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Alexandra de Hanovre, Penélope Cruz, Chiara Mastroianni... Pluie de célébrités au Bal d'été de Paris

Alexandra de Hanovre, Penélope Cruz, Chiara Mastroianni... Pluie de célébrités au Bal d'été de Paris

Le Figaro07-07-2025
Ce 6 juillet et pour la première fois, le Musée des Arts décoratifs de Paris a orchestré un majestueux Bal d'été, conviant tout un panel de célébrités. Retour en images sur cet événement coorganisé par Sofia Coppola.
Le 6 juillet, la veille du lancement de la Fashion Week haute couture, un événement de prestige a été organisé au Musée des Arts décoratifs : le premier Bal d'été annuel, annoncé plusieurs mois plus tôt comme «Le Met Gala à la française». Une célébration de la mode, de l'art et du chic parisien imaginée par l'œil avisé de Sofia Coppola, directrice artistique de la soirée. «Cette ville, que je considère comme ma seconde maison, me touche profondément, et célébrer un tel symbole de la culture française est une source d'inspiration particulière», avait d'ailleurs déclaré la réalisatrice de Virgin Suicides (1999) dans un communiqué fin 2024. Dans cette optique, l'événement, tout en élégance et raffinement, a été l'occasion de réunir dans ce lieu mythique de la capitale tout un panel de célébrités.
La princesse Alexandra de Hanovre en Chanel au Bal d'été du Musée des Arts décoratifs. (Paris, le 6 juillet 2025.)
Jacopo Raule / GC Images
Chic à la française
Aux portes du musée ce soir-là, il était ainsi possible de croiser Alexandra de Hanovre, habillée d'une robe Chanel au bustier brodé sculptural qui épousait un jupon noir à la coupe sirène. Une pièce que la princesse de 25 ans a accessoirisée d'une pochette drapée et d'escarpins aux talons géométriques. De son côté, Penélope Cruz a fait sensation en jetant son dévolu sur une robe fluide, griffée Chanel également, d'un bleu profond constellée de broderies multicolores qui scintillaient à la lumière du jour, comme un clin d'œil aux nuits étoilées parisiennes. D'une légèreté exquise, les volants aériens de sa robe virevoltaient au gré du vent, transformant son look en un terrain de jeu fascinant pour les photographes installés aux alentours.
Penélope Cruz, Chiara Mastroianni, Diane Kruger... Les stars au Bal d'été du Musée des Arts décoratifs à Paris
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Si Sofia Coppola, accompagnée de sa fille Romy Mars, a signé une entrée très discrète en robe rose pastel, il était difficile de manquer la présence charismatique de Keira Knightley. Aux bras de son époux James Righton, l'actrice britannique de 40 ans a brillé dans un long manteau Chanel immaculé en tweed et serti de boutons bijoux. Ce Bal d'été flamboyant, qui a aussi célébré le centenaire de l'Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes de 1925, a reçu Léna Mahfouf en Vivienne Westwood, le danseur étoile Guillaume Diop ou encore Chiara Mastroianni, d'un chic absolu en smoking.
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Le Parisien

timean hour ago

  • Le Parisien

« La face cachée de l'homme en noir » sur TF1 : Ardisson filmé par sa femme Audrey Crespo-Mara, intime comme jamais

