
Le directeur du football de Manchester City, Txiki Begiristain, quitte le club
Il a été l'un des hommes majeurs dans la grande évolution de Manchester City depuis son passage sous pavillon émirati, amorcé en 2008. Aussi celui à l'origine de la venue de Pep Guardiola, en 2016. Comme attendu depuis plusieurs mois, l'Espagnol Txiki Begiristain (60 ans) quitte son poste de directeur du football, treize ans après son arrivée en Angleterre. Sous sa direction, les Citizens ont remporté sept titres de champion d'Angleterre, deux FA Cups et une Ligue des champions en 2023.
La succession de Begiristain était calculée depuis longtemps à City, puisque le club anglais avait révélé dès le mois d'octobre dernier l'identité de celui qui le remplacerait : le Portugais Hugo Viana, qui officiait au Sporting Portugal.
Avant de travailler pour le club phare du City Group, Begiristain avait officié en tant que directeur sportif du FC Barcelone durant sept ans, jusqu'en 2010. Son départ a pu soulever des questions sur l'avenir de Pep Guardiola, dont il est proche. Le technicien, qui a annoncé qu'il prendrait du recul à la fin de son aventure à Manchester, est sous contrat jusqu'à la fin de la saison.
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Des claques puis une bagarre générale : le match amical entre le Betis Séville et Côme dégénère
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Ligue des champions : Benfica «plus fort que nous», le constat sans appel de l'entraîneur niçois Haise
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Nice-Benfica : des Portugais étouffants, Diouf décisif, Moffi imprécis... Les tops et flops
La pression étouffante de Benfica, les nombreux arrêts de Diouf et les manqués à répétition de Moffi, retrouvez les tops et les flops de la défaite niçoise face aux Lisboètes. TOPS Diouf au niveau Quand le gardien est le meilleur joueur de son équipe, c'est rarement bon signe. L'adage s'est confirmé ce mercredi soir à l'Allianz Riviera, lors de la défaite 0-2 de Nice face à Benfica au troisième tour préliminaire aller de Ligue des champions. Yehvann Diouf a sauvé le Gym à de nombreuses reprises en première mi-temps, multipliant les arrêts. Sa parade du pied droit sur sa ligne à la 39e minute a été son plus bel exploit du soir, bien aidé par le capitaine Dante. Le gardien sénégalais a été moins sollicité lors du second acte. C'est pourtant après le repos qu'il a encaissé deux buts. Diouf n'a pas pu faire pas grand-chose sur le premier, signé Ivanovic (53e), mais est moins irréprochable sur le deuxième, de Florentino (88e). Publicité Pour sa défense, la frappe lointaine du Portugais était piégeuse avec son rebond à quelques dizaines de centimètres de lui. Une prestation de haut vol, plombée par cette petite erreur mais qui n'aurait de toute manière pas suffi aux Aiglons pour l'emporter. La pression de Benfica et le poison Ríos Les joueurs de Benfica ont mis la pression aux Niçois tout le long du match, sans jamais (ou presque) lâcher l'étreinte. Le Gym n'a pas su réagir et trouver les solutions malgré plusieurs belles opportunités, toutes gâchées. Richard Ríos a été un véritable poison dans l'entrejeu, multipliant les passes astucieuses et les coups dans le dos de l'arbitre. Morgan Sanson est sorti sur blessure à la suite d'un contact avec le Colombien. Les Portugais ont semblé maîtriser leur sujet face à des Aiglons un peu perdus. C'était à se demander lequel des deux clubs n'a presque pas eu de pause entre la saison dernière et celle qui vient de débuter... Rappelons que les Lisboètes ont disputé le Mondial des clubs. Clauss remuant S'il n'a pas été décisif, Jonathan Clauss a été l'un des seuls Aiglons à réellement se montrer dangereux offensivement. L'international français a multiplié les courses et les incursions dans la surface depuis son côté droit. Ses centres n'étant que trop rarement repris, il a tenté d'y aller tout seul à la 51e minute et était proche d'aller au bout. Benfica a marqué 120 secondes plus tard. L'ouverture du score n'a pas coupé les jambes de Clauss qui a continué à se montrer sur son côté avant de petit à petit baisser pavillon. Il aurait même pu provoquer un pénalty au retour des vestiaires, la main d'un portugais frôlant un de ses ballons vicieux dans la surface. FLOPS Moffi a vendangé Terem Moffi aligné à la pointe de l'attaque niçoise, l'idée semblait logique puisque Franck Haise a perdu Gaëtan Laborde (parti en Arabie saoudite) et surtout son meilleur joueur Evan Guessand (très proche d'Aston Villa) lors de ce mercato. Et ce même s'il n'avait plus joué depuis... plus d'un an. Publicité Le Nigérian a eu un nombre incalculable d'opportunités face à Anatoliy Trublin, le portier de Benfica, mais a presque toujours manqué le cadre. Ses seules frappes cadrées ont été facilement captées par le gardien ukrainien de 24 ans. Moffi aurait pu ouvrir le score à plusieurs reprises en première mi-temps, il a répété les mauvais choix offensifs lorsqu'il n'était pas à la conclusion des actions et a ensuite un peu disparu des radars en seconde période. Il a été remplacé à la 89e minute (bien trop tard) par Bernard Nguene, qui n'a pas eu le temps de s'exprimer. Pavlidis invisible Le serial buteur de Benfica, grand artisan du beau parcours des Lisboètes en Ligue des champions la saison dernière, a été bien discret ce soir à Nice. On n'a presque pas vu Vangelis Pavlidis, totalement éclipsé par son compère d'attaque Franjo Ivanovic, pourtant tout juste arrivé au club en provenance de l'Union Saint-Gilloise. Le Grec ne s'est créé aucune opportunité de trouver le chemin des filets et a perdu des ballons évitables dans le cœur du jeu, lorsqu'il tentait de décrocher pour toucher des ballons. De son côté, le Croate a raté quelques frappes avant de régler la mire à la 53e minute, lançant parfaitement Benfica. Les blessures des Niçois La saison vient de commencer et l'infirmerie de Nice est déjà bien remplie. Avant la rencontre, trois défenseurs centraux (Ndayishimiye, Bombito et Abdelmonem), le latéral Ali Abdi, le milieu de terrain Ndombélé et l'attaquant Cho étaient tous forfaits. Un effectif réduit qui s'est encore rétréci à la 28e minute de jeu quand Morgan Sanson s'est soudainement tenu l'arrière de la cuisse après un duel avec Richard Ríos. Il a dû laisser sa place au jeune Tom Louchet (22 ans), formé à Nice et inexpérimenté à ce niveau. Un coup dur auquel s'est vite ajoutée la sortie à la mi-temps, là aussi sur blessure (probablement au genou gauche), du capitaine de 41 ans Dante. Perdre tant de joueurs si tôt dans la saison est rare et est signe de malchance... ou de mauvaise préparation physique.