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Tour de France : Tadej Pogacar s'envole, Kevin Vauquelin magnifique 5e... Le classement général après la 12e étape

Tour de France : Tadej Pogacar s'envole, Kevin Vauquelin magnifique 5e... Le classement général après la 12e étape

Le Figaro20 hours ago
Le Slovène reprend le maillot jaune ce jeudi après sa démonstration vers Hautacam, alors que le Français, lui, résiste merveilleusement bien.
Chronique d'un sacre annoncé. Après sa démonstration à Hautacam ce jeudi, pour la première arrivée en haute altitude de ce Tour de France 2025, Tadej Pogacar a repris le maillot jaune à Ben Healy, et le Slovène y a mis la manière en creusant déjà un écart aux allures de gouffre avec son dauphin Jonas Vingegaard, relégué à plus de trois minutes.
À découvrir Le classement du Tour de France 2024
Dans le reste du Top 10, à noter la magnifique performance du Français Kevin Vauquelin, qui s'est parfaitement accroché vers Hautacam pour remonter au 5e rang du classement général, à seulement six secondes du 4e, l'Allemand Florian Lipowitz.
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Classement général du Tour de France après la 12e étape :
1. Tadej Pogacar (SLO/UAD) en 45h22'51
2. Jonas Vingegaard (DEN/TVL) à 3'31''
3. Remco Evenepoel (BEL/SOQ) à 4'45''
4. Florian Lipowitz (GER/RBH) à 5'34''
5. Kévin Vauquelin (FRA/ARK) à 5'40''
6. Oscar Onley (GBR/DFP) à 6'05''
7. Primoz Roglic (SLO/RBH) à 7'30''
8. Tobias Johannessen (NOR/UXT) à 7'44''
9. Felix Gall (AUT/DAT) à 9'21''
10. Matteo Jorgenson (USA/TVL) à 12'12''
À VOIR AUSSI - Football : la saison historique du Paris SG
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Athlétisme : Noah Lyles attendu à Londres pour son premier 100 mètres depuis les JO
Athlétisme : Noah Lyles attendu à Londres pour son premier 100 mètres depuis les JO

Le Figaro

time23 minutes ago

  • Le Figaro

Athlétisme : Noah Lyles attendu à Londres pour son premier 100 mètres depuis les JO

Champion olympique de Paris, Noah Lyles va faire son retour à Londres sur 100 m. Sa discipline de prédilection. Quasiment un an après son titre olympique sur la distance reine du sprint, le showman américain Noah Lyles fait samedi son retour sur 100 mètres lors du meeting de Londres, où il vise la victoire et un gros chrono d'entrée de jeu. L'exubérant sprinteur, qui fête vendredi ses 28 ans, n'a plus couru de 100 mètres depuis la finale olympique du 4 août au Stade de France, où il avait décroché l'or au bout du suspense avec seulement cinq millièmes de secondes d'avance sur le Jamaïcain Kishane Thompson. Publicité Depuis, Lyles s'est fait relativement discret: il a peu couru cet hiver et, ralenti après une blessure à un tendon, il n'a fait sa rentrée internationale que la semaine dernière à Monaco où il s'est imposé sur 200 mètres (19.88) face au champion olympique de la distance Letsile Tebogo (19.97).Samedi à Londres, l'Américain retrouve le Botswanais, cette fois sur 100 mètres, pour une course très relevée avec également au départ le deuxième meilleur performeur mondial de l'année Oblique Seville, le Sud-Africain Akani Simbine ou encore le Britannique Zharnel Hugues. Impatient de commencer la saison «Je ne dirais pas que je suis stressé, je suis surtout impatient. J'ai attendu longtemps avant de pouvoir commencer ma saison à cause de la blessure», a indiqué Lyles en conférence de presse. «Je ne me presse pas, mais je vois que je progresse jour après jour et c'est ce qui compte. Demain, j'espère gagner et faire un chrono en 9 sec 80.» L'étape londonienne, avec ses quelque 60.000 spectateurs présents dans le stade olympique, convient parfaitement à Lyles, toujours prompt à faire le spectacle devant les foules. L'été dernier, il y avait battu Simbine et Tebogo pour le dernier 100 mètres avant les Jeux, quelques jours avant le début des épreuves à Paris. Meilleur performeur mondial de l'année en 9 sec 75, le vice-champion olympique Kishane Thompson ne sera pas au départ du 100 mètres mais sera bien à Londres samedi, où il tentera avec ses coéquipiers jamaïcains de qualifier son pays pour le relais 4x100 mètres des Mondiaux de Tokyo en Jamaïcains ont échoué mi-mai lors des Mondiaux de relais à Canton (Chine) à décrocher leur billet pour la capitale nippone, entre maladresse (chute du témoin en séries) et malchance (blessure d'un relayeur lors des repêchages). Samedi, ils devront terminer leur 4x100 mètres à Londres dans un chrono assez bon pour obtenir l'une des deux dernières places qualificatives, attribuées à la fin de l'été en fonction du bilan mondial. Jakob Ingebrigtsen forfait Si les organisateurs londoniens ont dû essuyer les forfaits du Norvégien Jakob Ingebrigtsen (1.500 m) et de la star locale Keely Hodgkinson (800 m), qui retardent tous les deux leur rentrée pour cause de blessure, plusieurs autres grands noms de l'athlétisme mondial sont attendus dans l'immense stade olympique, toujours complet pour l'occasion. Sur 200 mètres, la championne olympique du 100 mètres Julien Alfred ne devrait faire qu'une bouchée de ses adversaires, tout comme la Néerlandaise Femke Bol sur 400 mètres haies, qui a confirmé sa montée en puissance la semaine dernière à Monaco en décrochant la meilleure performance mondiale de la saison (51.95). «La semaine dernière j'ai couru pour la première fois de l'année sous les 52 secondes et là à Londres, j'espère aller encore un peu plus vite», a indiqué Bol, invaincue sur 400 mètres haies en Ligue de Diamant depuis ses débuts en 2020. Le meeting de Londres est le dernier rendez-vous international avant mi-août et la reprise de la Ligue de Diamand en Pologne. Entre temps, les athlètes participent pour la plupart début août à leurs championnats nationaux, souvent décisifs pour la qualification aux Mondiaux de Tokyo (13-21 septembre).

