
Après l'incendie de sa scène principale, le festival Tomorrowland connaît un nouveau drame
Publié aujourd'hui à 13h06
C'est un nouveau drame sur le site du festival, dont la scène principale a été détruite par les flammes cette semaine.
AFP
Les autorités belges ont annoncé samedi avoir ouvert une enquête après le décès d'une Canadienne tombée malade lors de Tomorrowland , l'un des plus grands festivals de musique électronique au monde.
Le parquet d'Anvers a indiqué qu'il cherchait à déterminer les causes du décès de cette femme de 35 ans, qui faisait partie des dizaines de milliers de festivaliers présents lors de la soirée d'ouverture vendredi.
La femme a fait un malaise au cours du festival qui se tient à Boom, près d'Anvers, et a été transportée à l'hôpital, où son décès a été constaté, a précisé une porte-parole du parquet d'Anvers à l'AFP.
Rassemblant des dizaines d'artistes, dont David Guetta, Lost Frequencies et Charlotte de Witte, Tomorrowland attire des passionnés de musique électronique du monde entier. Environ 400'000 personnes sont attendues sur les deux week-ends du festival.
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La tenue du festival a été remise en question cette semaine après qu'un incendie a détruit sa scène principale, mais les organisateurs ont rapidement mis en place une «configuration alternative» et l'événement a pu se tenir comme prévu.
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En 2023, Odezenne s'était essayé à l'acoustique avec «Unplugged», un album revisitant son propre répertoire version débranchée. La formation bordelaise a retrouvé la prise ce printemps avec «DOULA (des couloirs des portières)», un septième opus où le spleen le dispute au cynisme, entre cloud rap et electro. Nul doute que des titres comme «Houston» ou «Aïe aïe aïe» sauront trouver le chemin des oreilles des festivaliers broyards le mercredi. Odezenne jouera mercredi 30 juillet à 22 h sur la scène du lac. L.E.J, le mercredi 30 juillet À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. «Parano»: c'est le titre du nouveau single de L.E.J, sorti la semaine dernière. Et d'autres suivront sans doute avec la sortie de l'album «S'aimer c'est une galère», prévue le 6 octobre. En attendant, Lucie, Elisa et Juliette passent leur été sur la route, dix après la publication sur YouTube de «Summer 2015», un mashup qui leur avait ouvert les portes de la célébrité. En 2017, elles avaient remporté le prix Révélation scène aux Victoires de la musique. L.E.J se produira le mercredi 30 juillet à 18 h sur la grande scène. Marc Lavoine, le jeudi 31 juillet À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. En octobre dernier, Marc Lavoine sortait «Revolver», album au fil duquel le chanteur français donnait à réentendre ses chansons les plus connues en version electro-symphonique. Comprendre avec un orchestre symphonique et des arrangements electros. À Bagnols-sur-Cèze (Gard) le 12 juillet dernier, c'était avec l'orchestre de Lyon Confluences. À Estavayer-le-Lac, l'ex-juge de «The Voice» sera accompagné par l'Orchestre de chambre de Fribourg. Marc Lavoine sera jeudi 31 juillet à 18 h 05 sur la grande scène. Sens Unik, le vendredi 1ᵉʳ août À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. «Même si nous ne sommes pas montés ensemble sur scène depuis longtemps, on ne revient pas pour faire les guignols.» Ainsi parlait Carlos Leal au moment d'annoncer le retour sur scène de Sens Unik en mars dernier sur notre site. Le concert à l'Estivale sera ainsi le deuxième en quinze ans pour le groupe lausannois, un jour après le baptême du feu au festival Bierhübeli. Un beau retour dans les Nineties en perspective. Sens Unik se produira le vendredi 1er août à 18 h 30 sur la grande scène. Vald, le samedi 2 août À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. On ne présente plus Vald, de son vrai nom Valentin Le Du. Après près de trois ans de silence, le rappeur français faisait son retour en mars dernier avec «Pandemonium». L'album a enregistré le meilleur démarrage de l'année sur Spotify avec 3,35 millions de streams en vingt-quatre heures. C'est désormais en festival qu'il défend ses nouveaux textes, une plongée dans son enfer personnel à la fois féroce et bourrée d'une vulnérabilité assumée. Vald se produira le samedi 2 août à 23 h 10 sur la grande scène. D'autres actus en lien avec l'Estivale Lea Gloor est journaliste au sein de la cellule digitale depuis février 2025. Elle est titulaire d'un Master en journalisme de l'Université de Neuchâtel depuis 2014. Plus d'infos @LeaGloor Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


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Que pensent les journalistes étrangers du Paléo?
