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Donald Trump sera en visite d'État au Royaume-Uni du 17 au 19 septembre

Donald Trump sera en visite d'État au Royaume-Uni du 17 au 19 septembre

Le Parisiena day ago
La visite d'État de
Donald Trump
au Royaume-Uni se précise. Le président américain l'effectuera du 17 au 19 septembre, annonce ce lundi le palais de Buckingham, le siège de la royauté britannique.
Il s'agira de la deuxième visite en deux mandats pour le dirigeant américain. Le locataire de la Maison Blanche et son épouse Melania seront accueillis par
le roi Charles III
, chef d'État britannique, et la reine Camilla, au château de Windsor, près de Londres, la capitale. Donald Trump a été invité par une lettre du souverain que lui avait remise le Premier ministre Keir Starmer, en février.
« C'est la première fois qu'un dirigeant est invité deux fois à effectuer une visite d'État », avait alors souligné le chef du gouvernement britannique. Cette invitation a été qualifiée quelques minutes plus tard d'« immense honneur » par le président américain.
Lors de son premier mandat, Donald Trump a été reçu en 2019 par la reine
Elizabeth II
, qui lui a accordé le privilège de lui ouvrir Buckingham Palace et a présidé un banquet en son honneur.
Contrairement au président français Emmanuel Macron, qui a pu s'exprimer devant le Parlement britannique lors de sa récente visite d'État, il n'est pas prévu que Donald Trump s'adresse devant la Chambre des Communes à Westminster en raison d'un problème de calendrier. La chambre basse du Parlement britannique ne siégera pas au moment de la visite de Donald Trump.
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timean hour ago

  • Le Figaro

Royaume-Uni : une aristocrate historiquement proche de la famille royale et son compagnon reconnus coupables de la mort de leur bébé

La sentence de Constance Marten et de son compagnon Mark Gordon, déjà condamné à 20 ans de prison pour viol, sera connue le 15 septembre. L'affaire, la mort du bébé de l'aristocrate lors d'une cavale, avait fasciné les Britanniques. L'affaire avait fait grand bruit outre-Manche. Une Britannique issue d'une famille aristocratique et son compagnon, condamné dans le passé pour viol, ont été jugés coupables lundi de la mort de leur bébé qu'ils tentaient de soustraire aux services sociaux. Il y a un an, les jurés n'étaient pas parvenus à s'entendre après 72h de délibérations sur le rôle joué par Constance Marten, cette héritière d'une famille historiquement proche de la famille royale âgée de 38 ans, et son compagnon Mark Gordon, 51 ans, dans la mort de leur fille Victoria. À l'issue d'un nouveau procès devant la cour criminelle de l'Old Bailey à Londres, un jury les a reconnus coupables à l'unanimité d'homicide involontaire. Ils avaient déjà été condamnés, à l'issue du premier procès, pour cruauté infantile et pour avoir dissimulé la naissance d'un enfant. Tous deux ont été maintenus en détention et seront fixés sur leur peine le 15 septembre. Publicité En janvier 2023, la cavale de cette jeune femme et de son compagnon, qui avait auparavant purgé une peine de 20 ans de prison pour viol aux États-Unis, avait fait la Une des médias britanniques. Comme l'avait raconté Constance Marten au tribunal, le couple, qui vivait dans la marginalité, avait tenté de cacher la naissance de Victoria après s'être vu retirer la garde de leurs quatre autres enfants par les services sociaux. Placenta découvert dans une voiture abandonnée La découverte d'un placenta dans leur voiture abandonnée sur le bord d'une autoroute près de Manchester (nord), avait conduit la police à lancer un avis de recherche dans tout le pays. Après des semaines d'une fuite éperdue, dormant dans des hôtels, dans une tente en plein hiver, et dépensant des centaines de livres pour se déplacer en taxi à travers le pays, le couple avait finalement été arrêté le 27 février 2023 à Brighton, dans le sud de l'Angleterre. Le corps de la petite Victoria, âgée de seulement quelques jours, avait été retrouvé le 1er mars dans un sac de supermarché abandonné dans un hangar. L'autopsie n'a pas pu déterminer les causes exactes de la mort du bébé. L'accusation a estimé qu'elle était soit morte d'hypothermie, soit que sa mère l'avait étouffée en s'endormant sur elle. C'est cette thèse de l'accident que le couple a toujours défendue, affirmant que leur fille n'avait pas été victime d'actes de cruauté. Contrairement à leur premier procès en 2024, les jurés avaient cette fois été partiellement informés du passé violent de Mark Gordon. Outre sa condamnation pour viol en 1989 à l'âge de 14 ans, il a été reconnu coupable de l'agression de deux policières dans une maternité galloise en 2017, et soupçonné de violences conjugales sur Constance Marten, lui causant notamment une rupture de la rate alors qu'elle était enceinte. «J'ai été extrêmement chanceuse» Cette dernière a passé sa jeunesse dans des écoles huppées et a voyagé partout dans le monde, avant un parcours de vie fait d'ellipses et de ruptures inexpliquées. «J'ai été extrêmement chanceuse», a estimé la jeune héritière devant la justice, qui a raconté, les yeux baissés, que la révélation d'un «évènement traumatique» survenu pendant son enfance et causé par un membre de sa famille l'a obligée à prendre la fuite et à rompre avec ses proches au début des années 2010. Publicité Son père, Napier Marten, a été page d'honneur auprès de la reine Élisabeth II dans les années 1970, tandis que sa grand-mère paternelle, Mary Anna Marten, était la filleule de la reine mère, Elizabeth Bowes-Lyon. Constance Marten a également assuré avoir été poursuivie par des détectives privés envoyés par sa famille peu avant d'être tombée enceinte de son premier enfant en 2017. «Je voulais une vie normale, mais j'avais de grandes difficultés avec ma famille... Ce n'était pas un choix», a-t-elle assuré.

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