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« Des joueurs qui évoluent ensemble depuis quatre, cinq ans » : pour Mohamed Salah, le favori en Premier League, c'est Arsenal

« Des joueurs qui évoluent ensemble depuis quatre, cinq ans » : pour Mohamed Salah, le favori en Premier League, c'est Arsenal

L'Équipea day ago
Lors de la cérémonie des PFA Awards, Mohamed Salah a assuré qu'Arsenal était pour lui le favori pour le titre de champion d'Angleterre. L'Égyptien de Liverpool a pointé le vécu commun de l'effectif des Gunners.
Mohamed Salah tente de chasser la pression qui pèse sur le favori. Mardi, lors de la remise des PFA Awards, l'Égyptien de 33 ans a sous-entendu que Liverpool n'était pas forcément le candidat le plus évident à sa propre succession au palmarès de la Premier League. Interrogé sur les réseaux sociaux par un supporter d'Arsenal sur son favori pour le titre de champion d'Angleterre, l'ailier droit a désigné les Gunners, dauphins du LFC la saison passée, plutôt que les Reds.
« Vous avez une grande équipe cette saison, comme la saison dernière, a-t-il expliqué. Vous avez de grandes chances. Je pense que vous êtes favoris maintenant car vous avez des joueurs qui évoluent ensemble depuis quatre, cinq ans. Mais je ne peux pas vous souhaiter bonne chance, j'espère qu'on gagnera encore. » Au cours de la soirée, lors de laquelle il a été désigné meilleur joueur du Championnat 2024-2025, Salah n'a pas non plus souhaité affirmer que son équipe disposait d'un effectif plus fort que la saison passée, en dépit d'un mercato particulièrement dépensier à Anfield.
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La 10e édition de la Coupe du monde qui débute ce vendredi en Angleterre et s'achèvera le 27 septembre à Twickenham sera la plus grande jamais organisée. Avec l'ambition de faire basculer le rugby féminin dans une autre dimension. Il reste des places à vendre. Pas pour la finale à Twickenham déjà à guichets fermés, prise d'assaut par le public anglais qui a anticipé la présence des Red Roses le 27 septembre prochain et qui permettra au rugby féminin de battre le record détenu par le Stade de France à l'occasion du tournoi à 7 des JO de Paris. Les rencontres des Anglaises affichent d'ailleurs complet à commencer par celle au Stadium of Light de Sunderland (48 000 places) pour le match d'ouverture ce vendredi soir (20h30) face aux États-Unis. Avant même que cette dixième Coupe du monde ne démarre, les records tombent. Ce sera la première à seize équipes (12 en Nouvelle-Zélande en 2021) et une représentation de tous les continents avec la première participation du Brésil. Elle se disputera dans huit villes, donc huit stades (contre trois il y a trois ans) dans lesquels les équipes engagées tourneront afin que l'ensemble du pays puisse profiter de l'événement. « 95 % de la population se trouve à moins de deux heures de trajet d'un des stades », insiste Sarah Massey, la directrice générale du tournoi. Nos favorites pour la Coupe du monde en Angleterre 375 000 billets ont été vendus sur 470 000 places disponibles, c'est trois fois plus que lors de la dernière édition. Les ventes de billets, d'hospitalités et de sponsoring ont explosé par rapport à l'édition précédente pour faire du rugby féminin un véritable enjeu commercial. Voilà pour les grandes lignes d'une Coupe du monde qui se voit comme un tournant pour le rugby féminin. Le modèle du football féminin L'Angleterre entend bien réaliser avec le rugby ce qu'elle est parvenue à faire avec le football féminin. Lancé en 2017, le plan de développement du football féminin a abouti à deux titres de championne d'Europe des Lionesses (2022 et 2025), une finale de Coupe du monde perdue face à l'Espagne (0-1, en 2023) et le titre d'Arsenal en Ligue des champions cette année. Les Red Roses, elles ne partent pas avec un palmarès vierge. Elles sont les incontestables numéros 1 mondiales et archi-favorites pour un troisième titre après ceux de 1994 et 2014. Manae Feleu, la co-capitaine des Bleues étudiante en médecine Et elles doivent également être des locomotives pour le développement de la pratique des femmes grâce à un plan d'action mené par World Rugby avec le soutien du gouvernement britannique : mobilisation médiatique (diffusion sur la BBC, énormes investissements sur les réseaux sociaux), investissements dans les infrastructures, développement de l'encadrement et bien sûr hausse des licenciées - + 9,3 % depuis un an - avec l'objectif de doubler le nombre de pratiquantes pour atteindre les 100 000 en 2027. Évidemment, toutes les nations espèrent profiter de cet élan. L'Australie, organisatrice de la prochaine édition, se met sur les rails. Les États-Unis et l'Afrique du Sud progressent. Les sélections britanniques ont évidemment marqué la compétition depuis longtemps et il suffit de voir la montée en puissance de l'Irlande depuis un an, passée de la 10e à la 5e place, pour s'en rendre compte. Aoife Wafer élue meilleure joueuse du dernier Tournoi des Six Nations et ses coéquipières ont bien l'intention de s'inviter. Les Françaises qui pourraient les affronter en quarts de finale et qui avaient beaucoup souffert pour s'imposer à Belfast au printemps dernier (15-27) sont prévenues. Le stade de Belfast avait rarement été aussi garni pour un match féminin et nombreuses étaient les filles de tous âges dans les tribunes, témoignage d'un intérêt nouveau et grandissant. La France veut surfer sur la dynamique du Mondial Et il y a la France, ambitieuse comme les autres. Sur le plan sportif bien sûr mais aussi en profitant de ce qui se passe outre-Manche avec dans le viseur 100 000 licenciées à l'horizon 2033, plus du double d'aujourd'hui. « On est aussi sur la rampe de lancement, explique Ariane Van Ghelue, en charge du haut niveau féminin à la FFR. On doit tirer profit de la dynamique que cette Coupe du monde va créer pour qu'en France, le rugby s'installe parmi les cinq sports collectifs majeurs avec le football, le hand, le basket et le volley. On est en train d'aligner tout ce qu'il est possible d'aligner avec le nouveau Championnat, la diffusion des matches sur Canal+ etc. » Marine Ménager : « On est persuadées qu'on peut la gagner » Il est vrai que cette année a été charnière avec la mise en place, enfin, d'un Championnat Elite 1 avec une poule unique de dix clubs et l'accord avec Canal+ pour diffuser quelques matches de Championnat (quatre lors de la saison régulière et la finale remportée par le Stade Bordelais face au Stade Toulousain). Le Tournoi des Six Nations a également fait le plein avec deux matches en France à guichets fermés (La Rochelle et Brive), 1,6 million de téléspectateurs en moyenne pour les quatre premiers matches, 2 millions pour l'Angleterre avec une pointe à près de 3 millions. « L'intérêt médiatique est évident, on le voit avec Canal+ et avec TF1 qui retransmet la Coupe du monde, reconnaît Van Ghelue. Et il y a aussi un réel intérêt de partenaires qui veulent aujourd'hui se positionner sur le rugby féminin, ce qui est très nouveau et encourageant ». Aux Bleues d'assumer leur rôle de locomotive.