Chutes, insultes en ligne, fracture du doigt puis abandon, le Tour de France en enfer de Bryan Coquard
Chutes, insultes en ligne, fracture du doigt puis abandon, le Tour de France en enfer de Bryan Coquard

Le Figaro

time23 minutes ago

  • Le Figaro

Chutes, insultes en ligne, fracture du doigt puis abandon, le Tour de France en enfer de Bryan Coquard

Souffrant d'une fracture du doigt, le coureur de l'équipe Cofidis abandonnera à l'issue du contre-la-montre ce vendredi. Point final d'une édition qui a tourné au calvaire pour le sprinteur français. Bryan Coquard ne verra pas les Champs-Élysées le 27 juillet prochain. Le sprinteur de poche de l'équipe Cofidis jettera l'éponge à l'issue du contre-la-montre ce vendredi entre Loudenvielle et Peyragudes. Un dernier baroud d'honneur pour le 116e du classement général devant un public qui ne manquera pas de l'encourager dans les pentes alors qu'il souffre d'une fracture à l'annulaire. À découvrir Le classement du Tour de France 2024 Une fracture en attrapant une musette Une blessure malheureuse survenue jeudi entre Auch et Hautacam au moment où il tentait d'attraper au bord de la route une musette contenant de la glace et des bidons. Intervenu rapidement, le médecin de la course lui avait attaché les doigts mais la douleur n'a cessé de le lancer jusqu'à l'arrivée. Coquard avait franchi la ligne avec 44 minutes de retard sur Pogacar, bon dernier de l'étape, en ayant souffert le martyre. « Ce fut une journée super galère. Je ne peux plus le plier ni freiner de l'arrière. Je freinais que de l'avant, ça me faisait mal», a-t-il confié au sommet d'Hautacam. Publicité Un coup dur pour le coureur de l'équipe nordiste qui gardera probablement un souvenir amer de l'édition 2025. Elle avait bien mal commencé. Dès la troisième étape, il avait provoqué la chute et l'abandon de Jasper Philipsen juste avant un sprint intermédiaire. Coquard avait été doublement malheureux car dans le sprint final du jour à Dunkerque, il avait été victime d'une impressionnante chute, heureusement sans blessure grave. Devant le bus de sa formation, il s'était platement excusé d'avoir été à l'origine du retrait de l'une des stars du peloton, expliquant ne pas être un «mauvais bougre». Ciblé par la haine sur les réseaux sociaux Des explications qui n'avaient pas empêché un déchaînement de haine sur les réseaux sociaux à son encontre de la part de parieurs amers. Invité sur le plateau de France Télévisions, Bernard Hinault avait pris sa défense «C'est tellement facile, ils sont loin et ils viennent t'insulter... Qu'ils viennent en face et on va s'expliquer d'homme à homme», avait expliqué le quintuple vainqueur du Tour de France avant de poursuivre. «Je ne me serais pas gêné pour mettre des bourre-pifs Je leur aurais fait bouffer les téléphones. Ce sont des idiots, ils n'ont jamais pratiqué le vélo et je trouve cela dommage.» Philipsen ne lui en veut pas Défendu par son patron d'équipe Cédric Vasseur, mécontent qu'on ait infligé à son poulain un carton jaune, Coquard avait été disculpé par Jasper Philipsen, estimant que sa chute était liée à un «incident de course». « Je sais ce que c'est d'être sous le feu des critiques après un sprint. En plus, tout est amplifié dans le Tour de France et il faut absolument trouver un responsable», avait insisté le Belge.

