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DIRECT. Majorque-FC Barcelone (La Liga 2025-2026) à suivre en direct

DIRECT. Majorque-FC Barcelone (La Liga 2025-2026) à suivre en direct

L'Équipea day ago
Bienvenue sur le live de L'Équipe pour suivre ce match de football en direct entre Majorque et FC Barcelone (Championnat d'Espagne, 1re journée).
Le coup d'envoi de ce match, qui se déroulera au Son Moix (Palma de Majorque) sera donné le samedi 16 août 2025 à 19h30. Les deux équipes se sont déjà rencontrées 69 fois depuis 1960, le dernier match entre les deux formations a été remporté par FC Barcelone le mardi 22 avril 2025 (Championnat d'Espagne - 33e journée : 1-0).
Le match, à suivre en direct sur beIN Sports 2, sera arbitré par Jose Luis Munuera Montero.
Vous pouvez aussi retrouver plus d'informations concernant les équipes et effectifs grâce à nos fiches détaillées : Majorque et FC Barcelone.
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Un douloureux retour sur terre. Très attendu, l'ambitieux promu parisien n'a pas tardé à être rattrapé par la réalité du terrain ce dimanche 17 août à Angers (1-0), plus petit budget de la Ligue 1. Fort d'une préparation réussie, le Paris FC était pourtant arrivé au stade Raymond Kopa avec le plein de certitudes. Mais elles n'ont pas résisté à une entame de jeu calamiteuse punie par le trou d'air pris par le capitaine Timothée Kolodziejczak sur le but d'Estéban Lepaul.

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À l'image d'Eric Roy, leur entraîneur, les Brestois ont pesté sur la décision de l'arbitre, Clément Turpin, d'accorder le troisième but lillois, ce qui les a poussés à déposer une réserve technique. Le match entre Brest et Lille, dimanche, a été dingue, riche en (beaux) buts et en rebondissements, et l'un d'eux a plus fait parler que les autres. Menés 2-0 sur des buts d'Olivier Giroud et de Hakon Haraldsson, les Bretons étaient parvenus à revenir à 2-2 grâce à un doublé de Kamory Doumbia, d'abord opportuniste (1-2, 34e) puis auteur d'une superbe frappe (2-2, 51e). Mais ils ont craint tout perdre sur un but « assez invraisemblable », pour reprendre le terme utilisé par Eric Roy, leur entraîneur. On joue la 66e minute quand Hakon Haraldsson tire un corner et après une remise de la tête Nathan Ngoy, Ngal'ayel Mukau trompe à bout portant Radoslaw Majecki. Le milieu lillois était libre de tout marquage, car certains Brestois s'étaient arrêtés de jouer après avoir vu l'arbitre assistant lever son drapeau. Les notes de Brest-Lille : Doumbia inspiré, André émoussé Mécontents de la décision de Clément Turpin d'accorder le but, les Pirates ont alors déposé une réserve technique par l'intermédiaire de leur capitaine, Brendan Chardonnet. « Quand ils marquent, on voit que l'arbitre assistant a le drapeau levé, il annonce six mètres, explique le défenseur. J'ai du mal à comprendre comment il peut revenir sur sa décision, parce qu'il n'y a pas de goal-line sur la ligne. Je n'ai pas revu les images, on me dit qu'elle n'est pas sortie. Pas de souci, mais l'arbitre assistant est à un mètre et il dit l'inverse. Et il n'y a rien au niveau technologie pour l'assurer à 100 %, même si l'image parle clairement. Mais il faut être cohérent, c'est pour ça qu'on a voulu déposer une réserve. » « Je vais encore engueuler les joueurs pour leur dire que c'est le coup de sifflet de l'arbitre qui compte » Eric Roy, entraîneur de Brest Forcément, ce fait de jeu a été commenté par Roy en conférence de presse, et le technicien est revenu dessus dans le développement de sa première réponse. « Le troisième but lillois est en plus assez invraisemblable, a-t-il indiqué. Le juge de touche lève le drapeau dès que le corner est frappé, on pensait que le ballon était sorti. Ce qui est dommage, c'est que ça induit mes joueurs en erreur, ils s'arrêtent de jouer. Après, on a vu sur le ralenti que le ballon n'était pas du tout sorti. Ce qui est un peu bizarre, c'est qu'on a toujours tendance à lever le drapeau très tard sur les actions pour checker des hors-jeu, donc pourquoi lever, là, le drapeau tout de suite ? » La démarche ne sera pas poursuivie Relancé en fin de conférence, le technicien est revenu sur le sujet : « Dans ma tête, l'action était terminée, le but devait être annulé. Mais comme le ballon n'était pas sorti... Mais tu ne peux pas dire que ça n'a pas influencé mes joueurs... C'est un but abracadabrantesque. Je n'en veux pas à l'arbitre mais c'est vrai que cette situation est un peu particulière. Je vais encore engueuler les joueurs pour leur dire que c'est le coup de sifflet de l'arbitre qui compte. » Le technicien ne savait alors pas si la démarche allait être poursuivie en interne et, selon le club breton, cela ne sera pas le cas. Turpin n'ayant pas sifflé, les Brestois savaient que leur démarche ne pouvait aboutir. De toute façon, comme ils avaient fait preuve de courage pour revenir de nouveau au score et obtenir le nul, le mal n'était pas fait.

