
Les résultats du Loto de la FDJ du lundi 28 juillet 2025
millions d'euros en découvrant la combinaison gagnante. Si le jackpot a été remporté, alors il retombera à son montant initial de 2 millions d'euros. En revanche, en l'absence de grand vainqueur, le jackpot sera encore plus important lors du prochain tirage.
Jouez au Loto en ligne ici
Comparez les résultats du tirage du Loto de ce lundi 28 juillet 2025 à vos grilles, pour savoir si vous avez gagné.
La combinaison qui remporte ce tirage contient les numéros 6.22.25.27.30. et le numéro Chance 5.
Si vous souhaitez connaître les résultats liés à l'option 2nd tirage, rendez-vous dès maintenant sur fdj.fr, où vous pourrez aussi consulter la liste des dix codes Loto tirés au sort pour recevoir 20000 euros.
Les résultats du Loto : cliquez ici pour avoir tous les détails du jour
Pour découvrir si vous avez gagné au Loto, il est avant tout essentiel de savoir où et quand consulter les résultats des tirages. Les soirs de tirage, aux alentours de 20h35, vous pourrez prendre connaissance de la combinaison gagnante sur la chaîne TF1. Si vous avez manqué cette diffusion, vous pourrez retrouver l'ensemble des résultats du jour sur fdj.fr ou dans l'appli FDJ, à partir de 20h45. Vos grilles contiennent au moins deux bons numéros ? Faites estimer les gains remportés, en utilisant le simulateur mis à votre disposition sur le site officiel de la FDJ. Vous pourrez également scanner vos grilles papier grâce à la fonction dédiée, intégrée à l'application mobile de la Française des Jeux. Si vous avez joué au Loto en ligne, la somme empochée sera rapidement transférée vers la cagnotte liée à votre profil joueur FDJ.
Cliquez ici pour
tenter votre chance au prochain tirage du Loto
Les jeux d'argent et de hasard peuvent être dangereux : pertes d'argent, conflits familiaux, addiction... retrouvez nos conseils sur joueurs-info-service.fr (09 74 75 13 13 - appel non surtaxé)

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Figaro
17 minutes ago
- Le Figaro
« Regarde » : quand Barbara célèbre la victoire de François Mitterrand
Discrète amie du premier président socialiste de la V e République, la dame en noir chante l'« espoir » d'un « autre demain » sur la scène de l'hippodrome de Pantin, quelques mois après le triomphe de la gauche. «On ne peut être qu'indigné par une telle interprétation» : La Marseillaise selon Gainsbourg, scandale et cætera Derrière des airs de ballade, Barbara a souvent raconté ses peines et ses traumatismes. Ceux d'une enfance nomade, marquée par la guerre et l'inceste paternel. Mais cet automne-là, la dame en noir célèbre l'espoir sur la scène de l'hippodrome de Pantin : Regarde, un titre enflammé qu'elle aurait composé, selon la légende, au soir de la victoire de François Mitterrand en mai 1981. De cette chanson manifeste ne subsiste que cette seule version enregistrée sous le chapiteau de cirque où elle donna une série de concerts désormais mythiques. « Quelque chose a changé./ L'air semble plus léger./ C'est indéfinissable », chante-t-elle, portée par les notes saccadées de son piano. Souvenir des foules en liesse, parfois perchées sur les capots des voitures, qui ont envahi quelques mois plus tôt les rues du pays. Une page vient de se tourner. Voilà près d'un quart de siècle que le pouvoir échappait à la gauche, condamnée à l'opposition sous la Ve République. Jusqu'à ce 10 mai 1981, où l'alternance…


Le Parisien
17 minutes ago
- Le Parisien
Dans l'Eure, le musée du landau se cherche un avenir
À Saint-Aubin-de-Scellon (Eure), à la frontière du Calvados, le musée du landau des époux Espaldet est une petite pépite hors du temps, niché au fond de leur jardin. Riche de plus de 380 pièces glanées à travers le pays depuis presque 30 ans, cette collection unique remonte jusqu'à Napoléon III et évoque la petite et la grande histoire de la France. « En 1936, il y avait des modèles qui s'accrochaient derrière les vélos. C'était la découverte des congés payés et des vacances », raconte Florence Espaldet qui a pour chaque modèle, restauré par ces deux passionnés, une anecdote ou une petite histoire. Pour son film « Adèle Blanc-Sec », le réalisateur Luc Besson est même venu en emprunter deux. Seulement voilà, les années passent, « et nous ne rajeunissons pas », sourit la retraitée de 79 ans qui, avec son mari Pierre, 83 ans, longtemps maire de son village, aimerait pouvoir passer la main : « Pour l'instant tout va bien, mais assurer les visites et entretenir le musée demande du temps et de l'énergie que nous n'aurons pas toujours. » Où déménager la collection Ils aimeraient qu'une collectivité locale reprenne le flambeau. « Nous n'en faisons pas une affaire d'argent, puisque nous léguerions l'ensemble de notre collection s'il y avait un lieu pour l'accueillir et continuer à la présenter au public », continue Florence Espaldet. Elle a notamment reçu le soutien du président de la région Normandie, Hervé Morin, longtemps maire d'Épaignes, une commune voisine. « Il aimerait lui aussi que nos landaus restent dans le coin, mais pour l'instant aucune proposition n'a abouti. » Un temps, le conseil municipal de Thiberville a porté un projet qui pour l'heure est au point mort. Et à l'heure où les collectivités locales font la chasse aux dépenses superflues, garantir un avenir à ce musée qui n'accueille que quelques centaines de visiteurs chaque année ne semble pas une priorité.


Le Parisien
17 minutes ago
- Le Parisien
Jardin de 1,4 ha, fontaines... Au Vésinet, la villa où a vécu Joséphine Baker toujours en vente à 19 millions d'euros
En vente depuis janvier 2025, cette maison d'exception ouverte au public chaque année lors des Journées du patrimoine n'a toujours pas trouvé d'acheteurs… Avec ses douze chambres, quatre salles de bain, deux salons, sa maison de gardiennage et son jardin de 1,4 ha à 180 degrés, le château de Joséphine Baker en ferait rêver plus d'un. La villa conçue sur deux étages a été imaginée par l'architecte Louis Gibert, également connu pour avoir dessiné l'hôtel de ville du Vésinet. Depuis sa construction en 1891, la maison a connu bien des rénovations, toujours dans le respect de la mémoire de la militante et des matériaux d'origine.