Dernières actualités avec #police


Le Parisien
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Elle cachait 1,4 kg de cocaïne dans un sex-toy : une femme arrêtée à l'aéroport de Bali
Les douaniers avaient « des soupçons » sur son comportement. Une Péruvienne a été arrêtée sur l'île touristique indonésienne de Bali, après avoir tenté d'importer 1,4 kg de cocaïne, en partie dissimulée dans un sex-toy inséré dans son vagin, a annoncé ce mardi la police. La femme de 42 ans, dont l'identité n'a pas été dévoilée par les autorités locales, est arrivée à l'aéroport international de Bali en provenance du Qatar le 12 août. Recruté sur le dark web « Les douaniers ont eu des soupçons concernant son comportement et, après avoir consulté la police, ils ont procédé à des vérifications supplémentaires », a déclaré lors d'une conférence de presse Radiant, le directeur de l'unité des stupéfiants de la police de Bali, qui comme beaucoup d'Indonésiens, ne porte qu'un seul nom. Les policiers ont ensuite découvert 1,4 kg de cocaïne, en partie dissimulée dans un sex-toy inséré dans son vagin. La police l'a également accusée d'avoir transporté des dizaines de pilules d'ecstasy. La Péruvienne a déclaré à la police qu'elle avait été engagée pour transporter la drogue en Indonésie par un homme qu'elle avait rencontré sur le dark web en avril, en échange de 20 000 dollars (un peu plus de 17 000 euros). Un Australien, arrêté à Bali avec 206 sachets de cocaïne, risque la peine de mort ➡️ — Le Parisien (@le_Parisien) May 29, 2025 [4/4] Cécile Vallin, les secrets d'une disparition Crime story raconte chaque semaine les grandes affaires criminelles. Écouter L'Indonésie possède l'une des législations les plus sévères en matière de trafic de stupéfiants. Plus de 90 étrangers se trouvent actuellement détenus, condamnés à mort pour trafic de drogue, selon le ministère de l'Immigration et des services correctionnels.

Le Parisien
2 hours ago
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États-Unis : un policier arrêté par les services de l'immigration accepte de quitter le pays
Le service américain de contrôle de l'immigration et des douanes (ICE), avait annoncé avoir arrêté le 25 juillet dernier un policier du Maine, originaire de la Jamaïque. Celui-ci aurait finalement accepté de quitter volontairement le pays, a déclaré l'agence. Jon Luke Evans était un policier réserviste du département de police d'Old Orchard Beach. Selon Associated Press, un représentant de l'ICE joint par téléphone a déclaré qu'un juge avait autorisé le départ volontaire de Jon Luke Evans et qu'il pouvait quitter le pays dès à présent. Dans le cadre cette « autodéportation », Evans va devoir utiliser ses propres moyens pour quitter les États-Unis dans un délai prédéterminé. Il évite ainsi l'expulsion, ce qui pourrait en théorie, lui permettre d'effectuer une nouvelle demande de régularisation. Pour obtenir le départ volontaire, l'ancien policier a dû reconnaître son statut de résident illégal, affirmer renoncer à toute demande de séjour dans le pays et surtout prouver qu'il avait bien l'intention et les moyens financiers de quitter les USA. ICE @EROBoston arrested a Jamaican alien & local police officer after he attempted to unlawfully purchase firearm in Maine. Jon Luke Evans told ICE officers he intended to purchase the firearm for his employment as a police officer. More coming soon on — ICE Boston (@EROBoston) July 28, 2025 Comme le relate la presse américaine, le policier serait entré légalement le 24 septembre 2023 via un vol direction Miami avec un visa d'une semaine, qu'il aurait dépassé ensuite en ne rentrant jamais. Le pot aux roses a été découvert lorsqu'il aurait essayé d'acheter une arme à feu -qu'il aurait déclarée nécessaire pour son travail — chose que son visa (expiré) ne permettait pas. Une erreur dans la chaîne de contrôle Accusé de négligence dans son recrutement, le département de police d'Old Orchard Beach a déclaré que lors des vérifications pour embaucher le futur policier, tous les services indiquaient bien qu'il était autorisé à travailler aux États-Unis pendant près de cinq ans. La cheffe de police Élise Chard a déclaré dans un communiqué que « toute insinuation selon laquelle la ville et le département auraient manqué à leur devoir de vérifier l'éligibilité de M. Evans à travailler est fausse et semble être une tentative de rejeter la responsabilité sur un service local chargé de l'application de la loi qui a fait son travail correctement. » Pendant que les institutions se rejettent la faute sur la responsabilité du recrutement de Jon Luke Evans, l'intéressé est toujours détenu au centre de détention Wyatt, à Central Falls, dans le Rhode Island, dans l'attente de son départ.


