
«Deux mariages et un enterrement» : Jazmin Grace Grimaldi, la fille d'Albert II de Monaco, partage son été mitigé
Une vague d'émotions contradictoires. Jazmin Grace Grimaldi se souviendra certainement de l'été 2025, d'une joie immense en célébrant deux mariages, mais aussi d'une profonde tristesse en assistant à un enterrement, celui de son ami Eddie Jordan, un riche homme d'affaires irlandais.
Ce mercredi 23 juillet, la fille aînée du prince Albert II de Monaco a partagé sur Instagram un carrousel de photos, compilation des instants forts qu'elle a vécus ces dernières semaines. On la voit ainsi prendre la pose en plein soleil, vêtue d'une longue robe fleurie bleue, les cheveux tirés en arrière dans un chignon soigné, seule avec la Méditerranée en arrière-plan, mais aussi aux côtés d'une mariée. Sur d'autres clichés, la jeune femme de 33 ans rit aux éclats avec ses amies, également présentes aux deux mariages. Puis, on la découvre dans une robe longue blanche à fleurs, en train de chanter avec force et passion lors des obsèques d'Eddie Jordan, décédé le 20 mars 2025 à l'âge de 76 ans.
Publicité
Une escapade parisienne
«Lancement difficile pour célébrer la vie… Deux mariages et un enterrement cet été. Je suis venue ici par amour et je ne m'arrêterai pas !», a écrit la trentenaire en légende de sa publication, avant de donner de précieux conseils à sa communauté : «Aime ta vie, prends tout en photo. Dis aux gens que tu les aimes. Parle à des inconnus. Fais ce que tu crains de faire. Parce que beaucoup d'entre nous meurent et personne ne se souvient de ce qu'on a fait. Prends ta vie et fais-en la plus belle histoire du monde. Ne la gâche pas».
À lire aussi Le prince Albert de Monaco fait une rare apparition avec sa fille aînée, Jazmin Grace Grimaldi, lors d'un gala new-yorkais
Cet été, Jazmin Grace Grimaldi a passé quelques jours à Paris, un séjour pendant lequel elle a assisté au concert de Beyoncé au Stade de France, le 22 juin dernier. Elle en a aussi profité pour jouer les touristes dans la capitale, en commençant par une halte place Vendôme, avant de poursuivre sa petite balade jusqu'à la Tour Eiffel, puis de visiter la Galerie Dior, située dans le 8e arrondissement.
.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Figaro
an hour ago
- Le Figaro
L'horoscope gratuit du lundi 28 juillet 2025
Chaque jour, Christine Haas livre ses prévisions inspirées par les astres. Chaque jour, retrouvez l'horoscope gratuit avec Christine Haas (Instagram : @chrishaasoff) sur le site du Figaro avec TV Magazine . L'horoscope du lundi 28 juillet 2025 La colère est une émotion fondamentale, souvent mal comprise, qui trouve ses racines bien au-delà des événements immédiats. Aujourd'hui, nous abordons à nouveau ce sujet car le climat actuel, chargé d'incertitudes et de tensions, peut exacerber ce sentiment chez beaucoup d'entre vous, notamment si vous êtes Vierge, Poissons, Gémeaux ou Sagittaire. Ces signes, chacun à leur manière, semblent porter une colère intérieure persistante, qui pourrait paraître comme une part immuable de leur être. Alors, une question se pose : seriez-vous né en colère ? En astrologie, la manière dont vous gérez la colère, est intimement liée à la configuration de vos planètes à la naissance. Par exemple, la Vierge, signe de Terre mutable, est souvent associée à une critique intérieure intense et un besoin de contrôle. Cette tension silencieuse peut générer une colère intériorisée, une frustration accumulée face à un monde qu'elle trouve imparfait. Les Poissons, signe d'Eau mutable, sont profondément empathiques mais parfois submergés par des émotions qu'ils n'arrivent pas toujours à exprimer, ce qui peut créer une colère mélancolique et diffuse. Les Gémeaux, signe d'Air mutable également, ont tendance à rationaliser leurs émotions, mais cette mentalisation constante peut aussi cacher une irritation exprimée par un humour mordant. Quant au Sagittaire, signe de Feu mutable, il valorise la liberté et la vérité, et peut ressentir de la colère lorsqu'il se sent limité ou mal compris. D'un point de vue psychologique, la colère intérieure est souvent le reflet de besoins non satisfaits, de blessures anciennes ou de peurs inconscientes. Se demander « Suis-je né en colère ? » ouvre la porte à une prise de conscience essentielle : la colère n'est pas une fatalité, mais un message.


