
Limitless : Live Better Now : Thor joue les cobayes sur Disney+
« J'ai toujours beaucoup travaillé à ma santé physique, mais je dois faire de même pour mon cerveau », annonce Chris Hemsworth. Entouré de médecins et de spécialistes, l'acteur de 41 ans part en quête d'une vie plus saine dans Limitless : Live Better Now. Scindée en trois épisodes, cette série documentaire de National Geographic créée par Darren Aronofsky (Black Swan , Requiem for a Dream ) est la suite du projet d'origine du comédien, Limitless, né d'un élan personnel de l'interprète du dieu Thor dans l'univers Marvel.
En 2022, Chris Hemsworth révélait avoir une forte prédisposition génétique pour la maladie d'Alzheimer héritée de ses deux parents, une affection qui se révèle être la « plus grande crainte » du comédien. « L'avantage des mesures préventives de lutte contre Alzheimer est que cela a un réel effet sur le reste de votre vie, décryptait-il auprès du magazine Variety . Il s'agit de gérer son sommeil, son stress, sa nutrition et sa forme physique. »
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Dans cette même série-documentaire, les téléspectateurs découvraient le grand-père du comédien, lui-même atteint de la maladie d'Alzheimer. «Je ne sais pas s'il se souvient de grand-chose, il parle en néerlandais de temps en temps, sa langue natale, partageait Chris Hemsworth, toujours auprès de Variety. Il parle en anglais, en néerlandais, puis il mélange les deux et ajoute peut-être des nouveaux mots .» Après ce témoignage très personnel, le natif de Melbourne assurait vouloir éviter de « manipuler ce récit ou le surdramatiser et tomber dans le pathos dans un but de divertissement ».
Pouvoir cérébral, douleur et risque
Limitless : Live Better Now est l'occasion pour Chris Hemsworth de « pousser son esprit et son corps à leurs limites ». Pouvoir cérébral, le premier épisode, voit le comédien apprendre à jouer de la batterie pour combattre le vieillissement de son cerveau, et faire une apparition surprise dans un concert d'Ed Sheeran. L'acteur entame l'ascension du barrage de Luzzon dans « Risque », au cœur des Alpes suisses.
Pour finir en beauté, tir à la corde, arts martiaux et parcours du combattant avec les Forces spéciales coréennes s'enchaînent dans Douleur. Sous couvert d'aventures touchantes et d'images spectaculaires, le quadragénaire met en lumière une nouvelle façon d'approcher le bien-être, d'un point de vue le plus scientifique possible.
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Le Parisien
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Château de Monte-Cristo, de Thoiry… Avec Yvelines Ciné, faites-vous une toile dans un lieu d'exception
Oubliées les visites traditionnelles, le patrimoine local se révèle sous les projecteurs. L'opération itinérante Yvelines Ciné s'apprête à parcourir des villages, des quartiers prioritaires mais aussi, des sites exceptionnels du département. « Les Trois mousquetaires : Milady » au château de Monte-Cristo, « Belle et Sébastien : nouvelle génération » au domaine d'Ors, « Aïlo : une odyssée en Laponie » au château de Thoiry. Du 15 août au 13 septembre, 78 projections sont organisées dans des lieux peu communs à l'instar de « Barbie » à l'hôpital du Vésinet, un ancien asile impérial créé par Napoléon III. Tout comme « Le dîner de cons » au château de la Madeleine, une forteresse médiévale qui surplombe la vallée de l'Yvette. À n'en point douter, le département des Yvelines ne manque pas d'atouts. Et rien de plus original que de les (re) découvrir à la nuit tombée. 230 spectateurs conquis par la Villa Savoye et « La La Land » Dans le jardin de la Villa Savoye, point de transats habituellement. Construite de 1928 à 1931, la célèbre maison contemporaine de Le Corbusier se suffit à elle-même. Les touristes viennent du monde entier pour visiter ce chef-d'œuvre, l'une des 17 réalisations de l'architecte français inscrites au Patrimoine mondial de l'Unesco. Malgré leur proximité géographique, certains Yvelinois ne la connaissent pourtant pas. Comme Théo qui habite le quartier. « Une fois j'ai voulu venir mais on m'a dit à l'entrée que c'était payant donc je n'y suis jamais allé », raconte ce retraité, bien conscient que « les gens méconnaissent souvent les monuments qui sont juste à côté de chez eux ». Le film commence à la nuit tombée, vers 21h30, mais les spectateurs peuvent venir à partir de 19h pour visiter les monuments, pique-niquer et profiter des animations. LP/Virginie Wéber Alors juste avant d'assister ce vendredi soir à la projection de « La La Land », cet habitant de Poissy foule gratuitement cette maison de villégiature des années 1930, commandée par Pierre et Eugénie Savoye à l'architecte avant-gardiste. Et quel bonheur ! « C'est