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Même houppette, même science du but, même célébration les doigts pointés vers le ciel… Seuls les poils grisonnants qui s'invitent désormais ici et là sur sa barbe et sa chevelure trahissent le passage du temps. S'il n'est pas parvenu à offrir au LOSC son premier succès cette saison en Ligue 1 (nul à Brest, 3-3), Olivier Giroud a soigné son retour hier après-midi, autant qu'il avait soigné sa sortie. Treize ans après son départ de France sur un sacre surprise avec Montpellier à l'issue d'une saison qu'il avait terminée meilleur buteur, l'artilleur, passé sous pavillon nordiste cet été à 38 ans, a converti sa première occasion (10e) d'un appel en profondeur vu et revu mais toujours aussi efficace. « Mon but ? Ma force est dans la surface, j'ai été bien servi par Felix (Correia). C'est un beau mouvement et un peu de réussite, ça passe entre les jambes du défenseur et le gardien est pris à contre-pied. Ça montre qu'on commence à avoir une belle entente entre nous », évacuait-il au micro du diffuseur Ligue 1 + avec cette tranquillité qui l'aura accompagné toute sa carrière, de la Premier League (Arsenal, Chelsea) au Calcio (AC Milan). L'aidant partout tant à forcer sa réussite qu'à retourner les esprits les plus sceptiques. Si son passage aux États-Unis (Los Angeles), d'où il a débarqué libre cet été, a été plus mitigé, cette action est venue valider les promesses nées d'une préparation prolifique. Le champion du monde 2018 avait lancé son aventure en rappelant son profil de renard des surfaces par un doublé opportuniste face à Venise. À voir aussi Avant d'inscrire face à West Ham, lors de l'ultime match de répétition, un nouveau but qui nourrira sa légende d'attaquant spectaculaire : réception d'un centre d'un délicieux contrôle orienté de la poitrine, un tour rapide sur lui-même pour envoyer une puissante volée du gauche et scotcher sur sa ligne Alphonse Areola. L'hommage de Francis Le Blé Olivier Giroud ne connait pas, ou presque, les rendez-vous manqué. Ce déplacement à Brest lui permet de s'affirmer comme l'option numéro 1 de Bruno Genesio sur le front d'une attaque orpheline de Jonathan David. « Lorsque vous êtes meilleur buteur de l'équipe de France (57), il y a quand même quelques raisons et il n'a pas fait que ça dans le match, il nous a beaucoup aidés dans son jeu en pivot, dans sa faculté à garder les ballons hauts, aussi dans le jeu aérien, nous gagner les duels… », soulignait d'ailleurs l'entraîneur, qui l'a laissé sur la pelouse jusqu'au bout. « J'ai dit au coach que je me sentais bien et que j'avais encore l'énergie même s'il n'y avait plus beaucoup d'essence dans le moteur. C'était un peu pareil pour tous. Il fait chaud à Brest un 17 août, à 15h, mais on a su trouver les ressources », complétait-il.

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