
Grand Prix™ de la MotoGP™ de République Tchèque : à quelle heure et sur quelle chaîne voir la course en direct ?
sur quelle chaîne regarder le Grand Prix™ de la MotoGP™ de République Tchèque, en direct ce dimanche après-midi
.
Le Grand Prix™ de la MotoGP™ de République Tchèque est diffusé ce dimanche 20 juillet,
en direct sur la chaîne CANAL+
. Le coup d'envoi de la rencontre est prévu à 14 heures, sur l'Automotodrom Brno. Dès 13 heures 16, les experts de l'émission 'La grille Moto' vous plongent au cœur de l'actualité de la discipline. Les commentateurs prennent ensuite le relais pour décrypter les performances des pilotes et analyser les temps forts de la course. À l'issue du Grand Prix™, vous assistez à la remise des trophées et au débrief.
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Le Parisien
a few seconds ago
- Le Parisien
« Je ne peux plus me le voir » : quand Adil Rami s'en prend violemment à Lamine Yamal
Adil Rami n'a encore pas mâché ses mots. En direct sur sa chaîne Twitch, le champion du monde 2018 n'a pas pris de gant avec la jeune star du Barça Lamine Yamal , au point de prononcer plusieurs insultes. Rami remet essentiellement en cause le caractère et la façon d'être de l'Espagnol qu'il dit plus supporter. « Ça fait deux mois que, humainement parlant, je ne peux plus me le voir. Comme ça, c'est clair. Je m'en bats les couilles des gars qui ne sont pas contents, contents, les fans du Barça, les fans de Lamine Yamal… J'en ai rien à foutre. Je vous dis la vérité : footballistiquement parlant, rien à dire : un crack. Et certainement qu'il prendra des Ballons d'or et des Coupes d'Europe et ce que vous voulez. Mais humainement parlant : nique ta mère » , lance Adil Rami face caméra. Et de continuer : « La manière dont il a serré la main à Cristiano Ronaldo, ça m'a énervé. Ça a commencé par là. Avoir fait des vidéos derrière où il parlait sur lui, je n'ai pas aimé. De le le voir faire son délire de pantalon, de short baissé là… L'histoire des shorts et des pantalons baissés, ça vient des prisons là-bas aux États-Unis et au Mexique, et c'était celui qui voulait se faire enculer. Mais il y a des choses qui m'interpellent. Il fait des soirées et ça parle déjà de ses soirées. Attends un peu la putain de ta race ! Il arrive, il vient, il prend le N°10 et il met des gros trucs bling-bling avec de gros diamants… Il se prend pour un Américain. Ça casse les couilles. » Des propos qui ne sont pas passés inaperçus et ont rapidement fait réagir les internautes présents dans le direct. Ce sont la violence et les mots utilisés qui les ont principalement indignés.


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31 minutes ago
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Hyeok-kyu Kwon, le milieu défensif du Celtic Glasgow, vers Nantes
Nantes est proche d'enregistrer l'arrivée de Hyeok-kyu Kwon, milieu défensif sud-coréen appartenant au Celtic Glasgow, pour trois ans. Après le jeune gardien Alexis Mirbach, le défenseur Uros Radakovic, l'attaquant Youssel El-Arabi et le défenseur Chidozie Awaziem, Nantes s'apprête à enregistrer l'arrivée de Hyeok-kyu Kwon, 24 ans, milieu défensif sud-coréen du Celtic Glasgow qui était prêté la saison passée à Hibernian (Écosse), où il avait participé à 21 matches de Premiership. Il devrait s'engager pour trois saisons chez les Canaris et est attendu pour la visite médicale. Un accord se dessine aussi pour la venue d'un autre international sud-coréen, le milieu offensif de Mayence Hyunseok Hong, 26 ans, pisté depuis quelques semaines, sous forme de prêt avec option d'achat.