Une première image sur un lit de douleur. Thierry Ardisson souffre depuis 2012 d'un cancer du foie. Il est soigné à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Il est en chaussettes. Noires, forcément. Mais en chaussettes. Évidemment, on ne l'a jamais vu comme ça. Aussi nu. Battant -il dit alors croire encore « à la radiothérapie », un ultime traitement- il n'a rien à perdre, mais plus grand-chose à gagner. Audrey Crespo-Mara, sa femme, présentatrice du JT de TF1, a écrit et réalisé « La femme cachée de l'homme en noir » avec lui, pour lui. Et vêtue de noir elle aussi, comme lui. Pour lui aussi, elle le diffuse si vite après son décès survenu le 14 ju, trop vite diront certains, avant même les obsèques religieuses prévues ce jeudi après-midi à Paris. Un dernier coup. Un gros coup. Pour un homme de coups qui a révolutionné la télé à coups d'interviews renversantes. On est pris, surpris, d'emblée, à la gorge, aux tripes. Ses proches qui ne parlent jamais témoignent : son petit frère, ses enfants. Un album de famille raconté par un pubard fan de Gainsbarre, qui écrit ses ultimes pages. Curieusement, la démarche fait penser un instant à Mitterrand, qui avait mis sa vie en scène au plan et à la phrase près, et jusqu'au-delà de la mort, comme lui. Les curés chez qui il a été envoyé en pension l'appelaient « le paon ». « Je suis assez vantard, un peu prétentieux », lâche Ardisson comme une évidence. Oui, tout est millimétré dans l'ultime, ou première campagne promo post-mortem de Thierry Ardisson. À la seconde près. C'était son heure. 22h50, le début de « Tout le monde en parle », de « Paris dernière » ou de tant d'émissions de l'homme du money time, de nos fins de soirées comme des fins de matchs. Avec lui, jamais nous ne nous sommes couchés de bonne heure. Dans une vie, et même une mort, qui ne laissaient rien au hasard, il n'y en avait aucun non plus dans la diffusion ce mardi soir tard, au surlendemain de sa disparition, de « La face cachée de l'homme en noir ». C'était plus lent que ses émissions. Plus bienveillant, puisqu'il ne parlait que de lui. Amoureux et apaisé. Tant de photos en blanc de l'homme en noir jeune premier qui n'avait pas encore trouvé son uniforme… pas si éloigné de la soutane des curés qui l'ont élevé. « Ce monde de la nuit, je ne l'ai jamais quitté. La fête, la transgression, tout est venu de là », lâche-t-il, lui dont la vraie vie a débuté à 17 ans comme DJ du Whisky à Gogo, la boîte de Juan-les-Pins. Puis le Palace, à nous Paris. Ardisson nous aura toujours fait veiller, nous qui ne sortons pas, jusqu'à ce mercredi soir. Comme une veillée funèbre, à sa façon, clinquante et franche. « J'ai la vache qui pleure, pas la vache qui rit » : on entend le rire d'Audrey Crespo-Mara derrière la caméra quand son mari lâche ses sanglots, puis une vanne pour les faire passer, face aux images de sa jeunesse si festive. « Je pleure parce que c'était beau », dit-il. Au bout de 20 minutes, une énorme coupure pub. Aurait-il vraiment aimé, lui dont la première vie consista à inventer des slogans ? Ça cassait l'ambiance. Le doc reprend, assez classique finalement, dans le défilé linéaire d'une carrière. Plus de retours au présent ou d'allusions à la maladie. Un CV qui défile ligne à ligne. L'écouter disserter très sérieusement du fromage Samos 99, son premier slogan à l'agence TBWA, c'est peut-être curieux juste entre son décès et sa mise en bière. C'est tout lui. Ne jamais s'arrêter de penser, de se montrer, de faire rire. Sa photo avec moustaches à l'époque valait le détour. « Être vieux c'est grave, être pauvre c'est pire » -toujours la punchline- dit-il de son goût des belles choses, de la belle vie, les beaux appartements. Cette moustache et le foulard autour du cou, les cheveux sur les épaules, on n'était pas prêt. De sa tentative de suicide de jeunesse par amour déçu, il dit : « Je me suis ouvert les veines dans la baignoire. L'eau était de plus en plus rouge. C'était assez joli d'ailleurs ». Indécrottablement drôle, distant. Sa fiancée le quitte mais le sauve. Il part en Asie pour échapper à l'héroïne… et découvrir l'opium. Sa banquière lui envoie de l'argent pour rentrer en France, lui éviter la manche. Il promène et noie ses dépressions de Bali à Santa Barbara. Une vie de château, mais qu'il ne doit qu'à lui-même, pas à ses parents. « Je ne vais pas dire que je suis un chrétien exemplaire », résume cet homme de mots qui a trouvé dans la religion un patch anti-héroïne. Les cheveux raccourcissent, la moustache est rasée, le business arrive. Et ses pubs de 8 secondes -déjà un concept, moins cher que les 30 secondes habituelles- qui se faufilent à l'écran. Il trouve le slogan « Lapeyre, y en a pas deux » en fumant un pétard dans son bain. « C'est comme une éjaculation, c'est jouissif, tu sais que tu as trouvé l'idée ». Ainsi parlait Ardisson. Une deuxième énorme coupure pub à minuit moins le quart. Presque autant que lors d'une soirée Star Ac. Ça, il aurait aimé, lui qui voulait avoir de la valeur, à tous les sens du terme.

Rock en Seine perd une subvention à cause de ce groupe accusé de soutenir le Hezbollah
Rock en Seine perd une subvention à cause de ce groupe accusé de soutenir le Hezbollah

Le HuffPost France

time3 hours ago

  • Le HuffPost France

Rock en Seine perd une subvention à cause de ce groupe accusé de soutenir le Hezbollah