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Champion de France U19 avec le PSG, Noham Kamara (18 ans) a signé son premier contrat professionnel, d'une durée de trois saisons, avec le club de la capitale. Il avait fait deux apparitions en Ligue 1 la saison dernière. On peut être champion de France sans avoir signé son premier contrat professionnel. C'est désormais chose faite pour Noham Kamara, qui a signé au PSG jusqu'en 2028. Le défenseur de 18 ans avait rejoint le club de la capitale en 2024, après avoir commencé le football au CS Meaux, sa ville de naissance en Seine-et-Marne, puis évolué à l'US Torcy. Il a été sacré champion de France U19 la saison dernière. Convoqué pour la première fois avec l'équipe première du PSG lors d'un match face au Havre (2-1), le 19 avril, Kamara a effectué ses débuts en Ligue 1 quelques semaines plus tard face à Strasbourg (1-2), le 3 mai, avant de rejouer quelques minutes face à Montpellier (4-1) une semaine plus tard. Deux apparitions qui lui ont valu d'être crédité du titre de champion de France décroché par le PSG.

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L'essor de la pratique du rugby chez les femmes est une aubaine pour la FFR, en quête de nouvelles licenciées. Le Mondial en Angleterre, qui débute ce vendredi, doit permettre d'accentuer cette tendance. Rentrée des classes pour le XV de France féminin. Les Bleues lancent ce samedi (21 h 15 sur TF1) leur Coupe du monde face aux Italiennes, à l'occasion d'une 10e édition de la compétition mondiale qui se déroule cette année en Angleterre (22 août-27 septembre). Et qui devrait permettre au rugby féminin, en plein essor, de franchir un nouveau cap. « Il y a désormais un vrai public pour l'équipe de France féminine, les matchs ne sont plus uniquement suivis par les passionnés du rugby. On veut encore élargir cette base à toute la population, la rajeunir et la féminiser », explique au Figaro Florian Grill, le président de la Fédération française de rugby (FFR). Les mentalités ont déjà bien évolué chez les amateurs de rugby puisqu'une étude récente de Kantar Média révélait que 40 % des personnes intéressées par ce sport suivent désormais les rencontres des Bleues. Longtemps dans l'ombre du XV de France masculin, le rugby féminin connaît un nouvel engouement. En mai dernier, la FFR recensait 52 689 licenciées (contre 311.681 chez les hommes), un chiffre qui a connu une augmentation de 18 % en un an et été triplé en dix ans. Après sa réélection, en octobre 2024, le président de la FFR a lancé un « plan Marshall » pour venir en aide aux petits clubs et rénover leurs infrastructures, avec un tiers de l'enveloppe de 60 millions d'euros dédié à la pratique féminine. Adidas, partenaire de l'instance dirigeante, a, de son côté, débloqué 2 millions d'euros pour aider au développement de la pratique chez les rugbywomen. Publicité Cette Coupe du monde 2025 « va être un tournant pour la pratique féminine, poursuit Florian Grill. Cet événement majeur, diffusé sur TF1, constitue un levier clé pour accélérer le développement du rugby féminin et atteindre nos objectifs, tant en termes de visibilité que de recrutement de licenciées. » Objectif affiché : 100.000 licenciées d'ici à 2033. Autre coup de projecteur, le championnat de France (Élite 1), restructuré pour gagner en visibilité, bénéficie d'une exposition accrue avec quelques rencontres diffusées sur Canal+. La saison dernière, le choc entre l'ASM Romagnat et le Stade Bordelais avait attiré 18.885 spectateurs au stade Michelin, un record dans l'histoire du championnat. À lire aussi Le carnet de notes des Bleus en