L'Équipe
31 minutes ago
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« L'ambition, c'est vachement bien ! » : Franck Riboud, président de l'Amundi Evian Championship et ex-PDG de Danone, confie sa passion intime pour le sport et les sportifs
L'ancien PDG de Danone et président du Majeur d'Évian Franck Riboud a toujours entretenu un lien particulier avec le sport, qui a guidé sa vie. Et avec les athlètes, des références pour lui en matière de management. Malgré sa casquette et ses lunettes noires, Franck Riboud (69 ans) ne passe pas inaperçu. Spectateurs, VIP ou joueuses de l'Amundi Evian Championship, tous interpellent affectueusement l'ancien PDG de Danone. Il a fait du tournoi de golf féminin, né en 1994 à l'initiative d'Antoine Riboud, son père et précieux modèle, une référence : c'est l'un des cinq Majeurs féminins. Admiratif des sportifs qu'il a accompagnés jusqu'au sommet ou soutenus dans l'ombre, il conserve avec eux une relation étroite et l'estime qu'il leur porte dépasse celle qu'il a pour ses relations d'affaires. « Quelle relation entretenez-vous avec le sport ?Durant toute ma vie, ma pratique personnelle, mes rencontres avec les sportifs, le choix de certains sports m'ont mis sur des trajectoires qui ne seraient jamais arrivées sans lui. J'avais un père passionné. Il nous expliquait : "Le sport, c'est bien, mais on fait de la compétition, sinon, ça s'appelle prendre l'air !". Il fallait gagner ou en tout cas aller au bout de ses moyens et de la performance. ça commençait par les compétitions avec mes frères, mes cousins. De facto, j'ai toujours été impressionné par les sportifs. J'ai passé des journées à regarder les résultats dans les journaux, les images à la télé et maintenant tout ça sur le Net. « La performance, je la vois, mais, surtout, je la respecte » Franck Riboud Quels sports pratiquiez-vous ?J'ai fait l'École polytechnique de Lausanne. À l'époque, j'étais champion du Lyonnais en géant et en slalom. Je faisais des stages chez Annie Famose (double médaillée aux Jeux Olympiques de Grenoble en 1968, argent en géant et bronze en slalom). Mon père était un bon copain du papa de Jean-Claude Killy. Jean-Claude est devenu mon grand frère, mon idole, je le connais depuis mes 5 ans. Après les études, je devais partir aux États-Unis, chez Rossignol, comme ingénieur. Ils ont fermé l'usine et je me suis retrouvé stagiaire au contrôle de gestion de... Panzani ! Au lieu du Vermont, je me suis retrouvé à Voiron. Et en sport, j'ai basculé du ski au tennis et à la planche à voile. C'est comme ça que je suis entré plus tard au conseil d'administration de Quiksilver. Le sport m'a mené partout. Vous avez bâti votre premier cercle dans le sport ?J'ai eu cette chance. En général, quand je trouve quelqu'un sympathique, je veux devenir copain avec lui. Mais au sens fidèle et loyal du terme. C'est comme ça que j'ai accroché avec Zizou (Zinédine Zidane) ou Liza (Bixente Lizarazu). Je n'avais pas envie d'être sur les photos avec eux, ce sont les hommes qui m'intéressent. La performance, je la vois, mais, surtout, je la respecte. Que recherchez-vous à leur contact ?Je veux avoir, avec le sportif, une relation profonde. J'ai toujours eu la volonté d'ouvrir des portes aux gens qui avaient fait "sport" comme études. ça m'impressionne beaucoup plus qu'HEC ou l'ENA ! Je place le grand sportif bien plus haut que les diplômés des grandes écoles. Parce qu'ils exécutent des choses vraiment incroyables avec du travail, du talent, à des âges beaucoup plus avancés. Je n'aime pas la hiérarchisation des talents suivant les diplômes. Je défends plus le travail que l'intelligence, même si les sportifs en ont beaucoup en situation. Le sportif a autant de qualités qu'un étudiant qui bachotte. Il a la pression très jeune, il est face à la performance. Il y a de la