Mercato : Manchester City engage le jeune milieu de terrain de 18 ans Sverre Nypan pour 15 millions d'euros

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Le Parisien

24 minutes ago

• Le Parisien

Football : Snoop Dogg rejoint Luka Modric et devient copropriétaire de Swansea

Même s'il n'évolue qu'en D 2 anglaise, Swansea sait faire parler de lui. Quelques mois après avoir accueilli l'une des légendes du Real Madrid (aujourd'hui à l'AC Milan) Luka Modric comme actionnaire minoritaire, le club gallois a mis la barre encore plus haut en termes de notoriété. Et surtout d'inattendu. Snoop Dogg, star mondiale du rap et omniprésent l'an passé aux JO de Paris , rejoint en effet le milieu de terrain croate au capital des Swans, contrôlés depuis novembre 2024 par un duo d'hommes d'affaires américains. Alors qu'il a toujours manifesté son intérêt pour le Celtic Glasgow, Snoop Dogg, de son vrai nom Calvin Cordozar Broadus Jr, est donc parti sur un autre terrain. « Mon amour du football est bien connu, mais je trouve spécial de devenir propriétaire du club de Swansea City, explique l'homme aux 35 millions d'albums, qui a servi de modèle pour présenter la nouvelle tunique de son équipe. L'histoire du club et du quartier m'a vraiment touché. C'est une ville et un club fiers et ouvriers. Un outsider qui riposte, tout comme moi. Je suis fier de faire partie de Swansea City. » Les dirigeants se réjouissent évidemment de l'arrivée de l'Américain, qui a désormais une fresque à son effigie dans le Liberty Stadium. « C'est un grand enthousiasme pour notre club de football d'accueillir officiellement Snoop Dogg comme copropriétaire et investisseur à Swansea City. Son amour du football est bien connu, et il a souvent exprimé son désir de s'impliquer davantage dans ce sport, salue Tom Gorringer, le directeur général de Swansea. Nous sommes ravis qu'il estime que rejoindre Swansea City est la meilleure façon de concrétiser cette ambition. Dogg est passionné par ce projet et nous aide à continuer de faire connaître le club auprès du plus grand nombre. » Si le club, qui a quitté l'élite en 2018, n'affiche pas de résultats exceptionnels (milieu de tableau de D 2 la saison dernière), il ne manquera pas de notoriété dans sa quête d'un retour au premier plan… « Nous espérons que son implication nous aidera à former une équipe aussi compétitive que possible sur le terrain, poursuit Gorringer. Lors de nos conversations, Snoop a évoqué le fait d'avoir porté de nombreux maillots de football sans jamais avoir senti qu'un club lui correspondait. Nous sommes ravis que le maillot de Swansea se soit avéré être la solution idéale. »

Le Figaro

24 minutes ago

• Le Figaro

XV de France : en Nouvelle-Zélande, un dernier «black-out» à éviter

Ce samedi (09h05), l'équipe de France disputera le troisième et dernier test de sa tournée face aux All Blacks. Avec l'envie de gagner après deux revers consécutifs. La bête endormie s'est vite réveillée. Piquée par les criques. Touchée dans son ego après avoir flirté avec une quasi-défaite retentissante contre une bleusaille fougueuse. Samedi en Nouvelle-Zélande, et un peu partout dans les canapés de l'hexagone, les têtes étaient quelque peu sonnées. À commencer par Fabien Galthié lui-même. « Ça a été une soirée difficile pour nous tous. On s'en doutait. On ne s'attendait pas à une soirée facile, mais on va dire que ça a été difficile sur le terrain, difficile pour les joueurs, difficile pour nous ». Pouvait-on douter de cette réaction d'orgueil des All Blacks ? Probablement pas. Le résultat est implacable tellement la première période fut à l'avantage des triples champions du monde. Domination physique, justesse technique, trois-quarts en feu… Les Néo-Zélandais ont fait parler leur expérience et leur puissance pour dominer des Bleus courageux mais nettement en dessous. Il n'y a aucune honte à avoir, d'ailleurs. Publicité «Détermination décuplée» L'équipe avait été une nouvelle fois remaniée pour reposer certains cadres. N'oublions pas, une presque équipe type manque à l'appel. Parmi les absents, Gros, Baille, Mauvaka, Atonio, Flament, Cros, Alldritt, Dupont (également blessé), Ntamack, Jalibert, Bielle-Biarrey, Penaud ou encore Ramos. Rien que ça. Pour éviter un troisième revers, Galthié et son staff ont fait appel aux cadres. Fickou, Slimani ou encore Guillard seront de retour. Face à la jeune garde néo-zélandaise - Scott Robertson ayant effectué 10 changements dans sa composition de départ -, les Bleus ont réellement un coup à jouer. Face aux joueurs à la fougère argentée, le danger peut venir de partout. «Maintenant, on sait à quoi s'attendre», a toutefois assuré le pilier gauche Baptiste Erdocio. Face aux critiques, notamment de la presse néo-zélandaise qui reproche aux dirigeants de ne pas avoir emmené son équipe type, Fabien Galthié, lui, l'assure : «Notre détermination est décuplée. Les gars seront là». À lire aussi Passeport expiré, natation… 5 choses à savoir sur le «sécateur» du XV de France Alexandre Fischer Les ingrédients sont simples. Du combat, d'abord. Le repositionnement de l'habituel deuxième-ligne Joshua Brennan au poste de flanker devrait faire du bien. Il faudra également assurer en conquête. Pas simple. Les Français ayant été dominés en mêlée et trop maladroits en touche. La défense dans l'axe devra être bonne face aux mobiles et puissants avants néo-zélandais. Derrière, l'expérience de Fickou et son association avec Depoortère devraient faire du bien à la défense. Sur les ailes, la vitesse d'Attissogbe fera du bien, comme la vélocité de Villière. «C'est la meilleure équipe possible», a finalement résumé Fabien Galthié. En quête d'un éclair au pays du long nuage blanc, les Bleus devront prendre exemple sur leurs aînés, vainqueurs des All Blacks le 14 juillet 1979, les 26 juin et 3 juillet 1994 ou encore le 13 juin 2009 - seulement quatre victoires en 32 test-matchs disputés par les Bleus au pays du Long nuage blanc... Avant de rentrer, les valises pleines ou allégées, et de reprendre un nouveau cycle rugbystique infernal.

