
Après les JO, Paris confirme son attractivité : l'adjoint au tourisme met en garde contre le risque « d'embolie »
l'office de tourisme Paris je t'aime
, les arrivées aériennes en juillet dans la Ville Lumière bondissent de 18,4 % par rapport à 2024 et devraient croître de 7 % en août, peut-on lire dans le dernier baromètre mensuel de l'organisme. « De belles évolutions », décrit ce dernier, un an après un été « particulier » marqué par la tenue des
Jeux de Paris 2024
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Le Figaro
10 minutes ago
- Le Figaro
Comment l'envolée de l'euro complique la mission de la Banque centrale européenne
Réservé aux abonnés ANALYSE - La monnaie européenne a gagné 13,5 % vis-à-vis du dollar depuis le début de l'année. C'est une bonne nouvelle pour le pouvoir d'achat des Européens, mais un élément de plus d'incertitude pour la BCE. Ce jeudi, selon toute vraisemblance, le Conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE) décidera de ne pas modifier le niveau des taux directeurs de l'institution. Un indicateur qui fixe le coût de l'argent dans la zone euro et influe donc sur l'activité. En juin, à l'issue de leur dernière réunion, la présidente de l'institution, Christine Lagarde, avait jugé que, « au niveau actuel des taux d'intérêt », la BCE arrivait « à la fin d'un cycle de politique monétaire qui répondait à des chocs cumulés, dont le Covid-19, la guerre en Ukraine et la crise énergétique ». La Banque centrale est en « bonne position » pour affronter « les incertitudes » économiques liées notamment aux décisions erratiques de Washington autour des droits de douane, avait répété la Française. « Il n'y aurait lieu d'envisager une nouvelle baisse des taux que si nous constations des signes d'un écart important de l'inflation par rapport à notre objectif à moyen terme. Et, pour le moment…


Le Figaro
4 hours ago
- Le Figaro
Pour la première fois depuis 1945, le nombre des décès dépasse celui des naissances en France
En mai 2025, le nombre de décès enregistrés sur douze mois consécutifs a excédé celui des naissances sur la même période. Un basculement révélateur de la chute démographique. La chute démographique a franchi un point de bascule en France. En mai 2025, pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale, le nombre de décès enregistrés sur douze mois consécutifs a excédé celui des naissances. Selon les données compilées par l'économiste François Geerolf de l'Observatoire français des conjonctures économiques, à partir des données de l'Insee, la France comptabilisait en mai dernier 651.000 décès contre 650.000 naissances sur un an. En d'autres termes, «le solde naturel est négatif», précise l'économiste, rappelant que les projections tablaient plutôt sur 2027 pour un tel retournement. «C'était un basculement attendu», réagit auprès du Figaro le démographe Gérard-François Dumont, qui annonçait pour sa part ce cap dès janvier dernier à l'échelle de la France métropolitaine. «J'ai été surpris que les médias n'en fassent pas les gros titres». Lui considère que l'Insee a été «très lent à réagir», et aurait biaisé la réalité des chiffres en ajoutant les Outre-mers aux statistiques métropolitaines. «En ajoutant Mayotte, la Guyane et La Réunion, l'Insee a pu atténuer la chute. Mais c'est additionner des réalités totalement différentes», estime le démographe, pour qui cette réalité est une «conséquence des rabotages sur la politique familiale». Publicité Jusqu'alors, la France pouvait se targuer de maintenir un taux de natalité supérieur à la moyenne européenne, préservant ainsi une dynamique favorable à son système de retraite et de solidarité. Désormais, cet avantage s'effrite. En métropole comme dans les territoires ultramarins, la tendance est au repli avec près de 20 % de naissances en moins par rapport à 2010. «Cela fait dix ans que la natalité est en baisse par une perte de confiance dans la politique sur la famille», déclare Gérard-François Dumont. La mortalité, elle, progresse naturellement, portée par le vieillissement des générations du baby-boom. De janvier à mai 2025, le nombre de décès quotidien moyen a augmenté de 3,6% par rapport à 2024. D'après l'Insee, le nombre d'actifs continuerait de croître légèrement jusqu'en 2040 avant de décroître, pour retomber à 29 millions à l'horizon 2070. Certaines régions pourraient même connaître ce reflux dès 2036.


Le HuffPost France
4 hours ago
- Le HuffPost France
France Travail visé par une cyberattaque qui concerne potentiellement 340 000 demandeurs d'emploi
FRANCE - « Acte de cybermalveillance ». France Travail est victime d'un nouveau coup dur ce mercredi 23 juillet après avoir été victime d'une cyberattaque avant la mi-juillet, avec des risques pour des milliers de Français inscrits. Confirmant une information de BFMTV, France Travail (ex-Pôle Emploi) a confirmé ce mercredi à l'AFP avoir été informé dès le 12 juillet dernier « d'une action malveillante » sur un de ses services. Avec un risque de divulgation de données personnelles touchant potentiellement 340 000 demandeurs d'emploi. « Les données de 340 000 demandeurs d'emploi ont été consultées et seraient donc susceptibles d'être divulguées et exploitées de manière illégale », averti France Travail. En précisant que ces données personnelles sont les « nom et prénom, date de naissance, identifiant France Travail, adresses mail et postale », ainsi que les « numéros de téléphone » et le statut (radié ou inscrit). En revanche, l'opérateur public assure que les mots de passe et les coordonnées bancaires ne sont pas concernés. Dans ces circonstances, « il n'existe donc aucun risque sur l'indemnisation ou l'utilisation de données bancaires à des fins de vol des fonds sur les comptes des personnes concernées », assure également l'organisme. « Conformément à nos obligations en pareil cas, les personnes concernées ont été informées », est-il précisé. Un service « immédiatement fermé » Dans le communiqué transmis à l'AFP, France Travail indique aussi qu'une « première notification à la CNIL a été faite » e t qu' « une plainte auprès des autorités judiciaires a été déposée ». Cette nouvelle affaire ne risque pas d'arranger les affaires de France Travail, déjà ciblée en début d'année 2024 par une cyberattaque massive, où le risque de divulgation de données personnelles concernait alors 43 millions de personnes. Cette opération malveillante avait débuté par une « usurpation d'identité de conseillers Cap emploi ». Cette fois, le service concerné a été « rapidement » identifié comme « l'application Kairos permettant aux organismes de formation d'agir sur le suivi des formations des demandeurs d'emploi » et a été « immédiatement fermé », tient à rassurer le communiqué de France Travail. L'origine de l'activité anormale émane d'un compte « d'un organisme de formation basé dans l'Isère » qui a été .