
Promotion polémique à l'évêché de Toulouse : le prêtre condamné pour viol sur mineur renonce
« À ma demande, le Père Dominique Spina a renoncé à la charge de chancelier avec une réelle disponibilité de cœur. Je l'en remercie », a indiqué l'archevêque de Toulouse, Guy de Kerimel, dans un communiqué.

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Le Figaro
11 minutes ago
- Le Figaro
France-Espagne : de beaux hommages, Francisco brillant, des trous dans la raquette, Diabaté refuse la sélection… Coups de cœur et coups de griffe
Méconnaissables en première période, les Bleus ont changé de braquet pour renverser l'Espagne, samedi, à Bercy. COUPS DE CŒUR Une soirée sous le signe de l'émotion… La Fédération française de basket (FFBB) avait choisi de rendre hommage à plusieurs grands noms de l'équipe de France samedi, en marge de la rencontre face à l'Espagne. À commencer par Nicolas Batum et Nando De Colo, avant le coup d'envoi. Les deux joueurs ont tiré un trait sur leur carrière en Bleu après les JO de Paris. Deux légendes. «C'est incroyable, c'est le fruit des efforts et des sacrifices de tant d'étés pour ce maillot qui nous tient tant à cœur, donc aujourd'hui, c'est beaucoup d'émotions», a souligné De Colo. À la mi-temps, c'est le sélectionneur de tous les records, Vincent Collet, qui a été honoré, avant les membres du club des joueurs à 200 sélections et plus. Séquence émotion tout au long de la soirée devant 13.613 spectateurs. Publicité … Et de la révolte Dans ces conditions, Freddy Fauthoux ne voulait «pas gâcher la fête». Ça n'a pourtant pas très bien commencé, avec une équipe de France menée de 16 points à la pause et qui était encore à -10 dans le troisième quart. Les Bleus se sont «dit les choses» pendant la mi-temps et ont présenté un tout autre visage, à l'image du guerrier Isaïa Cordinier et quelques autres. Avec la victoire à la clé (78-73), la deuxième en trois jours face à la Roja. «La deuxième période et la meilleure de la préparation», a relevé Fauthoux, appelant à «ne jamais oublier les 20 premières». À noter qu'on n'avait plus vu deux victoires consécutives de la France sur l'Espagne depuis 1994/1995. À lire aussi Basket : renversants, les Bleus couchent l'Espagne et restent invaincus en préparation Francisco allume la mèche «Je n'aimerais pas être à la place du sélectionneur», s'amuse Sylvain Francisco. Effectivement, le choix que le technicien palois aura à faire n'est pas simple. Mais le meneur de Kaunas s'est attaché à lui simplifier la vie en signant une nouvelle prestation (très) aboutie samedi soir. 9 points, 3 passes décisives et 2 interceptions en près de 14 minutes pour Francisco, qui a allumé la première mèche en seconde période. On lui pardonnera ses 4 fautes à ce titre. «Je me sens très à l'aise, je me sens moi-même. Même si je rate des lancers et des tirs un peu faciles», sourit-il. Titulaire à la mène, le Monégasque Matthew Strazel (10 pts, 4 pds) a également été précieux en seconde période, tout comme l'excellent Bilal Coulibaly (13 pts, 3/5 à 3 pts). Hoard, valeur sûre On prend les mêmes et on recommence. Comme à Badalone jeudi dernier (victoire 75-67), Jaylen Hoard s'est montré précieux des deux côtés du terrain. Samedi, il a terminé avec 8 points, 5 rebonds, 2 interceptions et 1 contre. Propre. Freddy Fauthoux aura besoin de lui à l'EuroBasket. COUPS DE GRIFFE Diabaté dit non aux Bleus Désolant… Agé de 23 ans, Moussa Diabaté a fêté sa première sélection en équipe de France contre le Monténégro (81-75), en début de préparation. Il était toutefois coupé avant la victoire sur la Grande-Bretagne (74-67). Fin de l'aventure. Sauf que Vincent Poirier est contraint de déclarer forfait. On l'a appris samedi. Freddy Fauthoux a donc sollicité le natif de Paris pour revenir au sein du groupe. Réponse ? Non. «Pour être clair, on l'a déjà contacté pour suppléer Vincent, mais il préfère se consacrer sur sa saison NBA», a indiqué le sélectionneur. Ce serait un «footeux», on en parlerait pendant des jours, un véritable scandale à échelle nationale. Là, cette histoire passera sans doute inaperçu auprès du grand public. Ce n'est pas glorieux pour autant... À lire aussi Basket : «Il préfère se consacrer sur sa saison NBA», pourquoi Moussa Diabaté a dit non à un retour chez les Bleus Publicité Jaiteh et Sarr doivent hausser le ton Avec le forfait de Poirier justement, Fauthoux n'a plus que deux pivots sous la main, Mam Jaiteh et Alex Sarr. Le premier nommé a jonglé avec les fautes avant de se libérer en seconde période. Il n'a toutefois pas capté le moindre rebond samedi soir… Alex Sarr, lui, est totalement passé à côté de son sujet. Un chiffre pour symboliser son échec ? 5, comme le nombre de ses pertes de balle contre l'Espagne. Même si Guerschon Yabusele – qui n'a d'ailleurs pas brillé samedi – peut dépanner au poste 5, ils doivent hausser le ton. À lire aussi Basket : «La deuxième période est la plus réussie de la préparation», jure Fauthoux Hifi, un jour sans On le dit et on le répète, Nadir Hifi, c'est très bon… ou très mauvais. Samedi soir, c'était très mauvais (0 pt, 0/3). Le sélectionneur ne lui a d'ailleurs accordé que 5 petites minutes sur le parquet. C'était suffisant pour constater que ce n'était pas le soir du champion de France parisien. Avec les coups de chaud à répétition de Francisco et les qualités de garçons comme Strazel, Théo Malédon ou encore Élie Okobo sur la ligne arrière, la position de Hifi est-elle menacé ? Pas impossible… Réponse dimanche. Il y en a un autre qui peut avoir peur du couperet, Timothé Luwawu-Cabarrot, encore transparent contre l'Espagne samedi. Sa capacité à jouer au poste 4 pourrait toutefois le sauver si Freddy Fauthoux décidait de ne pas appeler de nouveau pivot.