Paroles d'ex - les souvenirs de Fabien Pelous sur All Blacks : « Une raclée peut être fondatrice »
Paroles d'ex - les souvenirs de Fabien Pelous sur All Blacks : « Une raclée peut être fondatrice »

L'Équipe

time23 minutes ago

  • L'Équipe

Paroles d'ex - les souvenirs de Fabien Pelous sur All Blacks : « Une raclée peut être fondatrice »

L'ancien deuxième-ligne Fabien Pelous, recordman des sélections en équipe de France (118), se souvient de ses 11 rencontres face aux Blacks. Notamment de cette demi-finale de la Coupe du monde 1999 que les Bleus ont remporté quatre mois seulement après avoir été corrigés à Wellington. Au cours de son immense carrière internationale, Fabien Pelous (51 ans) n'a joué qu'une seule fois en Nouvelle-Zélande. C'était à Wellington, en juin 1999, quatre mois avant la Coupe du monde. Il a pourtant défié les Blacks à 11 reprises (4 victoires, 1 nul, 6 défaites), dont trois fois en Coupe du monde. Il fait d'ailleurs partie, avec Raphaël Ibañez, des deux seuls joueurs français titulaires qui ont à la fois terrassé les hommes en noir en demi-finales du Mondial 1999 (43-31) et en quarts de finale de l'édition 2007 (20-18). Autant dire qu'il a des souvenirs à la pelle. Des bons comme des moins bons, qu'il a revisités pour nous il y a quelques semaines dans un restaurant de Balma (Haute-Garonne), en dégustant un steak tartare. « Quel est le All Black le plus fort contre lequel vous avez joué ?Je vais en citer deux. Le premier, c'est le talonneur et capitaine, Sean Fitzpatrick. Je me rappelle surtout de lui lors de mon premier match face aux Blacks, en novembre 1995, à Toulouse (victoire 22-15). Un souvenir douloureux. Sur une action, il m'avait plaqué par derrière et fait très mal. C'est là que j'ai compris pour la première fois qu'il fallait être bien "tanké" pour exister au niveau international. Le second, c'est évidemment Jonah Lomu. Lui, je l'ai vu successivement renverser Abdel Benazzi, qui était pourtant le plus solide d'entre nous, et Marc Lièvremont. Marc, c'était impressionnant. Il était arrivé comme un bolide face à lui et s'était retrouvé à taper comme dans un mur avant de glisser au sol. Pareil que dans un dessin animé, ça avait fait "boum !" puis "fizz..." J'ai encore le son du choc dans la tête. Vous souvenez-vous de votre première victoire face à la Nouvelle-Zélande ?Bien sûr, c'était justement lors de ce test-match à Toulouse, devant toute ma famille. C'était ma première fois au Stadium et je ne pouvais pas rêver mieux. La semaine avait été particulière. Les plus anciens joueurs de l'effectif étaient partis en rébellion contre la Fédé à cause du nombre de places - trop faible selon eux - accordées aux joueurs pour leurs proches au stade le jour du match. Cette génération-là, qui était plutôt sur la fin et voyait débarquer le professionnalisme, avait le sentiment d'être passée de peu à côté de quelque chose et cherchait donc, sur le tard, à tirer le max du fait d'être en équipe de France. Je me souviens qu'on avait boycotté une cérémonie à la mairie de Toulouse. C'est vous dire si on avait préparé ce test dans une ambiance très spéciale. Face aux Blacks, ça passait ou ça cassait. Et c'était passé. J'avais vécu cette rencontre avec une grande insouciance. « Ce match, on aura beau le refaire vingt fois, jamais on n'aura autant de rebonds favorables que ce jour-là » A propos de la victoire face aux All Blacks en demi-finales de la Coupe du monde 1999 Quel est votre plus grand bonheur vécu face aux Blacks ?La victoire en demi-finales de la Coupe du monde 1999 à Twickenham (43-31), forcément. Parce qu'avant Twickenham, il y avait eu Wellington. En juin 1999, on avait disputé un test là-bas et on n'avait pas existé (54-7). On avait essayé de combattre, mais ça allait trop vite, à chaque fois qu'on plaquait un mec, le ballon était déjà dans les mains d'un autre. On en avait pris 50, et c'est peut-être ce qui nous avait aidés à battre cette même équipe en Coupe du