Accueil | Culture | Festivals | Paléo intéresse loin à la ronde. Revue de presse étrangère et interview du Français Jean-Jacques Toux, programmateur des Vieilles Charrues, en visite à Nyon ce week-end. Publié aujourd'hui à 10h57 Sous la tente du service presse du Paléo, les articles publiés par les médias suisses ou étrangers sont récoltés et affichés par l'équipe de communication du festival. DR En bref: Il a bien grandi notre petit festival folk. Au point d'attirer chaque année plusieurs dizaines de journalistes et autres professionnels des médias, en partie issus de Suisse alémanique ou de la presse française ou internationale. Pas forcément une volonté en soi du Paléo, qui explique ne pas avoir une volonté stratégique de se faire connaître hors du territoire, quoique soignant des occasions d'apparaître, d'ici aux prochaines éditions, dans les recherches des agents internationaux à l'heure d'organiser les tournées de leurs poussins. Ils seront contents. Paléo dispose véritablement d'un regard bienveillant, un tout cas à en juger par les premières parutions à l'étranger, hors des médias spécialisés, notamment anglo-saxons, qui ont annoncé et détaillé la programmation depuis ce printemps . «Le Figaro» s'est entiché pour le festival nyonnais. «L'un des plus grands rendez-vous musicaux d'Europe, lit-on chez nos confrères , les artistes français y occupent une place de choix, confirmant l'attachement de la manifestation à la scène tricolore.» Cocorico. De quoi décrocher un reportage mardi sur l'Asse, qui retient l'aspect engagé de cette édition décidément marquée par la Palestine – aspect également relevé par une web-radio parisienne – mais également… le célèbre sandwich au magret de canard du stand de l'École de musique de Rolle, remplacé par une solution végétarienne. Le programme du Village du Monde a également intéressé plusieurs confrères nord-africains. Comme «Le Matin» du Maroc qui avait déjà annoncé en détail le menu, mettant en avant le renouveau de la scène musicale méditerranéenne, comme ElGrande Toto et Sami Galbi. Un festival «sans excès» Une série d'articles cette année également dans la presse brésilienne , qui s'intéressait à l'impact économique local d'un festival, Paléo, «à Nyon, petite ville de Suisse», étant cité comme «l'un des plus importants d'Europe». Nos confrères ont suivi plusieurs bénévoles brésiliens, qui soulignent l'accueil, la durabilité, «les activités créatives et stimulantes, sans excès» du festival. 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On s'appelle, pas que lui, toute l'équipe, presque chaque semaine pour croiser les informations. Ce type de contacts, c'est plus important aujourd'hui, face à la hausse des coûts de production? Disons que ça a toujours été important. Quel artiste est en tournée européenne en juillet, qui on a repéré et qui pourrait intéresser l'autre, sur qui on a fait une offre… ça permet de renforcer ces dix jours (ndlr.: les deux manifestations se succèdent) dans le calendrier d'une tournée. On arrive potentiellement à avoir des artistes pour qui on est en concurrence avec des géants américains ou européens. L'autre avantage étant que nous travaillons exclusivement avec des agents français, Paléo est plus tourné vers les Anglais. Cela permet aussi de savoir qui a demandé quoi et combien, voire de s'aligner. On est séparés de 1200 kilomètres, nous n'avons rien de concurrent, au contraire. C'est ça, la solution pour éviter l'explosion des cachets? Pas vraiment, dans le sens où la France a déjà la réputation de payer le moins bien les artistes. On parvient parfois par savoir par un autre agent qu'un artiste a reçu un cachet au double du nôtre en Espagne ou en Pologne: en face de nous de nouveau un énorme festival peut se permettre un billet d'entrée à 100 euros la journée. Nous, on tient à rester à 55 € et on ne veut pas augmenter. Alors que disposer de têtes d'affiche reste indispensable… On est en Centre-Bretagne, dans une toute petite ville de 7500 habitants. Le public vient majoritairement pour des têtes d'affiche, c'est comme ça. La différence avec nos cousins du Paléo, qu'on regarde avec un peu de jalousie à ce niveau, c'est qu'on n'est pas sold out des semaines à l'avance. Le Covid a clairement mis fin à plusieurs belles années en ce qui nous concerne. Julien Doré, Mackelmore, Zaho de Sagazan… Votre grille ressemble par ailleurs furieusement à celle du Paléo… Oui, et on s'est fait étriquer pour ça, même si ce sont des artistes que l'on suit depuis longtemps et qu'on accompagne dans leur carrière. Mais ce qu'on fait c'est écouter ce que disent les festivaliers et festivalières. Si les mêmes artistes se retrouvent partout, ce qu'on lit dans la presse, c'est que le public a envie de les voir. Et il vient, c'est la meilleure réponse. Hausse des prix – vous parliez d'une hausse de 30% des coûts de production en un an –, concurrence européenne, perte de vitesse de la billetterie… il y a de quoi se demander si on veut rester indépendant, non? C'est hors de question. Beaucoup de festivals se font racheter, mais nous, notre ADN est 100% associative et on ne va pas la changer. Notre pierre angulaire, c'est 7500 bénévoles. On ne va pas trouver d'autres valeurs que celles-ci. 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