Nouvelle-Zélande : Guillard et Fischer épatent, Barré et Colombe en perdition Une exposition importante Le XV de France féminin, à l'occasion du Tournoi des six nations, bénéficie également d'une exposition importante. Lors de la dernière édition, 1,8 million de téléspectateurs avait suivi en moyenne les matchs des Bleues. Si l'on est encore loin des chiffres du XV de France d'Antoine Dupont (7,3 millions de personnes en moyenne), la progression est exponentielle du côté des filles. « Oui, il y a plus d'attentes sur nous aujourd'hui. Mais je pense que c'est aussi très positif. Ça veut dire que les gens nous regardent de plus en plus, sont attentifs à nos performances et nous suivent », souligne Marine Ménager, la cocapitaine de l'équipe de France. L'Angleterre et la Nouvelle-Zélande sont les grandes favorites. C'est vrai qu'elles ont encore de l'avance sur nous Florian Grill, président de la FFR Les Bleues ne sont toutefois pas logées à la même enseigne que les Anglaises et les Néo-Zélandaises, favorites du Mondial, qui disposent majoritairement d'un statut professionnel à temps plein. En France, seulement 32 joueuses sont aujourd'hui sous contrat fédéral d'un an, avec un statut semi-professionnel à 75 % et des salaires mensuels compris entre 3500 et 4000 euros. D'où, sur le terrain, un écart de niveau criant entre les Françaises et les deux meilleures nations mondiales. À l'image de la lourde défaite concédée début août en match de préparation contre les Red Roses anglaises (6-40). « L'Angleterre et la Nouvelle-Zélande sont les grandes favorites. C'est vrai qu'elles ont encore de l'avance sur nous, reconnaît le président de la FFR. On est outsiders mais on veut vraiment jouer notre carte à fond et profiter de cette médiatisation exceptionnelle, en prime time sur TF1 (pour leur entrée en lice, puis sur France 2 contre le Brésil et l'Afrique du Sud, NDLR), avec tous nos matchs diffusés. » À lire aussi XV de France : Guillard et Fickou omniprésents, Barré catastrophique... Les notes des Bleus après la nouvelle défaite face aux All Blacks Chute du nombre de licenciés Pour Florian Grill, l'un des chantiers prioritaires concerne la chute du nombre de licenciés. Car si le rugby est devenu le deuxième sport le plus médiatique en France, ce sport n'est que le… neuvième en termes de pratiquants, avec 360.000 licenciés la saison passée. Loin derrière le football (plus de 2 millions), le tennis (plus de 1 million) ou l'équitation (entre 670.000 et 700.000). Si le rugby féminin a donné un nouveau souffle et permis d'endiguer la dégringolade (seulement 195.000 licenciés en 2020), le rugby ne veut pas s'enfermer dans le « syndrome du foot US », comme le redoute le président de la FFR. « On ne veut pas devenir comme le football américain, qui est énormément suivi mais pratiqué par pas grand monde », met en garde Florian Grill. Cette Coupe du monde - dont l'impact économique est estimé entre 25 et 33 M€ par World Rugby, la fédération internationale - promet en tout cas d'être un succès populaire. Et la FFR entend surfer sur cette vague. Publicité Sur les 470.000 billets disponibles, 375.000 ont déjà été vendus. Soit trois fois plus que lors de la dernière édition en Nouvelle-Zélande en 2022 et 12 fois plus les 30.000 vendus lors de la dernière Coupe du monde organisée par l'Angleterre, en 2010. « Nous sommes prêts à battre des records de fréquentation, d'audience et d'engagement, se félicite Sarah Massey, directrice générale de cette édition. Ce sera la plus grande célébration mondiale du rugby féminin que nous ayons jamais vue. »

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