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Festival d'Avignon 2025 : 1 800 spectacles, 180 théâtres, 3 millions de places à vendre… Que la fête commence

Festival d'Avignon 2025 : 1 800 spectacles, 180 théâtres, 3 millions de places à vendre… Que la fête commence

Le Parisien12 hours ago
Lever de rideau sur la Cité des papes ! Avignon redevient ce samedi 5 juillet, pour trois semaines, la capitale du théâtre en France. Ayant réussi à faire coïncider leurs calendriers, une demande de longue date, les deux festivals - le In dont c'est la 79e édition, et
le Off qui en est à sa 59e
- s'ouvrent le même jour cette année pour se clore tous deux le 26 juillet. Comme à l'accoutumée, l'offre est pléthorique et les chiffres donnent le tournis : près de 1 800 spectacles vont se jouer.
Dans le In, on en compte une cinquantaine dans quelque quarante lieux dont
la fameuse cour d'honneur
du Palais des papes. La Comédie Française, notamment, s'y produira à partir du 19 avec « Le Soulier de satin », de Paul Claudel, qu'a mis en scène Éric Ruf. Un spectacle récompensé par 5 Molières en avril, d'une durée de huit heures - avec entracte - qui se jouera toute la nuit à partir de 22 heures.
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Leurs débuts dans «The Voice», leur relation, leur succès... Les confidences de Jeck et de Carla Lazzari
Leurs débuts dans «The Voice», leur relation, leur succès... Les confidences de Jeck et de Carla Lazzari

Le Figaro

time10 minutes ago

  • Le Figaro

Leurs débuts dans «The Voice», leur relation, leur succès... Les confidences de Jeck et de Carla Lazzari

