnaces à CNN et à Fox News, où il attaquait le jugement du président. Cela a aidé à sa réélection. L'impact sur Washington est plus mitigé. La possibilité de mettre fin au contrat d'avions-chasseurs avec Lockheed Martin pour les acheter plutôt à Saab, en Suède, est également une source d'irritation. Un autre geste a étonné. M. Carney n'aurait pas prévenu la Maison-Blanche avant d'annoncer le 30 juillet son intention de reconnaître l'État de Palestine. Ottawa n'avait évidemment pas besoin de demander l'approbation de Washington — au contraire, notre politique au Moyen-Orient semble déjà trop dépendante de celle de notre voisin. Mais sur le plan diplomatique, il aurait été prudent d'avertir notre allié en coulisses, en lui expliquant le virage. Cette analyse ne vise pas à juger M. Carney, mais plutôt à comprendre sa plus récente déclaration sur l'Ukraine. Face à la communauté internationale, le premier ministre ne se compromet pas trop. Il envoie un vague souhait que ce processus, d'une façon imprévue et inespérée, facilite la fin de la guerre d'agression de Moscou. Et face à Washington, il tend la main. Le but : rétablir un dialogue qui, sous ses couverts de politesse, est devenu rare et difficile.

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