MUSIQUE - La polémique s'étend à l'Hexagone. La ville de Saint-Cloud, dans les Hauts-de-Seine, a décidé de retirer sa subvention de 40 000 euros au festival Rock en Seine en raison de la participation du groupe nord-irlandais Kneecap, engagé pour la cause palestinienne et accusé de soutenir le Hezbollah. L'un des membres est inculpé en Grande-Bretagne d' « infraction terroriste ». « Ce montant avait été adopté avant que la programmation définitive du festival ne soit connue », indique la ville dans un communiqué publié sur son site, ce mercredi 16 juillet. Or Mo Chara, le nom de scène de Liam O'Hanna (Liam Og O Hannaidh en gaélique), membre de ce trio de rappeurs nord-irlandais très engagé pour la cause palestinienne qui doit se produire le 24 août à Paris, est notamment accusé d'avoir arboré un drapeau du Hezbollah au cours d'un concert. Saint-Cloud « ne finance pas des incitations à la violence » Il a comparu en juin pour « infraction terroriste » devant un tribunal au Royaume-Uni, où le mouvement islamiste pro-iranien est classé terroriste. Il lui est également reproché d'avoir crié « Allez le Hamas ! Allez le Hezbollah ! ». La ville de Saint-Cloud « ne finance pas d'action, ni de revendications politiques et encore moins des incitations à la violence, comme peuvent l'être des appels à tuer des parlementaires, quelle que soit leur nationalité », détaille la municipalité, en référence aux excuses qu'a dû récemment présenter le groupe après la diffusion d'une vidéo datant de 2023 semblant montrer l'un de ses membres appeler à la mort de députés conservateurs britanniques. La commune n'a « pas souhaité engager une quelconque négociation » avec Rock en Seine car elle « respecte la liberté de programmation du Festival », ajoute le communiqué qui précise que le vote pour le retrait de cette subvention date du 3 juillet. Interrogé par l'AFP, le directeur du festival Mathieu Ducos n'a pas souhaité faire de commentaires. Kneecap, groupe à l'énergie punk originaire de Belfast, rappe en anglais et en irlandais et revendique haut et fort son engagement en faveur de la cause palestinienne. Le trio a nié tout soutien au Hezbollah, dénonçant une décision « politique ». Déprogrammé de concerts en Écosse et en Allemagne À l'issue de sa comparution mi-juin à Londres, Mo Chara est reparti libre. La prochaine audience est prévue le 20 août. Après leur prestation au célèbre festival Glastonbury (Royaume-Uni) fin juin, la police britannique a ouvert une enquête sur les propos de Kneecap, qui a accusé Israël d'être un État « criminel de guerre », et sur ceux d'un autre groupe. Depuis que le rappeur a été inculpé, le trio a été retiré de la programmation d'une série de concerts estivaux, notamment en Écosse et en Allemagne. En France, il doit notamment se produire à Charleville-Mézières (Ardennes) le 17 août. Le budget de Rock en Seine est d'environ 17 millions d'euros, selon son directeur.

Les résultats du Loto de la FDJ du mercredi 16 juillet 2025
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Le Parisien

time4 hours ago

  • Le Parisien

Les résultats du Loto de la FDJ du mercredi 16 juillet 2025

Toutes les semaines, les tirages du Loto organisés par la FDJ peuvent permettre aux participants de remporter un jackpot de plusieurs millions d'euros. Ce mercredi 16 juillet 2025, vous aviez une chance de repartir avec 11 millions d'euros en découvrant la combinaison gagnante. Si le jackpot a été remporté, alors il retombera à son montant initial de 2 millions d'euros. En revanche, en l'absence de grand vainqueur, le jackpot sera encore plus important lors du prochain tirage. Jouez au Loto en ligne ici Comparez les résultats du tirage du Loto de ce mercredi 16 juillet 2025 à vos grilles, pour savoir si vous avez gagné. La combinaison qui remporte ce tirage contient les numéros 3.34.36.41.45. et le numéro Chance 4. Si vous souhaitez connaître les résultats liés à l'option 2nd tirage, rendez-vous dès maintenant sur où vous pourrez aussi consulter la liste des dix codes Loto tirés au sort pour recevoir 20000 euros. Les résultats du Loto : cliquez ici pour avoir tous les détails du jour Pour découvrir si vous avez gagné au Loto, il est avant tout essentiel de savoir où et quand consulter les résultats des tirages. Les soirs de tirage, aux alentours de 20h35, vous pourrez prendre connaissance de la combinaison gagnante sur la chaîne TF1. Si vous avez manqué cette diffusion, vous pourrez retrouver l'ensemble des résultats du jour sur ou dans l'appli FDJ, à partir de 20h45. Vos grilles contiennent au moins deux bons numéros ? Faites estimer les gains remportés, en utilisant le simulateur mis à votre disposition sur le site officiel de la FDJ. Vous pourrez également scanner vos grilles papier grâce à la fonction dédiée, intégrée à l'application mobile de la Française des Jeux. Si vous avez joué au Loto en ligne, la somme empochée sera rapidement transférée vers la cagnotte liée à votre profil joueur FDJ. Cliquez ici pour tenter votre chance au prochain tirage du Loto Les jeux d'argent et de hasard peuvent être dangereux : pertes d'argent, conflits familiaux, addiction... retrouvez nos conseils sur (09 74 75 13 13 - appel non surtaxé)

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