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Prix Maurice de Gheest à Deauville : Sajir, le tombeur du grand favori Lazzat

Prix Maurice de Gheest à Deauville : Sajir, le tombeur du grand favori Lazzat

Le Parisien4 days ago
Chuchoté dans les tribunes de Deauville (Calvados) aussi bien par les spectateurs, que par les professionnels, Lazzat, semblait invincible ce dimanche pour décrocher une deuxième fois le Prix Maurice de Gheest (Groupe I). Pourtant, le sprinteur, parti à la cote de 1,4/1, est tombé sur un missile nommé Sajir. « Quand nous avons gagné les Jubilee Stakes à Ascot, en juin, j'étais soulagé qu'il soit non-partant car je le redoutais déjà », avouait l'entraîneur, Jérôme Reynier. Loin d'être déçu, ce dernier trouvait des excuses à Lazzat qui a sans doute été « trop généreux et qui sera plus à l'aise en terrain souple. »
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Victorieux du 4e mondial Taylor Fritz dans la nuit de mercredi à jeudi à Cincinnati, Térence Atmane a fondu en larmes au milieu d'un public admiratif. Éclipsé par les projecteurs des grands circuits, Térence Atmane a trouvé la lumière à Cincinnati. 136e mondial et issu des qualifications, le Français s'est offert une place en quart de finale en venant à bout de Taylor Fritz, redoutable 4e mondial. À l'issue de cette bataille haletante (3-6, 7-5, 6-3), le natif de Boulogne-sur-Mer a fondu en larmes au milieu du court. Des larmes, oui, mais pas de tristesse. Juste l'explosion d'un rêve patiemment enlacé, qui éclate sous le poids de la réalité : il a bel et bien vécu la plus belle victoire de sa carrière. « C'est la plus grosse victoire de ma carrière, j'en perds les mots, c'est exceptionnel», a-t-il lâché au micro de l'organisation, sous l'admiration du public. Publicité Fort d'un solide service (13 aces) et d'un coup droit magnifié par une envie débordante, Térence Atmane poursuit son chemin en quart de finale, pour la première fois de sa carrière en Masters 1000. Il affrontera le Danois Holger Rune. À VOIR AUSSI - Mercato : «C'est incroyable», les mots d'Illya Zabarnyi après son arrivée au Paris SG

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Même dans un sport jeune, choisir les acteurs les plus performants est un débat sans fin. Nous nous sommes lancés en classant 10 combattants emblématiques. Un choix forcément subjectif. Libre à vous d'effectuer le vôtre. De quoi devenir chèvre. 1. Jon Jones : The Greatest (38 ans, 1,93 m, 107 kg, 28 victoires, 1 défaite, 1 no-contest, pourrait sortir de sa retraite) Sans doute le meilleur de l'histoire, créatif, imprévisible, a inventé des coups et des enchaînements inédits. Double tenant chez les lourds-légers et les lourds, l'Américain est le plus jeune champion de l'UFC à 23 ans. Son héritage sera malgré tout marqué par le sceau du dopage, de la drogue, de l'alcool et des déboires judiciaires. 2. Georges St-Pierre : La grande classe (44 ans, 1,77 m, 77 kg, 26-2, retiré de la cage) Personne n'incarne mieux que lui les valeurs de respect des sports de combat. Double champion des welters et moyens, le Canadien avait fait un break de quatre ans, irrité par les problèmes de dopage, avant de faire un retour triomphal en 2017. Il est une référence ultime. Sans doute le plus respecté par tous, combattants et fans de MMA. Un pionnier, une légende. Retour aux sources du MMA, le sport controversé 3. Khabib Nurmagomedov : Un aigle passe (36 ans, 1,77 m, 70 kg, 29-0, retiré de la cage) Invaincu en 29 combats ! Et une rivalité légendaire avec Conor McGregor. L'aigle du Daghestan n'a jamais trouvé d'adversaire à sa mesure chez les légers même si, une fois, Dustin Poirier, champion sans couronne, n'était pas loin de créer l'exploit. On pourra lui reprocher d'avoir pris sa retraite trop tôt, mais il avait tout d'un combattant « invincible ». Une référence dans le grappling et la lutte. 4. Conor McGregor : Plongée aux enfers (37 ans, 1,72 m, 70 kg, 22-6, dans l'attente) Que dire ? Plus grand que son sport ? Dana White n'avait pas aimé qu'on lui pose la question. Premier double champion dans 2 catégories simultanément (plume et légers), l'Irlandais a mis le MMA sur la carte du monde. Recordman des pay-per-view, il a fait du trash-talk sa marque de fabrique. Il a permis aux combattants de l'UFC d'être mieux payés. Mais une condamnation pour viol et des frasques en pagaille plombent sa trace dans l'histoire. 5. Francis Ngannou : Trop puissant (38 ans, 1,93 m 115 kg, 18-3, en activité) Un parcours unique, une force de frappe inouïe. Le Camerounais a débarqué dans le MMA comme un ouragan après des années de galère. La passion chevillée au corps, il a gravi tous les échelons jusqu'à réaliser son rêve de gosse en boxe anglaise. Champion des lourds en titre, il a claqué la porte de l'UFC pour rejoindre le PFL et y briller à nouveau. Capable de réaliser des masterclass, même au sol désormais. 6. 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Double champion en lourds-légers et lourds, « DC » savait tout faire, en striking et en lutte bien sûr. 8. Max Holloway : Le striker absolu (33 ans, 1,80, 70 kg, 27-8, en activité) Machine gun ! L'un des plus gros cardio de tous les temps, pas le gars à faire « une-deux » et sortir. Des séries de 5-6 coups, voire plus, rester debout, son credo. Un gars qui aime la bagarre pour la bagarre, et invite son adversaire (UFC 300) au centre de la cage pour le fun. L'Hawaïen, champion incontesté des plume pendant cinq ans, a su rebondir chez les légers après une trilogie perdue face à Alexander Volkanovski. 9. Fedor Emelianenko : Y'a débat (48 ans, 1,82 m, 107 kg, 40-7, 1 NC, retiré de la cage) Pour beaucoup, il est le plus grand des poids lourds. Le Russe a fait le bonheur du Pride, l'organisation japonaise qui surclassait l'UFC au début des années 2000. « The Last Emperor » savait se sortir de toutes les situations difficiles sur des mouvements inattendus mais n'a jamais répondu aux sirènes de l'UFC. Il a terminé sa carrière au Bellator avec des résultats mitigés. 10. Demetrious Johnson : C'est pas Mickey (38 ans, 1,60 m, 61 kg, 25-4, 1 Nul) « Mighty Mouse » porte bien son surnom. Il a défendu à 11 reprises sa ceinture des mouche de l'UFC. Véloce, expert en jiu-jitsu, striker de haut niveau, l'Américain régalait les spectateurs par sa technique et sa détermination. Conscient de sa valeur, il est allé jusqu'au clash avec Dana White (« C'est pas lui qui me ramène des pay-per-view »), avant de filer au One Championship dans un deal étrange en échange de Ben Askren et un dernier combat à l'UFC face à Henry Cejudo où il semblait éteint.

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