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Braquage à la Poste de Verrières-le-Buisson : 300 euros de butin et deux employés ligotés

Braquage à la Poste de Verrières-le-Buisson : 300 euros de butin et deux employés ligotés

Le Parisien09-07-2025
Un homme armé, cagoulé, agissant seul. Une enquête est en cours pour retrouver l'auteur d'un
braquage au bureau de Poste
de Verrières-le-Buisson (Essonne), survenu ce mardi 8 juillet.
Les faits se sont produits vers 9 heures, au moment de l'ouverture. Deux employés, un homme d'une cinquantaine d'années et une jeune femme, sont alors présents : ils voient arriver devant eux une silhouette toute de noir vêtue, un masque sur le visage, une arme de poing type revolver Glock dans une main.
L'instant d'après, l'intrus demande aux salariés de se faire ouvrir le contenu des distributeurs de billets du bureau. Problème, les deux employés ne sont pas habilités à le faire. Le braqueur décide alors de les ligoter avec un câble plastique avant de fouiller les caisses de l'agence, faute d'accéder aux distributeurs.
L'homme finit par s'emparer d'un maigre butin : 300 euros en liquide, selon nos informations, puis prend la fuite. Les policiers du commissariat de Palaiseau arrivent rapidement sur place et procèdent aux premières constatations. C'est finalement la
DCT 91 (Division de la criminalité territoriale)
qui a été chargée des investigations.
Le braqueur est activement recherché. Une grande partie de la scène aurait été filmée par les caméras de vidéosurveillance installées à l'intérieur du bureau de poste.
En 2020, l'agence BNP Paribas
de Verrières-le-Buisson avait aussi été visée par un braquage, mené par deux individus dissimulés dans le faux plafond… La commune est, par ailleurs, l'une des plus touchées par
les cambriolages
en Essonne.
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La loi Duplomb en partie censurée par le Conseil constitutionnel, « inacceptable » pour la FNSEA
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La loi Duplomb en partie censurée par le Conseil constitutionnel, « inacceptable » pour la FNSEA

LOI DUPLOMB - La FNSEA et la Coordination rurale se sont insurgées ce jeudi 7 août contre la décision du Conseil constitutionnel de censurer la réintroduction de l'acétamipride, pesticide interdit, prévue par la loi Duplomb, tandis que la Confédération paysanne a salué une « victoire d'étape ». « C'est un choc, c'est inacceptable et incompréhensible », a déclaré jeudi à l'AFP Jérôme Despey, vice-président du puissant syndicat agricole, la FNSEA, alliée aux Jeunes agriculteurs. « C'est inacceptable que le Conseil constitutionnel continue à permettre des surtranspositions » du droit européen qui autorise l'acétamipride jusqu'en 2033 dans l'Union européenne, a-t-il ajouté. Le texte adopté au Parlement prévoyait cette réintroduction « pour faire face à une menace grave compromettant la production agricole », sans limite dans le temps ni de restriction sur les produits concernés, mais avec une clause de revoyure « à l'issue d'une période de trois ans ». Les Sages ont estimé que « faute d'encadrement suffisant » sur la durée, le type ou la technique de traitement et sur les filières concernées, cette mesure était contraire à la Charte de l'environnement, qui a valeur constitutionnelle et affirme notamment « le droit de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé ». Un « abandon » Pour Jérôme Despey, cette censure est due à un « manque de précisions » dans l'écriture de loi et il a appelé le président Emmanuel Macron et le Premier ministre François Bayrou à « trouver un cadre législatif » pour concrétiser leurs promesses aux agriculteurs. Il a toutefois salué la validation des « allègements administratifs » pour construire des bâtiments d'élevage et des ouvrages de stockage de l'eau. « Cette décision marque l'abandon pur et simple de certaines filières de l'agriculture française, alors même que notre dépendance aux importations s'accentue au détriment de nos exigences sociales et environnementales », a ajouté Arnaud Rousseau, président du syndicat, sur X, en référence entre autres aux betteraviers qui voulaient notamment combattre la jaunisse des plantes avec l'acétamipride. « 400.000 agriculteurs face à 2 millions de pétitionnaires » Les Jeunes Agriculteurs se disent « exaspérés car certains en ont profité pour relancer une énième guerre de tranchées visant à opposer agriculture et écologie dans un débat qui se radicalise », a complété leur président Pierrick Horel dans un communiqué. La Coordination rurale, deuxième syndicat agricole, a vivement réagi dans un communiqué : « L'agriculture n'est rien pour eux (les juges du Conseil constitutionnel, ndlr) par rapport à l'environnement. Les 400.000 agriculteurs ne sont rien par rapport à 2 millions de pétitionnaires ». « Peu importe pour eux si les standards sanitaires, sociaux et environnementaux des produits étrangers que nous consommerons demain sont largement inférieurs à ceux imposés à l'agriculture française », ajoute la Coordination rurale, appelant à « favoriser les produits français ». Une « victoire d'étape » pour d'autres À l'inverse, la Confédération paysanne, troisième syndicat agricole, qui prône une « réelle » transition agroécologique, militait avec de nombreux ONG et scientifiques contre le retour de ce pesticide qualifié de « tueur d'abeilles ». Son porte-parole Stéphane Galais a salué auprès de l'AFP une « victoire d'étape », appelant à « continuer de mettre la pression pour obtenir une réorientation des politiques agricoles ». « On espère que la mobilisation ne s'éteindra pas », a-t-il ajouté en référence au succès inédit d'une pétition qui a réuni plus de deux millions de signataires contre la loi Duplomb et la réintroduction de ce néonicotinoïde. Cette décision « n'est qu'une victoire en demi-teinte (...) Les articles restants annoncent la fin d'une agriculture indépendante, familiale et transmissible », a ajouté la Confédération paysanne dans un communiqué. Entre « ingérence des juges » et « victoire pour l'écologie » « En se comportant comme un législateur alors qu'il n'en détient pas la légitimité démocratique, le Conseil constitutionnel scie la branche sur laquelle il est assis », a estimé Marine Le Pen après la censure des « Sages » quant à la réintroduction de l'acétramipride. Le chef de file des députés LR, Laurent Wauquiez, a quant à lui dénoncé « le niveau d'ingérence des juges constitutionnels » qui « devient un vrai problème pour notre démocratie ». « Difficile encore une fois de trouver normal que le Conseil constitutionnel décide à la place des élus d'interdire ce qui était autorisé il y a 5 ans », a-t-il écrit sur X. C'est « une victoire pour l'écologie », « la santé » et « la démocratie », a de son côté salué le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure. « Il faudra tout de même retenir et prendre la mesure des actes de ce gouvernement » qui a « fait voter avec ferveur une loi qui niait la réalité scientifique, reculait sur l'environnement, bafouait le Parlement, réautorisait les pesticides tueurs d'abeilles, et sacrifiait à la fois la santé des agriculteurs, des consommateurs et la biodiversité », a ajouté le patron des socialistes, dénonçant notamment le fait qu'aucun réel débat n'ait pu se tenir dans l'hémicycle de l'Assemblée sur ce texte très contesté.

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