Le Parisien
5 hours ago
- Le Parisien
« J'ai failli me tuer » : comment les coureurs du Tour ont vécu le « chantier » un peu fou de Montmartre sous la pluie
La délivrance est venue aux alentours de 17h25. Une grosse heure avant la première des trois ascensions de la Butte Montmartre. Principe de précaution oblige, les temps du classement général seront gelés avant la rue Lepic . Ouf de soulagement dans le peloton. La fête et rien que la fête ! Et c'est bien ce qui s'est passé. Une fois dégustées les traditionnelles coupes de champagne, la bataille a eu lieu pour ceux qui le souhaitaient et uniquement pour eux. Une course de classique pour les puristes. Une simple orgie de vélo pour tous les autres.


Le Parisien
6 hours ago
- Le Parisien
« Je partage votre exigence » : interpellé par Zaho de Sagazan sur la situation à Gaza, Macron lui répond
C'est ce qu'on appelle de la communication directe. Emmanuel Macron est mélomane et sûrement amateur de la musique de Zaho de Sagazan . Le président de la République a déclaré dimanche être « optimiste » sur le fait que la France pourra « reprendre très vite » ses actions humanitaires à Gaza, dans une réponse sur les réseaux sociaux à la chanteuse, qui l'avait interpellé la veille. L'interprète de « La symphonie des éclairs » lui demandait notamment « d'exiger des actes » de la part d'Israël. Une réponse faite directement sur le compte de la chanteuse, une façon rare de communiquer pour le locataire de l'Élysée. Sur Instagram samedi soir, la célèbre chanteuse, qui avait participé à la cérémonie de clôture des Jeux olympiques de Paris l'année dernière, a demandé à Emmanuel Macron de ne plus utiliser son célèbre morceau « La Symphonie des éclairs » pour communiquer sur ses réseaux sociaux s'il n'agissait pas pour les vies palestiniennes à Gaza. « Ne décorez pas votre communication avec mes chansons si, par ailleurs, vous laissez faire un massacre », a interpellé la chanteuse, qui a gagné en début d'année une Victoire de la musique . « Reconnaître l'État palestinien est un geste symbolique nécessaire, mais il ne suffit pas », a également lancé Zaho de Sagazan. Elle a exhorté le président à « mettre fin à la coopération militaire » entre la France et Israël ou à peser pour que « l'aide humanitaire, bloquée depuis des semaines par Israël, puisse enfin passer ». « Je refuse que la douleur soit recouverte par le silence », lui a répondu le chef de l'État, affirmant que « la France ne fournit aucune aide militaire, ni directe ni indirecte, aux opérations menées par l'armée israélienne à Gaza. « Je partage votre exigence : la situation s'aggrave, ce que nous faisons collectivement ne suffit pas », a-t-il encore écrit, l'assurant qu'il n'allait « pas détourner le regard ». « Suite à mes échanges avec nos partenaires, je suis optimiste sur le fait que nous pourrons reprendre très vite nos actions humanitaires pour répondre aux besoins les plus urgents des civils », a-t-il aussi estimé. « Nous demandons que les violations du droit international soient sanctionnées. Sans ambiguïté », a par ailleurs indiqué Emmanuel Macron.