ENTRETIEN - Inséparables depuis leur rencontre en 2023, les deux chanteurs brillent avec leur single M'envoler et s'apprêtent à sortir un premier album ensemble d'ici la fin de l'année. Avec près de 14 millions de vues sur YouTube pour le clip et plus de 33 millions de streams, le titre M'envoler est un immense succès pour le duo niçois Jeck & Carla. Les deux artistes révélés dans « The Voice » fourmillent de projets ensemble. Après la sortie de leur deuxième single, À qui le tour, ils sortiront un album dans quelques mois. Interviewés séparément, Carla Lazzari et Jeck nous ont raconté leur histoire : celle de leur participation au télécrochet de TF1 et ce qui a suivi. Deux trajectoires différentes, riche d'expériences artistiques et médiatiques pour la jeune femme qui soufflera ses 20 bougies le 19 août prochain. Et une autre, plus tardive et fulgurante pour le compositeur de 33 ans. À lire aussi Helena : «Ma vie ne ressemble plus du tout à celle que j'avais avant» Publicité LE FIGARO. – Comment est né votre duo ? Carla LAZZARI. – Nous nous étions croisés une première fois dans les backstages d'un concert mais sans se parler plus que cela. Nous nous sommes vraiment rencontrés il y a deux ans et demi lorsque je l'ai invité à mon concert à La Cigale, à Paris. C'était une époque où je tournais une page de mon histoire, celle de mes chansons pour enfant, et où j'étais en réflexion pour la suite de ma carrière. Jeck est un compositeur de talent et j'ai eu envie de travailler avec lui. Il a entièrement composé mon troisième album, nous avons passé beaucoup de temps ensemble, nous nous sommes beaucoup confiés et j'ai eu envie de faire un featuring avec quelqu'un que j'aime. Avec Jeck, c'était une évidence. Jeck. – En fait, notre première rencontre a été dramatique. C'était au Palais Nikaïa à Nice, nous avions un ami commun qui faisait un concert avec la troupe de L'Héritage Goldman qui s'appelle Céphaz. Il nous avait invités tous les deux en backstage. On nous avait présentés, elle comme la fille connue pour avoir chanté Bim Bam Toi et moi le mec qui avait fait un buzz sur les réseaux avec le titre Défaite. Nous n'avions pas du tout accroché, elle me paraissait assez enfant et superficielle. Elle semblait triste mais ne voulait pas le faire paraître. Et elle a trouvé que j'étais un énorme beauf ! (Rires.) Elle avait bien cerné le personnage mais moi, un peu moins. Comment l'histoire s'est-elle arrangée ? J. - Carla avait quand même pris mon contact et m'avait proposé, quelques mois plus tard, de travailler ensemble. Mais vu que je n'avais pas accroché avec elle, à chaque fois je refusais par honnêteté. Elle a rapidement vu que j'étais peut-être beauf mais j'étais surtout très franc. Malgré mes refus, elle m'a invité à venir à son concert à La Cigale. Et comme j'étais à Paris ce jour-là, j'y suis allé. Quand je l'ai vu sur scène, j'ai découvert une autre femme, je l'ai trouvé exceptionnelle, une vraie show-woman avec une voix incroyable. Quand je suis allé la voir en backstage, elle m'a pris dans ses bras. Nous avons passé toute la soirée ensemble à parler et à faire connaissance. Qui a eu l'idée de la chanson M'envoler ? C.L. - C'est Érick Ness, qui est le compositeur du titre Parapluie interprété par Jeck, qui nous l'a proposé et nous avons adoré le refrain. Nous l'avons peaufiné avec Jeck pour obtenir le résultat final. C'est la belle histoire d'un amour impossible de deux personnes qui ont envie de se retrouver. Comme dans toutes les histoires d'amour, il y a des hauts et des bas. Nous avions envie de partager ensemble ce thème universel qu'est l'amour. J. – Depuis notre rencontre à La Cigale, nous avons commencé à travailler ensemble. J'ai composé J'en veux pas qui était un des premiers singles de son retour. Nous avons fait plein de duos ensemble pour tenter de remettre la lumière sur elle et montrer son immense talent. J'étais en plein essor médiatique avec le succès de Parapluie et je voulais qu'on en profite ensemble. M'envoler est venu grâce à un ami qui nous a présenté ce refrain pour lequel nous avons eu un coup de foudre et nous avions travaillé la musique. « Quand je suis avec Carla, je