monde quatre mois plus tard. Comme quoi, une raclée peut parfois être fondatrice. Avant cette demie de Twickenham, je me souviens que "Rafa" (Ibañez) avait collé un mot sur toutes les portes. En gros, il disait : "Cette fois, on ne lâche rien." Parce qu'à Wellington, on avait lâché trop tôt. Là, on a attendu qu'ils s'épuisent pour ensuite les prendre en contre et les défoncer. Ce match, on aura beau le refaire vingt fois, jamais on n'aura autant de rebonds favorables que ce jour-là. C'était tellement kiffant... Tout nous souriait. Quel est le discours d'entraîneur qui vous a le plus marqué avant un match face à la Nouvelle-Zélande ?Celui de Jean-Claude Skrela, justement avant cette demi-finale de Twickenham. Il nous avait dit : "Aujourd'hui, vous allez voir ce qu'est le très haut niveau. Ce match, si on le joue dix fois, on le perd neuf fois. Mais on va le gagner une fois. Et cette fois, c'est aujourd'hui." À la réflexion, je crois que c'est exactement ce qu'on avait besoin d'entendre à ce moment-là. Ça paraissait impossible de rattraper un déficit de 50 points face à une telle équipe en quatre mois. Et pourtant, on y est arrivé. Quelle est la défaite face à eux qui vous a fait le plus mal ?Celle de novembre 2006 au Stade de Gerland, à Lyon (défaite 3-47), juste avant les fêtes du Centenaire (du premier affrontement entre les Bleus et les All Blacks). Sur le renvoi du premier essai encaissé, les Blacks nous avaient notamment fait subir un ballon porté sur au moins 30 mètres. Je me souviens m'être dit, alors que j'étais soulevé et que je ne touchais plus terre, qu'on était en train de se faire laminer. C'était un sentiment d'impuissance très frustrant pour le capitaine que j'étais. « Ce jour-là, pour ma 117e et avant-dernière sélection, j'avais éprouvé un sentiment de fierté que je n'avais jamais ressenti avant » Lorsque les Bleus ont défié le haka néo-zélandais en quarts de finale de la Coupe du monde 2007 Quel est le haka le plus savoureux auquel vous ayez assisté ?Je n'ai jamais trouvé le haka très impressionnant. Parce que tu ne risques pas grand-chose à t'aligner devant des mecs qui te tirent la langue. Bien sûr que ça a beaucoup d'importance pour nos adversaires, parce que c'est le moment où ils passent de Néo-Zélandais à All Blacks. Mais nous, en face, on doit juste essayer de trouver des trucs pour patienter. Lors de la demie de 1999, par exemple, on avait rechanté la Marseillaise entre nous. Et en quarts de finale du Mondial 2007, à Cardiff, c'est Serge Betsen qui avait trouvé l'idée de s'avancer jusqu'à la ligne médiane avec nos maillots bleu-blanc-rouge. C'était une façon de leur dire : "Vous êtes certainement meilleurs que nous, mais pour nous battre, il faudra que vous marchiez sur nos couleurs." Ce jour-là, pour ma 117e et avant-dernière sélection, j'avais éprouvé un sentiment de fierté que je n'avais jamais ressenti avant. Quelle est l'anecdote que vous n'avez jamais racontée ?Lors du deuxième test-match de novembre 2000 à Marseille (victoire 42-33), on est arrivés au stade Vélodrome quarante-cinq minutes avant le coup d'envoi. On venait d'Aix-en-Provence et le bus était bloqué dans les embouteillages. Les motards qui nous escortaient n'arrêtaient pas de klaxonner pour se frayer un chemin dans le trafic, mais les Marseillais leur répondaient d'aller se faire enc... Bref, Richard Dourthe était comme un fou dans le bus, il disait qu'on n'aurait pas le temps de s'échauffer, qu'on courait à la catastrophe. Finalement, on avait juste eu le temps de faire un tour d'honneur en guise d'échauffement. Du coup, quand on est rentrés au vestiaire, Fabien Galthié nous a dit : "Les gars, on a déjà fait le tour d'honneur. Maintenant, il ne nous reste plus qu'à en être dignes !" » À lire aussi «Arrêtez de réciter, jouez !» Dernière charge pour les Bleus Halagahu, le bizuth que «la pétanque rend fou» La tournée de 2009, un sommet de brutalité

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