Le Parisien
4 hours ago
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« Énervé », il agresse une policière et donne « un violent coup de pied » dans Police, le chat du commissariat
Il est tard, le 14 août, lorsque Richard S. se fait ramener chez lui par des amis. L'homme, ivre, arrive en bas de son immeuble de Beauvais (Oise) et découvre sa femme au sol. Placée en PLS (position latérale de sécurité), elle est déjà entourée et aidée par des habitants du quartier. Mais Richard S. s'emballe, s'énerve et monte chercher un couteau chez lui. La police intervient rapidement et tente de le maîtriser. Il se débat, agresse une agente en la « poussant » et insulte les forces de l'ordre. « Il hurlait qu'il voulait s'en prendre à quelqu'un », affirme ce mardi un officier du commissariat de Beauvais. « Des médicaments contre la douleur » Interpellé, l'homme de 40 ans est conduit aux urgences puis au poste. Mais une fois placé en garde à vue, sa colère ne retombe pas. « Il était toujours énervé, confie l'agent de police. Puis sans raison apparente, il a donné un violent coup de pied dans le ventre de notre chat. » Une des zones les plus sensibles de leur corps. L'animal appelé Police a alors fait un vol plané de « plusieurs mètres » avant d'atterrir contre une vitre. Apeuré, il n'a été retrouvé que le lendemain dans son local, toujours sur ses gardes. « On l'a donc emmené chez le vétérinaire, continue-t-il. Police a ensuite reçu des médicaments contre la douleur. » Bien que cette histoire l'ait marqué, le félin se porte mieux. Une première pour le commissariat, qui a adopté l'animal il y a 10 ans. « Beaucoup de commissariats ont des chats, explique l'officier. Comme il était abandonné, on lui a donné de l'eau et de la nourriture. Puis il est resté. » Depuis, Police se déplace en toute liberté dans les locaux.


24 Heures
5 hours ago
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Ce que la police cherche à apprendre des Neuchâtelois à travers un questionnaire
Une vaste enquête est lancée pour évaluer la perception des risques physiques et numériques, ses résultats devant permettre l'ajustement de ses prestations. Publié aujourd'hui à 12h11 L'État de Neuchâtel a lancé ce mardi une vaste enquête auprès de 14'000 résidentes et résidents pour évaluer leur perception de la sécurité physique et numérique ainsi que la qualité du service de la police neuchâteloise, comme l'annonce l'État de Neuchâtel dans un communiqué. Cette deuxième édition du sondage, qui fait suite à celle de 2019, vise à adapter les prestations policières aux attentes de la population. Les personnes sélectionnées pour constituer un échantillon représentatif recevront un courrier postal signé par la conseillère d'État Céline Vara. Ce courrier contiendra un lien vers le questionnaire en ligne ainsi qu'un code d'accès personnel. Le traitement des données est strictement encadré les réponses restent anonymes et aucun lien ne peut être établi entre les réponses et l'identité des participantes et participants. Le délai de participation est fixé au 19 septembre. Évolution depuis 2019 Six ans après la première édition, cette mise à jour des données apparaît essentielle pour suivre l'évolution de la société, de la criminalité et des préoccupations citoyennes. L'enquête de 2019 avait révélé un sentiment de sécurité globalement élevé dans le canton. Les principales sources d'inquiétude concernaient alors la conduite dangereuse de véhicules, le vol de vélos et les cambriolages au domicile. Les répondantes et répondants se disaient également plus préoccupés par les risques liés à Internet, notamment les escroqueries et l'usage frauduleux de cartes bancaires, que par ceux du monde physique. L'enquête est menée en collaboration avec une équipe de recherche indépendante, composée de l'École des sciences criminelles de l'Université de Lausanne et du bureau d'expertise criminologique OutSiders Sàrl. Les données collectées seront analysées par les criminologues mandatés et un rapport est attendu pour le début de l'année 2026. La police neuchâteloise accorde une grande importance aux résultats de cette enquête, qui contribuent concrètement au pilotage de ses activités et à l'orientation de son action sur le terrain. La sécurité dans tout ses états Newsletter «La semaine neuchâteloise» Découvrez l'essentiel de l'actualité du canton de Neuchâtel, chaque vendredi. Autres newsletters Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


Le Figaro
5 hours ago
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Paris : deux employées d'un supermarché Aldi séquestrées et ligotées, 20.000 euros volés
L'agression a eu lieu dimanche avant l'ouverture du magasin situé boulevard Magenta, dans le 10e arrondissement. La police judiciaire est chargée de l'enquête. Deux employées d'un magasin Aldi situé au 99 boulevard Magenta (Paris 10e) ont été retrouvées par les policiers les pieds et les poings entravés par du gros scotch au sous-sol du supermarché dans la salle des coffres, dimanche 17 août au matin, a appris Le Figaro de source policière. C'est un agent de sécurité qui a donné l'alerte. Ce dernier avait remarqué que la grille du magasin était fermée mais qu'il y avait de la lumière à l'intérieur. Inquiet de voir que l'enseigne était toujours fermée, malgré une ouverture prévue à 8 heures 30, il a prévenu les forces de l'ordre vers 10 heures. Publicité Menacées avec un couteau Selon nos informations, les victimes se trouvaient déjà dans le magasin lorsque deux malfaiteurs les ont menacées avec un couteau aux alentours de 7 heures 30 avant de les séquestrer et de les ligoter dans la salle des coffres, où ils ont volé un fond de caisse estimé à environ 20.000 euros. Les voleurs ont pris la fuite en taxi. En état de choc, les deux employées ont été transportées par les sapeurs-pompiers à l'hôpital. Leurs jours ne sont pas en danger. L'une d'elles souffre de douleurs au dos suite à une chute dans un escalier au cours de l'agression. Une enquête confiée au 2e district de police judiciaire (2e DPJ) a été ouverte pour «vol avec arme en bande organisée et séquestration en bande organisée», indique le parquet de Paris au Figaro.