grand, je ne pensais pas que l'intérieur était comme ça. » Arrivés sur le rooftop, Chloé et Raphaël, venus d'Aubergenville et Oinville-sur-Montcient, découvrent aussi l'endroit pour la première fois. « On a voulu se faire un ciné en plein air, en plus on a vu que c'était ici donc on a sauté sur l'occasion », sourit la visiteuse de 28 ans. « C'est cool comme idée et c'est carrément mieux d'organiser ça ici que dans un lieu quelconque, complète le trentenaire. En fait c'est un peu comme les journées du patrimoine mais avec moins de monde. » Et le concept suscite l'engouement. « On s'aperçoit qu'on n'a pas prévu assez de transats. Un 15 août, on n'était pas sûr que les gens viennent au rendez-vous en plus », explique-t-on dans l'organisation qui évoque 230 spectateurs présents ce vendredi. 20 000 spectateurs attendus Créée en 2012, l'opération Yvelines Ciné « traduit la volonté du Département d'aller directement à la rencontre des Yvelinois, partout sur le territoire et en lien fort avec les communes, en particulier rurales. C'est un rendez-vous incontournable, le cœur de l'été bat toujours plus fort dans les Yvelines », martèle son président Pierre Bédier (DVD). Certains viennent avec leur chaise de camping ou leur serviette pour se poser dans l'herbe, beaucoup ont prévu des snacks et tout ce qu'il faut pour prendre l'apéritif. LP/Virginie Wéber « Les lieux de projection sont décidés en commun avec les communes mais en effet, nous souhaitons mettre en valeur le patrimoine local, architectural ou naturel », assure le conseil départemental. Conscient que « beaucoup de communes ne disposent pas de cinéma », il essaye ainsi de « privilégier les zones rurales, même si aucune ville n'est exclue du dispositif ». Avec 16 000 spectateurs recensés en 2023, l'organisateur s'attend à franchir cette année la barre des 20 000 participants. Programme complet à découvrir sur :


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Projection de Barbie annulée : le maire de Noisy-le-Sec annonce une reprogrammation suivie d'un débat
La projection du film de Greta Gerwig avait été annulée sous la pression d'un «petit groupe du quartier» motivé par des «arguments fallacieux» traduisant «le fondamentalisme». Une semaine après l'annulation de la projection du film «Barbie» dans le quartier du Londeau de Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis) à cause de «menaces sur les agents qui installaient la séance», l'édile PCF de la commune Olivier Sarrabeyrouse a annoncé que le film star de Greta Gerwig serait reprogrammé au mois de septembre, a indiqué Le Parisien ce 15 août. «Et au vu de ce que ça a déchaîné, il y aura un débat à l'issue», a précisé l'élu. Cette décision serait fondée sur l'idée de « montrer qu'on ne cède pas », s'est encore justifié Olivier Sarrabeyrouse. La projection pourrait se faire avant la mi-septembre, «ni dans une période de tension, ni dans une période de vacances». Publicité «Obscurantisme et fondamentalisme» Le 8 août dernier, des «jeunes» avaient menacé les agents municipaux qui installaient l'écran et les chaises pour la projection du film. Ils accusaient Barbie de «prôner l'homosexualité» et de constituer «une atteinte à l'intégrité de la femme». La mairie avait préféré annuler la projection, craignant pour la sécurité de ses agents. Olivier Sarrabeyrouse avait affirmé dans son communiqué que la diffusion du film avait été empêchée par une «extrême minorité de voyous», motivés par des «arguments fallacieux, traduisant l'obscurantisme et le fondamentalisme instrumentalisés à des fins politiques». Par la suite, l'élu avait déposé plainte le 14 août, affirmant avoir été pris à partie par «un groupe d'une dizaine de personnes», et avoir été cible de menaces explicites. L'édile dénonce des «tentatives d'intimidation inacceptables envers un représentant du service public». «Je réprouve (...) cette récupération» Une enquête a été ouverte pour «menace, violence ou acte d'intimidation envers un chargé de mission de service public pour qu'il accomplisse ou s'abstienne d'acte de sa mission». Elle a été confiée au commissariat de Noisy-le-Sec. Le maire communiste a également annoncé au Parisien qu'il comptait porter plainte contre X face à « un déferlement de haine raciste et islamophobe » de la part des « réseaux de droite et d'extrême droite » sur les réseaux sociaux. «Un incident qui s'est produit à Noisy-le-Sec, avec des faits inexcusables, est récupéré par toute cette frange de la politique parce qu'ils stigmatisent encore un quartier, nos banlieues et encore une population parce que c'est leur fonds de commerce», avait ainsi accusé l'élu dans Le Parisien, qui assurait : «Je réprouve cette espèce de censure morale mais je réprouve tout autant cette récupération».