Le Parisien

an hour ago

• Le Parisien

Euro 2025 : l'incroyable séance de tirs au but qui qualifie l'Angleterre pour les demi-finales face à la Suède

Les tenantes du titre anglaises ont complètement renversé la situation, jeudi face aux Suédoises, en quart de finale de l' Euro féminin de football . Vainqueure après les tirs au but (2-2 [3-2 t.à.b]), l'Angleterre affrontera l'Italie, tombeuse de la Norvège mercredi, en demies. Cette soirée à Zurich (Suisse) restera marquée par une improbable et interminable séance de tirs au but avec un festival de ratés assez rare (neuf sur quatorze tentatives !) et les malheurs de la gardienne scandinave Jennifer Falk, qui est parvenue à repousser quatre tentatives anglaises (dont trois d'affilée) avant de rater la frappe qui aurait pu expédier son équipe dans le dernier carré… La Suède peut éprouver des regrets. Pendant 78 minutes, les femmes en jaune ont dominé les tenantes du titre, l'Angleterre, notamment pendant une première mi-temps presque parfaite et conclue sur le score de 2-0, grâce à des réalisations de Kosovare Asllani (2e) et Stina Blackstenius (25e). Mais une rencontre de football dure 90 minutes, et les Anglaises, bien que dépassées, ont su réagir. La première mauvaise nouvelle pour les Suédoises a frappé à la 78e minute, avec la sortie sur blessure de leur ailière gauche Fridolina Rolfö, touchée à la cheville. La révolte est ensuite partie de l'arrière pour l'Angleterre, avec la taulière de l'équipe et latérale droite Lucy Bronze , autrice d'une tête rageuse pour revenir à 2-1 à la 79e minute. Survoltées, les Anglaises n'ont pas eu à attendre longtemps pour retrouver le chemin des filets. Complètement éteintes après le coup sur la tête qu'elles venaient de prendre, les Suédoises ont cédé en deux minutes. Michelle Agyemang, qui venait de faire son entrée dix minutes plus tôt, a fait parler sa vitesse pour conclure une occasion de contre à la 81e. Égalité donc, et direction les prolongations. La pause a permis aux Suédoises de se reprendre, et de retrouver une partie de leur niveau de la première mi-temps. Très offensives pendant la première partie de prolongation, elles n'ont cependant pas réussi tromper la vigilance de la défense anglaise, transformée pour l'occasion en véritable mur. Incapables de peser dans la moitié de terrain suédoise, les Anglaises ont dû se résigner à défendre, repousser les vagues jaunes au long des 30 longues minutes des prolongations. Une mission réussie, avec à la clé les tirs au but. Et le début d'une fin de soirée totalement irrationnelle… D'abord menées à la suite de l'arrêt de la portière anglais Hannah Hampton, les Suédoises ont de nouveau retourné la balance, grâce au trois parades de suite de Jennifer Falk, avant que la gardienne ne rate donc son tir synonyme de qualification. Très en forme, les gardiennes n'ont rien laissé passer, jusqu'à ce que l'ancienne Lyonnaise Lucy Bronze, encore elle, ne place une lourde frappe sous la barre et qualifie les siennes après un ultime raté suédois. Le dernier acte d'un autosabotage en règle. En demi-finale mardi 22 juillet à 21 heures, l'Angleterre affrontera l'Italie qui a battu la Norvège (2-1). Dans l'autre moitié de tableau, après Espagne-Suisse ce vendredi (21h), l'équipe de France espère battre l'Allemagne en quart de finale ce samedi à Bâle (21h).