
Télépéage : comment profiter de ce badge gratuitement pendant 12 mois ?
Disponible jusqu'au 1er septembre inclus, l'offre Fulli Nomade vous permettra d'activer le badge télépéage Fulli gratuitement
sur les autoroutes de France durant 12 mois. Vous n'aurez donc pas à vous soucier des frais mensuels de 1,90 euro, habituellement facturés lorsque le badge est utilisé. En France ou en dehors du territoire, vous bénéficierez également de la livraison offerte. Fulli prendra aussi à sa charge les frais de mise en service qui s'élèvent à 11 euros. Renseignez le code promo ETE25 au moment de votre souscription, pour profiter gratuitement du badge télépéage Fulli pendant 12 mois.
Si vous profitez de
l'offre Fulli Nomade
au plus tard le 31 août, vous pourrez bénéficier d'un cadeau supplémentaire. En effet, Fulli est actuellement associé à l'application Fizzer, qui permet de personnaliser toutes sortes de produits, dont des albums photos. Vous recevrez donc deux crédits à dépenser pour créer vos cartes postales sur Fizzer. Le badge télépéage Fulli dispose lui-même d'une multitude d'avantages. Non facturé lorsqu'il n'est pas utilisé, ce dispositif peut aussi servir dans des centaines de parkings. Si vous prévoyez d'emprunter les autoroutes d'Espagne et du Portugal, vous pourrez également activer votre nouveau badge, pour un coût mensuel de 2,40 euros. À contrôler aisément en ligne, votre badge télépéage Fulli vous permettra de régler vos passages aux péages le mois suivant, pour une gestion simplifiée de vos dépenses. Pour garder un œil sur vos factures et plus encore, installez l'application Fulli sur votre smartphone.
Cliquez ici pour
profiter de l'offre sur le badge télépéage Fulli Nomade

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Figaro
an hour ago
- Le Figaro
Safran scelle l'acquisition de l'activité «commandes de vol» de Collins Aerospace
Safran a annoncé lundi la finalisation de l'acquisition des «activités d'actionnement et de commandes de vol» de l'entreprise américaine Collins Aerospace, annoncée en 2023. «Grâce à cette acquisition, Safran devient un leader mondial des systèmes d'actionnement et de commandes de vol, se positionnant de manière optimale pour les programmes aéronautiques de prochaine génération», a indiqué le groupe aéronautique français dans un communiqué. Cette acquisition, pour une valeur d'entreprise de 1,8 milliard de dollars, porte sur des systèmes dont la fonction est «critique» pour les avions commerciaux et militaires, et les hélicoptères, souligne l'équipementier. Le périmètre de ces activités, qui seront consolidées à partir du 1er août au sein de Safran Electronics & Defense, emploie 4.000 personnes sur huit sites principaux en Europe (Royaume-Uni, Italie, France) et en Asie, avec des activités également en Pologne, aux États-Unis et en Inde, précise le communiqué. Publicité Les systèmes d'actionnement et de commandes de vol de Collins lui ont permis d'engranger un chiffre d'affaires d'environ 1,55 milliard de dollars en 2024. «Cette activité est en parfaite cohérence avec notre portefeuille de produits et notre ADN : des technologies de pointe, des activités de service récurrentes et une croissance rentable», a déclaré Olivier Andriès, directeur général de Safran, cité dans le communiqué. «Pour répondre à l'ambition de décarbonation du secteur, la prochaine génération d'avions monocouloirs se caractérisera par des architectures disruptives et une électrification croissante, nécessitant des innovations majeures dans les systèmes de commandes de vol et d'actionnement», souligne encore le communiqué.


Le Figaro
an hour ago
- Le Figaro
Dans le rouge, Stellantis ne mécontente pas la Bourse
Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - Le constructeur automobile a prévenu qu'il a perdu 2,3 milliards au premier semestre. La conséquence de beaucoup de charges héritées de l'ère Tavares. Antonio Filosa a pris ses fonctions de directeur général de Stellantis fin juin. Et, en moins d'un mois, il a imprimé sa marque. La semaine dernière, il a annoncé à la surprise générale que le constructeur ne développerait plus la filière des véhicules à hydrogène. Une décision qui n'a rien d'anecdotique alors que ce mode de propulsion a pu être présenté comme l'avenir pour les camionnettes et autres fourgons. Sur le papier, ce n'était rien comparé à l'annonce faite lundi par le constructeur automobile aux quinze marques (Peugeot, Citröen, Fiat, Chrysler, Jeep, Ram…). Le titre du communiqué est assez neutre : « Stellantis publie des chiffres préliminaires et non audités pour le premier semestre 2025. » Le contenu fait a priori l'effet d'une douche froide : on découvre dans un tableau que le groupe aura perdu 2,3 milliards d'euros entre janvier et juin. Rien à voir avec le premier semestre 2024, où Stellantis dégageait encore 5,6 milliards d'euros de bénéfices. S'il fallait…


Le Figaro
2 hours ago
- Le Figaro
Le réassureur Munich Re annonce un bénéfice net meilleur qu'attendu au deuxième trimestre
Le premier réassureur mondial Munich Re a annoncé lundi avoir enregistré un bénéfice supérieur aux attentes au deuxième trimestre, grâce à des pertes moins importantes que prévu dans sa branche de réassurance dommage. Munich Re, qui assure principalement les compagnies d'assurance contre leurs risques, a fait état d'un bénéfice net de 2,1 milliards d'euros pour la période comprise entre avril et juin. Ce chiffre est en hausse par rapport à la même période de 2024, où le groupe avait enregistré un bénéfice net d'environ 1,6 milliard d'euros. Les analystes interrogés par la société de données financières FactSet s'attendaient à ce que le groupe affiche un bénéfice d'environ 1,7 milliard d'euros. Ce résultat s'explique par «une performance opérationnelle globalement encourageante et des dépenses très faibles liées aux sinistres majeurs dans la branche réassurance dommages», indique Munich Re dans un communiqué de résultat préliminaire. Publicité Impact négatif de la dépréciation du dollar Les pertes ont également été «bien inférieures aux prévisions moyennes» dans la division pour l'assurance spécialisée mondiale (GSI), couvrant des risques complexes liés aux dommages technologiques, cyberattaques ou projets d'infrastructure, précise le groupe. Pour Ergo, la filiale qui coiffe l'assurance primaire et la santé-vie, le résultat du deuxième trimestre a été conforme aux attentes avec une «très bonne» performance opérationnelle mais «une accumulation aléatoire de sinistres majeurs individuels». Munich Re a également souligné que la dépréciation du dollar américain, qui s'est affaibli par rapport aux autres grandes devises à la suite des mesures protectionnistes du président Donald Trump, avait eu un impact négatif sur les résultats. Le réassureur a confirmé ses objectifs pour 2025, visant un bénéfice net de six milliards d'euros. Les résultats complets du groupe pour le deuxième trimestre seront publiés le 8 août.