me dis qu'elle doit faire partie de ma vie. C'est une évidence » Jeck Sur les réseaux sociaux, vous vous amusez beaucoup des questionnements autour de la nature de votre relation… C.L. - (Rires.) Je suis quelqu'un de très discrète avec sa vie privée, c'est important pour moi de la préserver. Les gens nous suivent pour notre musique et l'aspect vie privée est en plus. Jeck est un ami, une personne qui m'est chère. Il y a une telle fusion entre nous que notre collaboration s'est prolongée avec un album. J. - Depuis deux ans et demi, il n'y a pas une seule journée où on ne s'est pas parlé. Entre Carla et moi, c'est plus que de l'amitié, c'est un coup de foudre d'âmes. Quand je suis avec elle, je me dis qu'elle doit faire partie de ma vie. C'est une évidence. Il y a une alchimie particulière entre nous. Carla, votre troisième album intitulé En mal d'amour est sorti le 6 juin dernier, que raconte-t-il ? C.L. - C'est un peu une parenthèse. Il s'est passé quatre ans depuis mon deuxième album et j'avais envie d'ouvrir mon cœur. J'ai commencé ma carrière très jeune et en étant très entourée. Lorsque je me suis retrouvée seule, je me suis rendu compte que j'avais loupé pas mal d'étapes de mon adolescence même si j'avais eu la chance de vivre mon rêve musical. C'est un album intimiste et sincère où je raconte mon histoire. Publicité Et il y a un album en duo en préparation… J. - Je compose de la musique soit pour moi, soit pour d'autres artistes. Toutes les musiques que j'ai faites sur les trois derniers mois sont toutes des musiques que j'ai inconsciemment conçues pour des duos. En trois mois, nous avions 25 titres et nous en avons retenu quinze pour cet album avec Carla. « Nous ne sommes pas du tout armés pour entamer une carrière durant notre enfance » Carla Lazzari Quels souvenirs gardez-vous de vos débuts dans « The Voice » sur TF1 ? J. – Cela ne m'intéressait pas du tout de participer à « The Voice ». J'avais peut-être peur, je ne me sentais peut-être pas prêt ou, tout simplement, pas légitime. Cela ne faisait que six mois que je prenais des cours de chant. Mais ils sont venus me le proposer plusieurs fois et j'ai fini par accepter. Bruno Berberes et Pascal Guix ont tellement cru en moi que ça m'a permis de croire en moi-même. Même si je n'ai pas été retenu aux auditions à l'aveugle, je retiens la bienveillance des coachs. J'ai été touché par l'écoute, les conseils et la gentillesse de Vianney. Je garde aussi en mémoire la vague d'applaudissements du public. C'était une sensation inédite pour moi. C.L. - J'avais 11 ans lorsque j'ai enregistré mon audition à l'aveugle dans « The Voice Kids » et ça avait été diffusé un an après. Cette expérience est un de mes plus beaux souvenirs, elle représente le début de tout ce qui m'est arrivé par la suite. Je le dois à Bruno Berberes qui m'a repérée, c'est l'initiateur de ma carrière. « The Voice » m'a tout appris et je dois tout à « The Voice ». Vous avez des équipes qui vous accompagnent dans tous les domaines, des cours de chant aux cours d'interview. C'était la meilleure des écoles. Est-on vraiment armé à 11 ans pour se confronter à une compétition musicale médiatisée et diffusée à des millions de téléspectateurs ? C.L. - J'en parle justement dans mon livre qui va sortir à la rentrée (Ma vérité aux éditions Hors Collection). Avec le recul, je pense effectivement que nous ne sommes pas du tout armés pour entamer une carrière durant notre enfance. Même si c'est incroyable de pouvoir commencer aussi jeune, c'est très difficile de perdurer. À 12 ans, tu ne sais pas qui tu es et tu ne sais pas ce que tu veux véhiculer. Ce sont des équipes qui décident pour toi, on te relooke et on fait de toi une petite poupée parfaite. Plus tard, cela peut générer des difficultés et des regrets. Quand tu grandis et que tu changes, que tu veux casser les codes, les gens ne comprennent pas forcément ta transition. Pour vous Jeck, cela a-t-il été compliqué d'accepter que l'aventure s'arrête aussi vite ? J. - Non, je m'étais préparé à cette éventualité. En sortant de scène, une personne de la production est venue me dire que je venais de démontrer à la France que j'étais