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La friteuse air fryer de Moulinex
dispose d'une capacité de 7,5 litres, permettant de cuisiner pour 8 personnes. Son format est généreux mais reste compact et facile à ranger. Cet appareil électroménager embarque 8 programmes prédéfinis en plus d'un mode manuel qui permet un réglage précis de la température, allant de 80°C à 200°C, jusqu'à 60 minutes. Vous pouvez facilement contrôler la machine depuis le bouton rotatif et l'écran LED sur la façade avant. Moulinex Easy Fry garantit jusqu'à 70 % d'économie d'énergie et une cuisson jusqu'à 37 % plus rapide qu'un four traditionnel. Avec elle, vous profitez de plats équilibrés allant des pizzas au saumon, en passant par les frites et les desserts. Le nettoyage est simplifié avec son panier de cuisson antiadhésif et compatible lave-vaisselle. Avec l'application My Moulinex, découvrez des idées de recettes en fonction de vos goûts, du temps que vous avez, planifiez vos repas et bien plus encore.
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Le Figaro
7 minutes ago
- Le Figaro
Audiovisuel : le groupe italien MediaForEurope (MFE) améliore son offre sur ProSiebenSat.1
L'entreprise dirigée par Pier Silvio Berlusconi, fils de l'ancien Premier ministre italien et magnat des médias Silvio Berlusconi, avait dévoilé fin mars son ambition d'augmenter sa participation dans ProSiebenSat.1 dont il détient 29,99%. Le groupe audiovisuel italien MediaForEurope (MFE), contrôlé par la famille Berlusconi, a annoncé lundi avoir amélioré son offre pour grimper au capital de l'allemand ProSiebenSat.1, dépassant celle de son concurrent tchèque PPF. MFE propose désormais aux actionnaires du groupe allemand 1,3 action MFE de catégorie A pour chaque action ProSieben apportée, contre 0,4 action lors de son offre initiale. La composante en espèces reste inchangée à 4,48 euros pour chaque action ProSieben apportée. Le groupe italien dirigé par Pier Silvio Berlusconi, fils de l'ancien Premier ministre italien et magnat des médias Silvio Berlusconi, avait dévoilé fin mars son ambition d'augmenter sa participation dans ProSiebenSat.1 dont il détient 29,99%. Mais il fait face à la concurrence du groupe tchèque PPF, deuxième actionnaire de ProSiebenSat.1, qui a lancé une offre concurrente en juin. Avec l'augmentation annoncée lundi, la part en actions de l'offre MFE, à un peu moins de huit euros, est désormais supérieure à l'offre en numéraire de PPF, qui s'élevait à plus de sept euros, ainsi qu'au prix de l'action ProSieben, selon les calculs de l'agence Bloomberg. Publicité Futur concurrent de Netflix ou Amazon ? En réaction à cette annonce, l'action de Prosieben a gagné lundi matin jusqu'à 11% (à 7,79 euros) à la Bourse de Francfort. Pier Silvio Berlusconi dit vouloir créer un groupe médiatique capable de faire face à la concurrence croissante des grandes plateformes de streaming américaines telles que Netflix ou Amazon. «Nous avons besoin d'un coup de pouce pour construire ce qui manque encore : un groupe européen fort, ancré localement et d'une taille suffisante pour être compétitif à l'échelle mondiale», a-t-il déclaré lundi dans un communiqué. Il a répété ne pas viser «le contrôle total» de ProSiebenSat.1, l'un des deux principaux acteurs du marché allemand de la télévision privée, aux côtés de RTL, filiale de Bertelsmann. Bert Habets, président du directoire de ProSiebenSat.1, a salué la nouvelle offre qui «souligne l'investissement à long terme et l'engagement continu de MFE dans ProSiebenSat.1».


Le Parisien
7 minutes ago
- Le Parisien
La plate-forme chinoise Temu accusée par l'UE de proposer à ses utilisateurs « des produits illégaux »
Dans le viseur des autorités européennes depuis de nombreux mois, attaqué en justice par des associations de consommateur et critiqué pour son impact environnemental, le site commercial chinois Temu doit faire face à un nouveau coup dur. Bruxelles l'accuse de ne pas respecter la législation numérique européenne. « Selon notre évaluation préliminaire, Temu est loin d'évaluer les risques pour ses utilisateurs selon les standards exigés par le règlement sur les services numériques (DSA) », a clarifié la commissaire européenne en charge du numérique, Henna Virkkunen. Une enquête menée par l'Union Européenne depuis octobre 2024 montre qu'il existe « un risque élevé pour les consommateurs » de trouver « des produits illégaux sur la plate-forme ». La Commission pointe notamment du doigt « des jouets pour bébés » et des « petits appareils électroniques ». L'enquête‚ elle, est amenée à se poursuivre, l'UE souhaitant étudier d'autres infractions présumées comme le « design addictif » de l'application , ou encore le manque de transparence dans les recommandations d'achats. La plate-forme chinoise, qui s'expose à une amende pouvant atteindre 6 % de son chiffre d'affaires annuel, a encore la possibilité de répondre aux accusations émises par la Commission Européenne . Temu n'est arrivé qu'en 2023 dans l'UE et a connu une progression fulgurante, comptant en moyenne 93,7 millions d'utilisateurs dans les 27 pays membres . Pour cela, elle s'est appuyée sur une stratégie de prix cassés et sur un catalogue de vente pléthorique comprenant vêtements, jouets, décorations, outils ou encore high-tech. L'UE poursuit donc sa lutte contre les marques de la fast fashion et contre la vente de produit potentiellement dangereux en ligne. Cette enquête contre Temu n'est pas la seule en cours, d'autres entreprises sont visées pour les mêmes motifs par la Commission Européenne. C'est notamment le cas du site chinois Aliexpress ou des réseaux sociaux Facebook, Instagram , X et TikTok. Des mesures concrètes sont d'ailleurs débattues. Une proposition de loi européenne vise par exemple à imposer une taxe de deux euros sur les petits colis venus de l'étranger, le plus souvent de Chine .


