Votre prénom est-il tendance ou en voie de disparition ? Vérifiez-le grâce à notre moteur de recherche
À partir
des données dévoilées ce mercredi sur les prénoms attribués en France en 2024
, nous vous proposons de visualiser où se situe votre prénom sur l'échelle de la popularité.
Notre moteur de recherche interactif vous permet d'explorer la fréquence d'attribution de n'importe quel prénom, qu'il soit classique, original ou très rare, depuis 1900 jusqu'en 2024. Et repérer ainsi son pic de popularité, sa chute éventuelle… ou même son retour inattendu !
Les chiffres publiés par l'Insee confirment certaines tendances déjà bien installées : Gabriel et Louise figurent à nouveau parmi les prénoms les plus donnés en France en 2024. À l'inverse, Martine et Pascal, omniprésents au milieu du XXe siècle, poursuivent leur recul.
Cet outil permet d'observer des évolutions culturelles : certains prénoms, comme Jade et Louis, gagnent du terrain année après année, tandis que d'autres, comme Chantal et Roger, sont en voie de disparition. Nous pouvons constater la popularité croissante du prénom Léon, inspiré par
l'icône française de la natation aux Jeux olympiques
.
Autre fonctionnalité utile : la possibilité de comparer plusieurs prénoms sur une même courbe. Vous pouvez visualiser, par exemple, la montée fulgurante d'un prénom comme Ambre, comparée à la trajectoire descendante d'un prénom comme Sandrine. Pratique pour suivre les tendances, mais aussi comprendre les choix générationnels de vos proches.
Et pour les futurs parents en quête d'inspiration, ce moteur peut aussi servir d'outil à contre-courant : rien de tel qu'un prénom en voie d'extinction, comme Germain ou Elvire, pour miser sur l'originalité !
Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes
Le Figaro
14 minutes ago
- Le Figaro
Georg Baselitz, l'œuvre ultime chez Ropac à Pantin
Réservé aux abonnés CRITIQUE - Le galeriste expose une magnifique série d'autoportraits et de portraits conjugaux du grand peintre allemand qui, à 87 ans, se renouvelle encore. Et Georg Baselitz, à 87 ans, est de retour, toujours plus monumental, à la fois plus puissant et plus fragile que jamais. L'espace cathédrale de la galerie Ropac à Pantin sied à cet ensemble impressionnant de toiles géantes où le corps se dissout dans la couleur, de dessins aigus où les limites de la vie sont de plus en plus arquées et diffuses, à cette sculpture taillée dans une seule pièce de bois avant d'être coulée dans le bronze, sculpture noir suie comme celle de 9 mètres de haut, Zero Dom, qui marqua son entrée à l'Académie des Beaux-Arts à Paris en octobre 2021. Le corps, son propre corps, celui de son épouse et muse Elke, sont depuis toujours au cœur de son questionnement d'artiste, en sept décennies de pratique acharnée, et délivrent aujourd'hui un témoignage magnifique de ce qu'est un peintre. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour Ein Bein von Manet aus Paris (« Une jambe de Manet à Paris ») présente le fruit de son travail, de son labeur aurait-on envie de dire, au cours de l'année écoulée. C'est démesuré et…
Le Figaro
14 minutes ago
- Le Figaro
Compositrice admirée, troisième femme admise au Prix de Rome... Jeanne Leleu sort de l'oubli au Festival de Saint-Céré
Réservé aux abonnés Le festival, qui s'ouvre cette semaine, mettra à l'honneur entre autres pépites cette compositrice redécouverte il y a à peine quelques mois, à qui Ravel dédia son Prélude en 1913. Elle fut sans conteste l'une des plus passionnantes redécouvertes de la Cité des compositrices la saison dernière. Disparue il y a à peine quarante-cinq ans, Jeanne Leleu n'a laissé que très peu de traces dans l'histoire officielle de la musique française. Les spécialistes de Ravel se souviendront que c'est à elle que le compositeur dédia son Prélude, en 1913. L'adolescente venait juste d'en livrer une mémorable lecture lors de son examen de sortie du conservatoire de Paris. Une dédicace accompagnée de ces quelques lignes éloquentes : « C'est bien peu de chose, le souvenir d'un artiste que vos qualités musicales ont sincèrement touché. » À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour La jeune élève de Marguerite Long et Alfred Cortot n'était certes pas une totale inconnue pour l'auteur du Boléro. Trois ans plus tôt, c'est elle qui, du haut de ses 10 ans (et accompagnée d'une pianiste plus jeune encore) donnait, Salle Gaveau, la première audition de Ma Mère l'Oye du même compositeur. À lire aussi Maurice Ravel, en toute confidence dans une riche correspondance Sens mélodique d'un grand raffinement Il serait toutefois injuste de réduire l'héritage…
Le Parisien
44 minutes ago
- Le Parisien
« Ça m'affectait profondément » : Jarry explique pourquoi il a quitté la présentation de « Tout le monde veut prendre sa place »
En annonçant quitter « Tout le monde veut prendre place » sur France 2 en avril 2024, Jarry avait surpris tout le monde. « J'ai adoré l'exercice, j'ai adoré les équipes, je remercie encore France 2 de cette super opportunité », avait-il déclaré sur Instagram, à peine un an après avoir succédé à Laurence Boccolini à la tête du jeu de la 2. Parmi les causes de ce départ précipité, une tournée des zéniths qui nécessitait « beaucoup d'énergie ». Mais les raisons pourraient être plus profondes. « C'était une émission super mais qui ne m'amusait plus à la fin. Je vivais très mal que des gens perdent six fois par jour. Ça m'affectait profondément », confie l'humoriste à TV Mag en marge du Festival « Juste pour Rire » qui se tient à Montréal et sera diffusé à la rentrée sur Prime Video . Et d'ajouter : « Les trois premières semaines de tournage, je pleurais systématiquement à la fin de chaque émission. Et puis, je suis un hyperactif donc dès que j'ai senti que la mécanique était bien maîtrisée, je tombais dans une routine. » Si l'expérience a été assez mal vécue par l'animateur, elle ne l'a pas dégoûté de la télévision pour autant. Début juillet, Ara Aprikian, le numéro 2 du groupe de TF 1, nous confirmait le retour de Jarry sur la première chaîne. D'abord dans une fiction, et surtout à la tête d'un nouveau jeu télé, « The Imposter », une adaptation d'un quiz de plateau anglais en prime time. « J'ai dit que je prenais un an de pause après Tout le monde veut prendre sa place mais j'y retourne parce que ça me manque, explique-t-il encore à nos confrères. Je n'ai pas l'impression d'avoir apporté à la télé ce que je me sentais capable d'apporter. » L'homme pour qui « la télé est encore profondément rectangulaire » espère bien « réussir à l'arrondir un tout petit peu », affirmant avoir désormais l'énergie pour cela.