différent, que j'avais compris ce que les autres ne comprennent pas et que j'allais faire carrière. Il a perçu quelque chose que, moi-même, je n'ai pas compris sur l'instant. Mais ça m'a boosté, j'ai eu envie d'y arriver. Le talent, je ne l'ai pas. La chanson et la composition ne sont pas innées. J'ai dû beaucoup apprendre et travailler. Y a-t-il une recette pour réussir son après « The Voice » ? J. – Le truc qui peut faire la différence est d'y aller sans avoir d'attente, ce qui est très dur quand notre vie est dirigée par la musique. Que ce soit pour « The Voice » ou pour faire carrière, il faut le faire avec le cœur, avec passion et sans attente. Mais en donnant le maximum de soi. Il ne faut pas le faire pour la finalité, il faut le faire pour le chemin. « The Voice » est une émission qui est là pour te médiatiser le temps d'un instant mais ce n'est pas ça qui garantit ton succès. « Les gens vont avoir tendance à vous mettre dans la case des chanteurs pour enfants toute votre vie » Carla Lazzari Publicité Carla, avez-vous le sentiment d'avoir grandi plus vite que vos amis du même âge ? C.L. - Je viens d'un petit village du sud de la France. J'ai commencé à vivre seule à Paris, je n'avais que 15 ans. C'est très jeune. J'ai grandi dans un milieu d'adultes et j'ai eu des responsabilités qu'on ne devrait pas avoir à cet âge-là. J'ai dû monter ma première société et gérer une carrière pendant que mes copines allaient faire leurs soirées pyjama. C'est tout ce que je n'ai pas vécu, l'adolescence n'était plus vraiment là… Mais je ne regrette rien parce que j'ai un parcours incroyable. Je prends simplement conscience de ce que je n'ai pas vécu. Comme la comédienne Millie Bobby Brown , est-ce difficile de faire comprendre et accepter aux gens que vous êtes aujourd'hui une jeune femme de 20 ans ? C.L. - On me parle souvent d'elle parce que, comme moi, elle a commencé très jeune dans la série Stranger Things . Beaucoup d'artistes révélés durant l'enfance ont eu du mal à passer le cap de l'âge adulte aux yeux du public. Le phénomène de la chanson Bim Bam Toi à l'Eurovision Junior et mes premiers albums ont été incroyables. Mais les gens vont avoir tendance à vous mettre dans la case des chanteurs pour enfants toute votre vie. Le plus dur, c'est de ne pas être catégorisé. Il faut savoir marquer un temps d'arrêt dans une carrière, se remettre en question, revenir avec un projet artistique qui nous correspond sans que la transition soit trop brutale. J'ai envie de toucher un nouveau public, montrer que j'ai grandi, tout en accompagnant celui qui me suit depuis mes débuts. Depuis 2018, il n'y a pas vraiment eu de temps mort dans votre carrière… C.L. - Il y en a eu un après mon deuxième album sorti en 2021 et avant ma participation à « Danse avec les stars » en 2022. J'ai eu un changement d'équipe, j'ai commencé à travailler avec un nouveau manager, Valérie Michelin. J'apprends énormément à son contact. Je me suis retrouvée seule, chez moi à la campagne à me demander ce que j'allais faire. Le temps m'a paru long et j'ai beaucoup douté sur la suite de ma carrière. Je me demandais si j'allais réussir ma transition et si j'étais légitime en tant que simple interprète. « Le travail et le talent ne suffisent pas pour réussir » Jeck Quelles ont été les rencontres déterminantes pour avancer dans votre carrière et rester dans la lumière ? C.L. - Il y a d'abord eu Bruno Berberes qui m'a découvert et m'a permis de participer à « The Voice Kids ». Il y a eu Mosimann qui a été mon étoile, mon ange gardien, à un moment où je me sentais perdue. Lui aussi avait commencé jeune dans « Star Academy », il a su me montrer la voie sans me prendre pour une enfant. Je vivais dans un monde d'adultes et je ne comprenais pas pourquoi on m'infantilisait tout le temps. Mosimann m'a incitée à me remettre en question, à m'écouter et à faire mes propres choix. La troisième rencontre, c'est Jeck qui est l'initiateur de mon retour avec M'envoler. J. – Comme je ne me vois pas dans un contexte de starification, je me pose souvent la question : est-ce que je ne suis pas plus fait pour être compositeur ? Cela me fait beaucoup de bien de composer