Il sauve six personnes en marchant sur une corniche d'immeuble en feu
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En bref:
Un acte de bravoure extraordinaire a permis de sauver six personnes d'un incendie survenu vendredi dans le XVIIIe arrondissement de Paris . Fousseynou Samba, un résident de l'immeuble, est devenu le héros inattendu de cette soirée dramatique lorsqu'il a secouru une famille entière prisonnière des flammes au 6e étage. Face à l'impossibilité d'utiliser les escaliers envahis par les fumées toxiques, cet homme a choisi une voie de sauvetage périlleuse.
L'incendie s'est produit vendredi dans le XVIIIe arrondissement et a nécessité une importante intervention des pompiers de Paris.
Pompiers de Paris.
Naomie, sa voisine, et quatre enfants se sont retrouvés piégés par les fumées toxiques après avoir tenté de passer par les escaliers. La situation aurait pu tourner au drame sans l'intervention de Fousseynou Samba, qui a risqué sa vie pour les secourir.
La scène, filmée par une voisine, montre l'homme progressant sur l'étroite corniche de l'immeuble, avec seulement quelques centimètres de tôle le séparant du vide. L'homme a porté secours aux sinistrés en transférant un à un les enfants, dont deux nourrissons, vers son appartement épargné par les flammes.
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«Le corps nous guide, on se dit qu'il faut y aller», a expliqué le sauveteur à TF1. Le héros du jour confie avoir craint qu'un des enfants «ait pu tomber de ses bras». Son sang-froid a toutefois permis d'éviter toute blessure parmi les personnes secourues.
La famille a été transportée à l'Hôpital Robert-Debré pour examens. Treize résidents ont été intoxiqués par les fumées, dont huit restaient hospitalisés samedi soir. Dix-huit personnes ont dû être relogées à la suite du sinistre.
Dans un témoignage accordé au «Parisien», Naomie a confié avoir «tout perdu» dans l'incendie. Les circonstances exactes du départ de feu n'ont pas été précisées.
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Claude Béda est journaliste à la rubrique vaudoise de 24 heures. Licencié en sciences sociales et politiques, passionné par les sujets de société et la vie des gens d'ici, il a couvert plusieurs régions du canton, avant de rejoindre la rédaction lausannoise. Plus d'infos
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Autoriser les cookies Plus d'infos Dans un bel équilibre avec les trajectoires masculines, ces femmes sont au front dans une histoire qui est celle des Afghanes, aujourd'hui. Et dans un film qui, dans son sous-texte, lutte aussi pour qu'on ne les oublie pas. C'est habile. Poignant. Bien amené quand on sait que dans l'histoire vraie, la traduction est assurée par un homme, et donc politique sans l'être ostensiblement. Avec une Lyna Khoudri qui porte cette subtilité dans son rôle qui lui fait voir la mort en face, une interprétation qui rejoint ses convictions, qu'elle partageait récemment dans une interview en ligne sur Konbini: «On fait partie d'un monde, celui de la culture, qui avance un peu plus vite que les autres. J'aime bien cette responsabilité.» L'actrice signe ici sa troisième collaboration avec Martin Bourboulon. La quatrième sortira en 2027, avec un nouveau volet des «Trois mousquetaires». 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