
Ardèche : un incendie en cours parcourt 40 hectares près de Valgorge, aucun blessé
incendie
en cours dans les Cévennes ardéchoises a parcouru près de 40 hectares, dans un contexte de grande vigilance sur les feux de forêt, en raison de la sécheresse.
« Près de 40 hectares ont brûlé, 100 hectares sont menacés », dans un secteur à proximité de la commune de Valgorge, a indiqué la préfecture de l'Ardèche à l'Agence France-Presse (AFP) vers 17h45.
Aucune habitation ni point sensible ne se trouve à proximité, ont précisé les services de l'État. Deux routes départementales sont fermées pendant l'intervention des pompiers.
Une centaine de sapeurs-pompiers sont mobilisés, et 53 engins engagés, ainsi que deux avions Dash de la Sécurité civile, un hélicoptère bombardier d'eau, deux avions de reconnaissance et un hélicoptère de coordination.
C'est « le premier incendie de la saison », selon la préfecture. Le département était classé en vigilance jaune ce jeudi, orange mercredi, pour les feux de forêt. Les conditions météorologiques « devraient être plus favorables » dans les heures à venir pour maîtriser l'incendie, estime la préfecture.
Selon le département, l'incendie a démarré au passage d'une épareuse, une machine permettant de débroussailler les bords de route.
Sur le réseau social X, le ministre auprès du ministre de l'Intérieur François-Noël Buffet a souligné qu'« aujourd'hui, le risque feux de forêt concerne tout le territoire », tout en remerciant les pompiers engagés ce jeudi à Valgorge mais aussi dans la forêt de Brocéliande (Morbihan).
Dans le même temps, un autre incendie de végétation s'est déclaré à Fréjus (Var). Il est lié à l'éclatement du pneu d'un camion sur l'autoroute A8. L'intervention des pompiers a débuté peu après 18h30.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Figaro
24 minutes ago
- Le Figaro
Belgique : deux wallabies s'échappent de leur enclos, et suscitent l'émoi jusqu'à Lille
Des images de marsupiaux sautillant en pleine zone urbaine, visiblement apeurés par leurs poursuivants motorisés, ont ensuite rapidement fait le tour des réseaux sociaux, accompagnées de nombreux messages d'empathie. Deux wallabies échappés de leur enclos belge, à Mouscron, ont suscité l'émoi depuis plusieurs jours jusque dans l'agglomération de Lille, où l'un d'eux a été capturé par des pompiers français. Jeudi à la mi-journée, son compagnon d'évasion était toujours recherché, selon une porte-parole de police de Mouscron. Mais «on n'est pas en train de quadriller le secteur pour le retrouver, il peut être partout», a-t-elle souligné. «On attend surtout le signalement de sa localisation par un riverain qui l'apercevrait». Publicité La double disparition, survenue sans doute la nuit précédente, a été signalée dimanche. Des images de marsupiaux sautillant en pleine zone urbaine, visiblement apeurés par leurs poursuivants motorisés, ont ensuite rapidement fait le tour des réseaux sociaux, accompagnées de nombreux messages d'empathie. «Loin des plaines d'Australie, plus près de la jungle urbaine» «Merci à vous de vous démener pour retrouver ces pauvres animaux», a encouragé une internaute sur le profil Facebook de la police de Mouscron. «Deux marsupiaux ont subitement décidé de découvrir le monde qui les entoure, loin des plaines d'Australie, plus près de la jungle urbaine», ont ironisé de leur côté les pompiers du département français du Nord. C'est à Wattrelos, dans une commune du Nord frontalière de Mouscron, que le premier fugueur a été capturé mardi soir. Il s'était aventuré dans un jardin au rez-de-chaussée d'un immeuble résidentiel. Les occupants du logement ont prévenu les pompiers qui ont déployé «un filet anti-évasion». Mais il a fallu deux heures pour parvenir à le faire rentrer dans une cage afin de le ramener en Belgique, selon le récit des pompiers. La possession de tels animaux exotiques est autorisée en Belgique tant qu'ils sont nourris, soignés et ne sont pas victimes de maltraitance. La fugue a eu lieu alors que leur propriétaire était en vacances à l'étranger et avait confié la surveillance des animaux à une voisine, d'après la police belge.


Le Parisien
24 minutes ago
- Le Parisien
« L'ambiance est morbide » : malaise et soupçons de favoritisme à la mairie de Vémars
Des élus mais aussi des fonctionnaires de la mairie de Vémars (Val-d'Oise), des anciens de la ville, des responsables associatifs de la commune… Depuis six mois les auditions par les gendarmes se succèdent. À ce jour, selon plusieurs plaignants du dossier, une dizaine de personnes ont ainsi été entendues dans le cadre d'une enquête ouverte par le parquet de Pontoise pour harcèlement moral, favoritisme et détournement de fonds publics à la mairie. Le maire de la commune, Frédéric Didier, est la cible de plusieurs plaintes et signalements, ainsi que son chargé de mission, décrit comme le numéro 2 de la commune, appelé aussi « le DGS de l'ombre » par les plaignants qui le considèrent comme l'artisan du « mal-être » au sein de la ville.


Le Parisien
24 minutes ago
- Le Parisien
Présence policière, dispositifs citoyens… En un an, les cambriolages ont chuté de 8 % dans le Val-de-Marne
Henrick M. descend lentement de son véhicule de service. Un regard discret vers le portail d'une élégante demeure rue du Docteur-Decorse, dans un quartier cossu de Saint-Maurice . Rien à signaler. Aucun signe d'effraction, aucun mouvement suspect. Il s'agit d'un des nombreux domiciles éligibles au nouveau dispositif « Participation citoyenne à la sécurité ». « On redouble d'attention pendant l'été, particulièrement dans cette zone à risque », glisse Carine, policière municipale sous sa casquette bleue. Car si les congés d'été sont synonymes de relâchement pour beaucoup, ils marquent aussi la haute saison des cambriolages . En 2024, le Val-de-Marne a enregistré 4 311 cambriolages, contre 4 702 l'année précédente : une baisse de 8,3 %. À Saint-Maurice, la chute est encore plus nette, 17 faits au premier semestre 2025, contre 38 un an plus tôt. Le taux d'élucidation grimpe, lui, de 15,79 à 25,41 %. « Je ne peux pas tout attribuer à notre action, mais les caméras et la présence policière pèsent dans la balance », estime le maire, Igor Semo (LR).