L'Équipe
11 minutes ago
- L'Équipe
Ce champion du monde 2018 qu'on n'attendait pas en Ligue 1 : Sidibé, capitaine déjà décisif avec Toulouse
À l'heure où plusieurs champions du monde 2018 ont fait leur retour en Ligue 1, Djibril Sidibé, prolongé en secret au TFC durant l'été, a offert la victoire à son équipe à Nice (1-0), samedi soir en Ligue 1. Son premier but avec Toulouse. Il était évidemment tout sourire au micro de Ligue 1 + après la victoire à Nice (1-0), et le contraire aurait été pour le moins surprenant. À l'heure où les champions du monde 2018 reviennent dans le Championnat de France, Djibril Sidibé a été, ce samedi, le plus en vue d'entre eux. Si Florian Thauvin a réalisé une bonne entrée avec Lens, il n'a pas pu empêcher la défaite des Sang et Or face à Lyon (0-1). Encore à court de condition physique, Paul Pogba a, lui, assisté en tribune à la victoire de Monaco contre Le Havre (3-1) quand Olivier Giroud doit, lui, attendre ce dimanche pour jouer avec Lille à Brest (15 heures). Sidibé, lui, était revenu dès la saison dernière en Ligue 1 après deux années à l'AEK Athènes, avec pour objectif d'apporter son expérience, son leadership, et bien sûr ses qualités sur le terrain au TFC. Si le défenseur était arrivé pour un an dans la Ville rose, le club avait décidé de le prolonger, sans l'annoncer d'ailleurs. Car la première saison de Sidibé avait rempli les objectifs annoncés. Et samedi soir, à Nice, le défenseur a fait encore mieux. Vincent Sierro sur le départ, Rasmus Nicolaisen sur le banc au coup d'envoi, l'ancien Monégasque a porté le brassard côté toulousain, et il a fait honneur à son statut. Après une préparation sans victoire marquée par deux terribles roustes (0-7 contre le RB Leipzig et 0-6 contre le VfB Stuttgart), le TFC abordait ce match avec d'abord l'envie d'annihiler les offensives niçoises. Et Sidibé y a parfaitement contribué. Deux buts marqués, 17 encaissés et aucune victoire : la prépa cata de Toulouse Toujours bien placé, auteur de plusieurs précieuses interventions, le défenseur a fait parler son métier. Tout n'a pas été parfait, à l'image de cette talonnade mal sentie alors qu'un contre était amorcé et qu'il était parti à l'avant (16e), un rappel de son goût pour l'offensive. À 33 ans, Sidibé joue désormais axial droit, le poste qu'il occupait d'ailleurs la saison dernière, mais il préfère toujours évoluer comme piston. Son premier but en L1 depuis 2017 L'entraîneur toulousain Carles Martinez Novell l'a d'ailleurs utilisé à plusieurs reprises dans ce rôle en présaison alors, quand Nicolaisen a fait son apparition sur le terrain, Sidibé a repris son couloir (82e). Comme avant. Une mauvaise passe pour commencer, et puis les réflexes sont revenus. Des combinaisons, des courses vers l'avant aussi. Et puis le sens du but. Après un débordement de l'intenable Yann Gboho, dévié par le néo-toulousain Santiago Hidalgo, le ballon est arrivé au second poteau à Sidibé. Les notes de Nice-Toulouse : Clauss hésitant, Sidibé impactant Malgré l'angle fermé, l'ancien Monégasque n'a pas hésité et sa frappe puissante a trompé Yéhvann Diouf (90e). « Je suis content d'avoir marqué, mais le plus important était de retrouver le goût du jeu, de l'effort entre nous, a affirmé Sidibé. On a eu une préparation un peu compliquée, on a travaillé, c'était important de bien démarrer. (...) J'ai cette réussite d'être devant le but, de frapper fort et ça a fait mouche. » Concernant Sidibé, cela ne lui était pas arrivé depuis bien longtemps en France. À l'Allianz Riviera, le défenseur a ainsi marqué son premier but dans notre Championnat depuis le 15 décembre 2017, avec Monaco contre Saint-Étienne (4-0), et en a profité pour mettre fin à une disette de 116 matches sans but en L1, sa plus longue série en carrière dans l'élite. Alors c'est sûr, ça valait bien le coup de sourire.


Le Parisien
11 minutes ago
- Le Parisien
« L'émotion va monter au fil des heures » : ce supporter attendait de revoir le Paris FC en L 1 depuis 46 ans
Il s'en souvient comme si c'était hier. Olivier Morel est l'un des rares supporters qui a vécu le chemin de croix de la dernière saison en Ligue 1 du Paris FC, en 1978-1979. « C'était triste, les défaites se succédaient et il n'y avait personne dans les tribunes du Parc, raconte-t-il. Mon pire souvenir de toute ma vie de supporter du Paris FC, c'est une défaite humiliante 1-7 face à Monaco ».