et, de ce que je vois, cela fait du bien aux gens qui m'écoutent. Alors pourquoi ne pas continuer ? J'apprends à vivre avec la notoriété, je joue le jeu à fond et je profite de l'instant. Mais pour moi, ce n'est pas un concours d'ego qui fait notre bonheur. À essayer de plaire à tout le monde, on oublie souvent de se plaire à soi. Quelle est la clef pour réussir à rester durablement au premier plan dans la musique ? C.L. - Je ne pense pas qu'il y ait de recette sinon tout le monde l'appliquerait. C'est la singularité, c'est l'authenticité et c'est à quel point un artiste va être vrai. Nous avons beaucoup d'outils aujourd'hui pour faire parler de soi. Quand j'ai commencé à 12 ans, c'était l'émergence de TikTok et Bim Bam Toi y avait été porté par un buzz. Rien qu'avec les réseaux sociaux, on peut se faire une communauté incroyable. Il faut savoir s'en servir à bon escient et arriver à concrétiser derrière. J. - Le travail et le talent ne suffisent pas pour réussir. Des gens qui ont plus de talent que Carla et moi réunis, il doit certainement y en avoir des milliers. Il y a une espèce de magie qui est assez inexplicable qui existe dans toutes sortes d'arts et dans la musique. C'est super complexe et chacun fait de son mieux. Ce n'est pas méritocratique parce qu'il y a des gens qui ont un talent phénoménal et qui n'y arrivent pas. Il faut avoir l'humilité de reconnaître qu'il y a une magie et tant qu'elle est là, il faut en profiter. Quelle est la part de chance dans l'émergence d'un artiste ? C.L. - La chance, ça se provoque. Je ne peux pas croire qu'elle suffise à elle seule. Les étoiles peuvent s'aligner à certains moments mais si tu ne travailles pas et si tu ne crois pas un minimum en toi, ça ne fonctionnera pas. J. - Tout ce que je pensais avoir compris n'était pas bon. Je pensais avoir la bonne musique mais ce n'est pas le cas. Je pensais que j'avais un super bon marketing mais je me rends compte que plein d'autres essayent de faire la même chose et ça ne fonctionne pas. Ma croyance actuelle est que nous sommes dans un milieu de starification, nous devons nous démarquer. Je ne suis pas à l'aise avec ça, je n'arrive pas à starifier les gens et je n'ai pas envie qu'on me starifie. Je garde mon côté franchouillard qui me correspond et, pour le moment, ça fonctionne. Je ne me sens pas connu et mon entourage me fait bien comprendre que je ne le suis pas. « Je suis un peu une enfant de la télé » Carla Lazzari Avant « The Voice », envisagiez-vous une carrière artistique ? C.L. - Oui, j'ai toujours eu cette envie mais sans trop y croire. J'ai une famille de musiciens qui travaille dans des petits orchestres. J'ai pratiqué la danse, le chant, le théâtre… J'ai toujours été attirée par le milieu artistique. Au collège, j'étais en sport-études, les professeurs me mettaient en garde sur la difficulté d'être artiste. Mais on ne m'a jamais dit que ce n'était pas un métier. On m'incitait juste à bien travailler pour sécuriser ma scolarité. Mais je n'ai jamais voulu de cette sécurité, je n'ai même pas eu mon bac. L'année de ma Terminale, je participais à « Danse avec les stars ». J. - J'étais entrepreneur, ma seule idée était d'avoir une bonne situation pour pouvoir avoir un maximum de temps et réfléchir à ce que je voudrais faire dans ma vie. Je n'avais ni but, ni sens. C'est la mort de ma mère qui m'a amené à un sens. Cela a été la fin de quelque chose, mais aussi le début de quelque chose. Carla, de « The Voice Kids » en 2018 sur TF1 aux « Traîtres » en 2024 sur M6 en passant par l'Eurovision Junior, « Fort Boyard » et « Danse avec les stars », nous vous avons vu grandir à la télévision… C.L. - Je suis un peu une enfant de la télé. Quand je participe à « Fort Boyard », je suis comme une enfant et je suis la plus heureuse du monde. J'ai eu cette chance de participer à toutes ces émissions et d'avoir bénéficié de cette confiance. J'en suis éternellement reconnaissante. Sans les radios et les télés, c'était très difficile de se faire connaître. Grâce à ces différentes expériences, les gens savent qui je suis et m'identifient. Dans ces programmes, ils ont pu voir toutes les facettes de ma personnalité.