responsabilité, pas de tricherie. Et il est seul. On le voit surtout quand il arrête sa carrière. La reconversion est compliquée. En quoi peuvent-ils être des références en management ?Ils savent accepter et gérer l'échec. Le manager va faire des trucs qu'il aura moulinés avant, mais il assumera plus rarement l'échec. Le sport, paf ! Tu prends direct ! Le sportif peut dire aux médias "Il y a des choses positives dans cette défaite...", mais le soir, devant son miroir, il sait qu'il a planté et il doit rebondir sur la prochaine épreuve. Le manager devrait avoir plus souvent cette réflexion, que ça ne soit pas seulement la faute de ses équipes, de la concurrence ou du marché... « Un jeu de Lego. C'est comme ça que je considère la vie » Il y a des parallèles évidents entre l'entreprise et le sport ?Oui, et quand on confronte les deux, c'est passionnant. À Clairefontaine, un jour où j'intervenais avec Aimé Jacquet, devant des sportifs en reconversion comme Lolo (Laurent Blanc), Bogho (Alain Boghossian), ils nous posaient des questions qui prenaient un autre sens à travers nos réponses. Moi, j'étais dans l'entreprise, le management et Aimé dans son contexte sportif. On était chacun dans notre couloir, mais c'était génial. J'ai fait pareil avec Michel (Platini) à l'UEFA. On était dans la confrontation d'expériences, de ces deux mondes qui sont riches et complémentaires. Je l'avais aussi découvert en tant que DG d'Évian. J'ai eu la chance d'y arriver en 1992 grâce à Jean-Claude (Killy) où on est naturellement devenu partenaires des Jeux. Jean-Claude, pour moi, est un exemple absolu de résultats, de reconversion, d'exécution. Il m'a initié à beaucoup de choses. Sa vie est un livre. Et la vôtre ?Un jeu de Lego (rires) ! C'est comme ça que je considère la vie. J'ai rencontré des tas de gens, Killy, Platini, Zidane, Jacques (Bungert, vice-président du tournoi) et un jour, tu alignes les planètes. Mon père m'a toujours appris à raisonner en tiroirs. On regarde, on observe, et il faut savoir considérer et s'occuper de tout le monde. Dans mes Lego, j'ai la chance d'avoir eu quelques pièces intéressantes. « Je dis souvent à Zizou qu'il me doit sa carrière ! » C'est-à-dire ?Vers 35 ans, mon père me demande de rencontrer Gianni Agnelli. Danone était sur le maillot de la Juventus. La veille de cette rencontre, je révise, j'apprends tous les chiffres de Danone. J'arrive dans son appartement parisien. (Il prend l'accent anglo-italien : "Franck, J'ai deux questions. Vous aimez l'argent ?" Surpris, je ravale ma salive : "Oui, mais il n'y a pas que ça dans la vie". Quelle est la seconde ?"Vous savez que j'ai la Juve. Il vaut mieux que j'achète Dugarry ou Zidane ou bien les deux ?" Je lui réponds cash : "Zidane !" (Il se marre) C'est pour ça que je dis souvent à Zizou qu'il me doit sa carrière ! Il y a un peu de vrai aussi, plus tard, pour sa reconversion ?Non. Nous sommes surtout devenus potes. Un jour, à Évian, je lui demande ce qu'il va faire après le foot. Il me répond : "Rien". Je lui dis que "ne rien faire est impossible. Je te prends avec moi chez Danone. Je te fais un contrat de quatorze ans." Ce n'était même pas une question d'argent. Ni pour lui ni pour moi. C'était le départ de la Danone Nations Cup, notre Coupe du monde pour les enfants de 10 à 12 ans. Puis on est allés voir (Muhammad) Yunus, prix Nobel de la Paix (en 2006), qui avait créé le microcrédit au Bangladesh. Zizou a commencé ainsi à monter son propre jeu de Lego. À Evian, pendant le tournoi, on a lancé un match de foot avec les golfeuses, les caddies et des copains footeux dont Zizou. Laura Davies (4 victoires en Majeurs) ne croyait pas que le vrai Zidane était en face. Elle lui a pincé la joue pour voir si c'était le vrai ! Mélanger les mondes, j'aime ça, ! De là, sort la richesse. J'ai quatre enfants. Deux ont