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La rave-party en Lozère en cours de démantèlement, Plus de 600 verbalisations

La rave-party en Lozère en cours de démantèlement, Plus de 600 verbalisations

Le Figaro19 hours ago
La rave-party illégale organisée depuis vendredi sur le causse du Mont Lozère a rassemblé jusqu'à 12.000 participants.
La rave-party illégale dans le village de Mont-Lozère-et-Goulet, en Lozère, à laquelle jusqu'à 12.000 personnes ont participé durant le week-end, est en cours de démantèlement lundi soir, a indiqué la préfecture du département, en faisant état de 652 verbalisations.
Cet événement a été endeuillé par la mort samedi d'une jeune femme de 25 ans, décédée dans un accident de la route sur un chemin non carrossable en tentant de rejoindre le site, situé à une quarantaine de kilomètres de Mende.
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Qualifiée par les autorités d'«événement musical à caractère festif illégal», cette fête avait débutée vendredi mais toutes les routes d'accès avaient été fermées à la circulation afin de limiter l'accès des «teufeurs.
«Des milliers de festivaliers ont déjà quitté le site et les départs se poursuivront tout au long de la soirée et de la nuit», a précisé la préfecture dans un communiqué lundi en fin d'après-midi, soulignant avoir procédé à 652 verbalisations et procédé à «des saisies de stupéfiants, de matériels et de véhicules».
Les pompiers présents sur place en raison notamment d'un risque d'incendie «élevé» ont par ailleurs réalisé 156 «interventions de secours aux personnes». Au nombre de 4000 vendredi, les «teufeurs» étaient passés à 9000 samedi puis 12.000 dimanche, selon les chiffres de la préfecture.
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Mayotte : deux morts après le chavirage d'une embarcation de migrants
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Mayotte : deux morts après le chavirage d'une embarcation de migrants

Un chavirage mortel près des côtes mahoraises. Deux personnes sont mortes ce mardi 15 juillet au large de Mayotte après la collision entre un « kwasa-kwasa » transportant des migrants et une vedette de la police nationale, a annoncé la préfecture dans un communiqué. « Ce mardi 15 juillet, aux alentours de 04h30 (03h30 à Paris), un kwasa-kwasa transportant des migrants a effectué un refus d'obtempérer et est entré en collision avec un intercepteur de la police nationale au large de la côte ouest de Mayotte », est-il précisé dans le communiqué. Le choc a provoqué le chavirement de l'embarcation, précipitant ses occupants à la mer. Dix-sept personnes ont pu être secourues mais « deux décès sont à déplorer », selon la même source. Une enquête a été ouverte par le procureur de la République. Auprès de nos confrères de La 1ère , le préfet de Mayotte indique que ce « drame rappelle les risques de l'immigration clandestine, alimentée par des passeurs qui mettent en danger la vie d'hommes, de femmes et d'enfants ». Il condamne « avec la plus grande fermeté ces agissements ». Seuls 70 km séparent Mayotte de l'île comorienne d'Anjouan, d'où partent sur de rudimentaires barques en bois de nombreux candidats à l'émigration vers la France. Le bras de mer qui sépare les deux îles est une route migratoire particulièrement meurtrière. Un rapport sénatorial publié en 2012, un an après l'incorporation de Mayotte parmi les départements français, estimait entre 7 000 et 12 000 le nombre de morts ou disparus lors de traversées depuis 1995. En novembre 2024, au moins 25 personnes avaient péri dans le naufrage de leur embarcation au large des Comores, un drame attribué par des survivants et l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) à des passeurs ayant volontairement coulé le bateau.

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Deux personnes sont mortes ce mardi au large de Mayotte, après la collision entre un «kwassa-kwassa» transportant des migrants et une vedette de la police nationale, a annoncé la préfecture dans un communiqué. «Ce mardi 15 juillet, aux alentours de 04H30 (03H30 à Paris), un kwassa-kwassa transportant des migrants a effectué un refus d'obtempérer et est entré en collision avec un intercepteur de la police nationale au large de la côte ouest de Mayotte», indique le communiqué. Publicité Le choc a provoqué le chavirement de l'embarcation, précipitant ses occupants à la mer. Dix-sept personnes ont pu être secourues mais «deux décès sont à déplorer», selon la même source. Une enquête a été ouverte par le procureur de la République. Seuls 70 km séparent Mayotte de l'île comorienne d'Anjouan, d'où partent sur de rudimentaires barques en bois de nombreux candidats à l'émigration vers la France. Le bras de mer qui sépare les deux îles est une route migratoire particulièrement meurtrière.

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Dans les Bouches-du-Rhône, un arrêté interdisant la baignade en burkini annulé par la justice

Saisi par la Ligue des droits de l'homme, le tribunal administratif de Marseille a suspendu un arrêté de la mairie de Carry-le-Rouet qui interdisait le port du burkini lors de toute baignade sur les plages de la commune. L'arrêté interdisant le port du burkini sur les plages de Carry-le-Rouet vient d'être annulé par la justice. En juin 2024, la mairie de cette commune des Bouches-du-Rhône avait publié un texte contenant un article interdisant «l'accès à l'eau et la baignade en tenue vestimentaire de ville», notamment «le foulard, l'écharpe ou tout vêtement ample» mais aussi «tous vêtements de bain couvrant la totalité du corps, des bras, des jambes et de la tête ne permettant pas une flottabilité positive». Des dispositions justifiées par la municipalité pour que «ne puisse être compliquée une éventuelle opération de secours ou d'extraction de la personne par les sauveteurs» mais aussi «afin d'éviter toute augmentation du risque de mise en danger de la personne et des sauveteurs». Publicité Discret, l'article a refait surface le 2 juillet dernier, lorsqu'une jeune femme vêtue de ce vêtement de bain polémique destiné aux femmes de confession musulmane a été expulsée d'une plage de la ville par des policiers municipaux. Les faits, relayés par la presse, ont finalement entraîné l'annulation de l'arrêté par le tribunal administratif de Marseille le 11 juillet dernier sur saisine de la Ligue des droits de l'homme, comme confirmé par son avocat, Me Simon Bechelen. «Atteinte grave et illégale aux libertés fondamentales» «Aucun élément ne permet de justifier un quelconque trouble à l'ordre public. laissons les gens se vêtir comme ils le souhaitent en temps de canicule», a réagi le conseil auprès du Figaro. Dans sa décision, le tribunal administratif a rappelé qu'il appartenait au maire de justifier toute restriction apportée aux libertés par «des risques avérés d'atteinte à l'ordre public», ajoutant notamment que l'article 8 de l'arrêté publié par la municipalité avait «porté une atteinte grave et manifestement illégale aux libertés fondamentales que sont la liberté d'aller et venir et la liberté personnelle». «Il n'appartient pas au maire de se fonder sur d'autres considérations et les restrictions qu'il apporte aux libertés doivent être justifiées par des risques avérés d'atteinte à l'ordre public», indique le tribunal dans sa décision. Le tribunal administratif a ainsi ordonné la suspension de l'article 8 entraînant l'interdiction du port du vêtement, ordonnant en outre la commune de Carry-le-Rouet à verser une somme de 1500 euros à la Ligue des droits de l'homme. Sollicité, l'entourage du maire de la ville, René-Francis Carpentier (DVD), a indiqué que l'édile ne souhaitait pas faire de commentaire. La municipalité ne devrait pas faire appel de cette décision.

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