Cancer, Bélier, Vierge : le mois de juillet sera marqué par des tensions côté amour
Cancer, Bélier, Vierge : le mois de juillet sera marqué par des tensions côté amour

Le Figaro

time10 minutes ago

  • Le Figaro

Cancer, Bélier, Vierge : le mois de juillet sera marqué par des tensions côté amour

Le mois de juillet risque d'être particulièrement tendu côté amour pour ces trois signes astrologiques. Bélier : des discussions à prévoir En couple, le mois s'annonce riche en discussions. Veillez à ce que cela ne tourne pas trop à la dispute. Prenez le temps d'écouter votre partenaire sans chercher à avoir toujours raison. Accordez-vous des instants de calme pour réfléchir à ce que vous voulez vraiment. Si vous êtes célibataire, de belles rencontres ne sont pas à exclure, mais il faudra fournir quelques efforts. Sortez davantage ou choisissez des lieux qui vous correspondent et où vous vous sentez à l'aise. Trouvez des contextes dans lesquels vous aurez des échanges authentiques. À découvrir Des recettes faciles et savoureuses sur l'application Le Figaro Cuisine HOROSCOPE DU MOIS BÉLIER Cancer : des tensions si vous êtes en couple En couple, vos souhaits et envies sont très différents de ceux de votre partenaire. Vous avez du mal à vous accorder sur vos projets communs, ce qui met de l'huile sur le feu et crée des tensions. Vous devrez apprendre à mieux communiquer et à accepter vos différences pour apaiser les choses et repartir du bon pied. Si vous êtes célibataire, vous aurez envie de vivre de nouvelles relations amoureuses. Laissez-vous conduire par votre intuition pour choisir les bonnes personnes. Une belle rencontre pourrait bien vous attendre et vous apporter beaucoup de bonheur. HOROSCOPE DU MOIS CANCER Publicité Vierge : attention à la routine Pour les couples, c'est un mois idéal pour essayer de nouvelles activités à deux et booster la dynamique qui commence à s'enliser dans la routine. Des expériences inédites peuvent raviver l'étincelle. Avec de la nouveauté, de belles surprises sont à prévoir. Les célibataires, ne vous attendez pas à ce que le grand amour frappe à votre porte ce mois-ci, si vous le cherchez. Restez quand même à l'affût. Une ou deux rencontres intéressantes se profilent, et même si votre cœur ne s'emballe pas, quelqu'un mérite votre attention. Vous avez aussi besoin de temps pour faire connaissance. HOROSCOPE DU MOIS VIERGE TOUS LES HOROSCOPES MENSUELS ICI

«Ces pervers choisissent des femmes solaires» : six ans après le meurtre de Salomé, sa mère alerte sur les mécanismes de l'emprise
«Ces pervers choisissent des femmes solaires» : six ans après le meurtre de Salomé, sa mère alerte sur les mécanismes de l'emprise

Le Figaro

time16 minutes ago

  • Le Figaro

«Ces pervers choisissent des femmes solaires» : six ans après le meurtre de Salomé, sa mère alerte sur les mécanismes de l'emprise

Réservé aux abonnés ENTRETIEN - Six ans après le meurtre barbare de sa fille, tuée par son compagnon à Cagnes-sur-Mer, Muriel Dotta publie un livre courageux coécrit avec Sandra Mathieu (Elle s'appelle Salomé, éditions Télémaque) sur les rouages de l'emprise. Le 1er septembre 2019, le corps meurtri de Salomé Garnesson, 21 ans, était retrouvé dissimulé sous un tas d'ordures à Cagnes-sur-Mer (Alpes-Maritimes). Quelques heures plus tôt, son compagnon l'avait battue, étranglée, puis abandonnée comme un déchet. L'enquête, le procès, puis la condamnation d'Amin Mimouni à la réclusion criminelle à perpétuité ont confirmé l'ampleur de l'emprise exercée sur cette jeune femme solaire, brillante et ambitieuse, peu à peu isolée, puis tuée parce qu'elle voulait reprendre sa liberté. Dans un récit à deux voix, coécrit avec l'écrivaine Sandra Mathieu, Muriel Dotta rouvre ses blessures pour les transformer en un véritable outil de prévention. Parce que parler d'emprise, c'est parfois sauver des vies. LE FIGARO. - Dans quel état d'esprit étiez-vous au moment de commencer ce livre ? MURIEL DOTTA. - C'était une évidence, il fallait vraiment que je parle de tout ça, j'en avais besoin. Cela s'est fait naturellement avec Sandra (Mathieu, NDLR). On se réunissait dans mon atelier de sculpture et je dois dire qu'au début je ne savais pas vraiment où j'allais, je n'en avais d'ailleurs pas envie. J'ai accordé à Sandra une totale confiance et puis, petit à petit, au fil des échanges, quelque chose s'est construit. Ce fut une très belle aventure entre deux femmes que de comprendre et d'essayer de faire comprendre ce qu'est l'emprise et comment il faut lutter contre ce fléau, à la racine. Était-ce aussi une manière de faire entendre la voix de Salomé à travers vous, vous qui ne l'évoquez qu'au présent ? Elle s'appelle Salomé, oui. Ce livre me permet de faire parler d'elle encore et encore, de faire en sorte qu'on ne l'oublie jamais ainsi que ce qu'elle a vécu. Ce fut là ma première motivation. L'emprise est au cœur de l'ouvrage. À quel moment avez-vous compris que Salomé en était victime ? Le fil de ce livre c'est l'emprise. Pourquoi on en arrive là, pourquoi ces femmes, qui ne sont pas des masochistes…

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