fait du sport de haut niveau, en foot et en golf. Ils ont pu étudier aux États-Unis grâce au sport universitaire. Quelle est la différence ?Une faculté américaine est avant tout une marque. Et une marque, il faut en faire la promotion. Tiger Woods à Stanford, ça fait partie de la marque. C'est aussi vrai pour l'étudiant de l'équipe de tennis ou de basket. En France, le jeune sportif n'est pas aussi valorisé que celui qui fait une classe préparatoire. Il y a une notion de risques là-dedans. Les parents sont plus rassurés si leur fils fait une grande école. C'est culturel. En France, on n'a rarement - ou jamais - mis le sport en avant dans les études. Aux États-Unis, avoir une équipe très forte dans une université est valorisant pour le drapeau, la marque. En France, le sportif qui veut aussi étudier à un très bon niveau saute souvent dans le vide. Je l'ai vu avec mes enfants... Quand on parle de sport à l'école en France, on parle d'éducation physique. Il n'y a pas un coefficient 6 au bac par exemple. C'est une matière "en plus", au cas où, pour grignoter quelques points... Franck Riboud : « Il faut développer la pratique du golf par les jeunes » Avec le Majeur d'Évian, vous vous battez aussi pour le sport féminin ?En 1994, quand on a lancé le tournoi avec mon père, beaucoup de gens étaient dubitatifs. On l'a fait autour de trois piliers : 1. Le sport féminin, avec la volonté qu'elles gagnent leur vie ; 2. La transition écologique de manière pragmatique ; 3. La redistribution. Comme dans l'entreprise, on a créé "l'intéressement" et la "participation". Au-delà de la dotation du tournoi (8 M$, 6,8 M€), on reverse par exemple une partie nos recettes vers les jeunes à travers notre "Galaxie", qui comprend l'Amundi Evian Kids Cup, la Junior Cup ou l'Evian Showcase à Las Vegas. On y sponsorise un tournoi qui permet à de jeunes Françaises et Français d'être mis en vitrine devant tous les coaches des universités américaines. On offre également des bourses en France. On aide aussi une quinzaine de néo-pros filles et garçons. « Vous connaissez des sportifs qui n'ont pas dit, un jour, vouloir être champion du monde ? Sauf qu'en France, quand un jeune le dit, on pense qu'il a le boulard ! » Pourquoi cet engagement ?On ne l'a jamais fait pour défendre une cause. Des réactions naturelles se sont enchaînées. On est venus au tournoi féminin parce que mon père avait embauché comme directrice à Évian une jeune fille de 23 ans, très bonne golfeuse, Valérie Pamard. Elle sortait d'UCLA. On a lancé un Pro-AM féminin puis l'engagement avec une marque comme Évian et la puissance de feu du groupe Danone nous ont permis de grandir. Quand on voit certaines affiches d'il y a vingt ans, avant de devenir un Grand Chelem, cela paraît totalement désuet mais on en était super fiers ! C'est là qu'on a appris. On est devenu l'un des plus grands tournois au monde en regardant toujours comment progresser. (Il s'arrête.) En termes de management en France, il y a une phrase catastrophique... Laquelle ?Vous devez vous fixer des objectifs accessibles. Des objectifs accessibles ! C'est catastrophique ! On discute beaucoup des relations parents-enfants dans le sport, car, parfois, les parents pensent avoir un champion à la maison... Mais c'est une chance inouïe qu'ils le pensent ! C'est à partir de 6-7 ans que le gamin doit tout donner au sport auquel il croit. Vous connaissez des sportifs qui n'ont pas dit, un jour, vouloir être champion du monde ? Sauf qu'en France, quand un jeune le dit, on pense qu'il a le boulard ! Mais non, avoir cette mentalité est une chance inouïe. Après, il peut aussi transformer cet état d'esprit dans un métier, une entreprise, dans sa vie. L'ambition, c'est vachement bien ! Je ne connais pas un sportif qui a réussi qui n'était pas ambitieux. Il faut être fier de soi. »