Le Figaro
37 minutes ago
- Le Figaro
Gilles Vidal revient chez Stellantis
Le designer cantalou revient dans le groupe Stellantis où il a effectué l'essentiel de sa carrière, après un intermède de cinq ans chez Renault. C'est la surprise de l'été. Par un communiqué diffusé le vendredi 25 juillet, un peu avant 15 heures, Stellantis a annoncé la nomination de Gilles Vidal au poste de directeur du design de ses marques européennes. Quinze jours avant, le 9 juillet dernier, au Technocentre, où nous avions été conviés à découvrir, en avant-première, la Renault Boreal, il était sur scène en compagnie de Fabrice Cambolive, le directeur général de Renault, et de Bruno Vanel, le patron du produit. Professionnel jusqu'au bout, il avait assuré la présentation du style du nouveau SUV destiné aux marchés internationaux de la firme au losange. Rien ne laissait supposer qu'il était sur le point de quitter le Technocentre pour retourner à l'ADN. Un retour aux sources pour le Cantalou qui a effectué la première partie de sa carrière au sein du groupe PSA Peugeot-Citroën. Entré chez Citroën en 1996, le designer français sera resté 24 ans dans le groupe franc-comtois. Il sera devenu un des piliers du design du groupe PSA, l'un de ceux sur lequel Jean-Pierre Ploué pouvait s'appuyer. Il aura suivi la construction de l'ADN et le regroupement du design des trois marques - Citroën, DS et Peugeot dans ce centre technique de PSA de Vélizy. Gilles Vidal dans un projet de cockpit Peugeot. Peugeot Publicité À partir de 2009, Ploué, devenu directeur du style des trois labels, lui avait confié la responsabilité des concept cars Peugeot. Il a notamment signé le concept SR1 de 2010, annoncé comme le manifeste de style du futur de la marque au lion. En janvier 2010, on lui confiait la direction du design Peugeot. Il supervise notamment les projets de renouvellement des 308, 3008 et 208 récompensés par le titre de Voitures de l'Année, entre 2015 et 2019. En novembre 2020, alors que le monde vit sous le régime du Covid, le groupe Renault annonce, quelques semaines après l'arrivée de Luca de Meo, avoir recruté Gilles Vidal pour diriger le style de la marque au losange. Une prise de guerre en quelque sorte pour Renault. Placé sous l'autorité de Laurens van den Acker, qui dirige le style de l'ensemble des marques de la firme de Billancourt, Gilles Vidal ne se contente pas de renouveler l'ensemble de la gamme. Il installe un nouveau langage formel et pilote le développement de la gamme électrique avec les R4, R5 et bientôt la Twingo. Depuis quelques mois, il avait lancé le processus d'évolution du style Renault avec le concept Emblème qui préfigure une berline électrique à la fin de la décennie. L'annonce de son retour chez Stellantis a fait l'effet d'une bombe au sein du Technocentre de Renault, distant d'une dizaine de kilomètres de l'ADN. Chez Renault, cela commence à faire beaucoup après le départ surprise de Luca de Meo, quelques semaines plus tôt. Au sein du losange, cette vague de départ revient à penser que les «emmerdes volent en escadrille». La chance pour Renault est que Gilles Vidal quitte l'entreprise alors qu'il venait de boucler un cycle complet de renouvellement de modèles. Amateur de voitures de collection, le designer vedette n'aurait pas pu refuser l'offre de Stellantis. Pour John Elkann, le président du groupe franco-italien, Antonio Filosa, le successeur de Carlos Tavares, et Jean-Philippe Imparato, le patron des opérations européennes, Gilles Vidal s'est imposé comme l'homme providentiel pour remettre les marques européennes sur le chemin du succès. Prenant la succession de Jean-Pierre Ploué qui aspire à une retraite bien méritée, le designer cantalou retrouve ainsi une entreprise qu'il connaît bien mais qui a bien changé depuis la fusion PSA-Fiat Chrysler. À bien des égards, elle est même méconnaissable. Il va évoluer dans un environnement où les contraintes desservent de plus en plus la créativité. Les économies sont devenues prégnantes et le groupe ne pourra pas faire l'impasse ni d'un repositionnement des marques ni même d'une réflexion sur le devenir de certaines. Gageons que Gilles Vidal revient à l'ADN avec l'assurance d'avoir les mains libres pour faire évoluer le design des marques européennes composées de Abarth, Alfa Romeo, Citroën, DS, Fiat, Lancia, Maserati, Opel, Peugeot. Pendant ce temps-là au Technocentre, Laurens van den Acker ne va pas vivre un été de tout repos. La direction lui a demandé de trouver un successeur à Gilles Vidal. Privilégiera-t-il la mobilité interne ou ira-t-il chercher un designer à l'extérieur ? Les paris sont ouverts mais il serait assez cocasse qu'il recrute quelqu'un de chez Stellantis!