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L'Impériale annonce un bénéfice de 949 millions

L'Impériale annonce un bénéfice de 949 millions

La Presse5 days ago
(Calgary) L'Impériale a déclaré un bénéfice net de 949 millions au deuxième trimestre, en baisse par rapport à 1,13 milliard un an plus tôt.
La Presse Canadienne
Le bénéfice par action s'est élevé à 1,86 $ sur une base diluée, ce qui représente une diminution par rapport à 2,11 $ pour la même période l'an dernier.
La compagnie pétrolière de Calgary a annoncé un chiffre d'affaires total et autres revenus de 11,23 milliards au cours du trimestre, en baisse par rapport aux 13,38 milliards du même trimestre l'an dernier.
La société a indiqué que sa production en amont a atteint 427 000 barils d'équivalent pétrole brut par jour, ce qui en fait la production la plus élevée du deuxième trimestre depuis plus de 30 ans.
Le débit moyen des raffineries s'est établi à 376 000 barils par jour au cours du trimestre, en baisse par rapport aux 387 000 barils par jour un an plus tôt.
Le président-directeur général de l'Impériale, John Whelan, a mentionné que la société avait réalisé son trimestre de redressement planifié le plus important, tant pour ses activités en amont qu'en aval.
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La SAAQ paiera à Karl Malenfant jusqu'à 125 000 $ en frais d'avocat
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La SAAQ paiera à Karl Malenfant jusqu'à 125 000 $ en frais d'avocat

La Société de l'assurance automobile du Québec paiera jusqu'à 125 000 $ des frais d'avocat de son ancien vice-président à l'expérience numérique Karl Malenfant dans le cadre de la commission Gallant. L'ancien haut dirigeant, qui a piloté les travaux de développement du système SAAQclic, demandait encore plus d'argent, mais il vient d'être débouté par un tribunal, qui refuse d'ordonner la couverture complète de ses frais. L'histoire jusqu'ici Avril 2025 : Les audiences publiques de la commission Gallant s'amorcent et des témoignages remettent en question la gestion de l'ancien responsable de la transformation numérique à la SAAQ, Karl Malenfant. : Les audiences publiques de la commission Gallant s'amorcent et des témoignages remettent en question la gestion de l'ancien responsable de la transformation numérique à la SAAQ, Karl Malenfant. Juillet 2025 : La Commission refuse le statut de participant à M. Malenfant. Il pourra témoigner à titre de témoin cet automne, un statut qui ne lui permettra pas de contre-interroger d'autres participants. : La Commission refuse le statut de participant à M. Malenfant. Il pourra témoigner à titre de témoin cet automne, un statut qui ne lui permettra pas de contre-interroger d'autres participants. Août 2025 : Le commissaire contraint M. Malenfant à participer à une audience à huis clos pour répondre aux questions d'enquêteurs. L'ancien dirigeant demande que cette rencontre soit publique, demande que rejette le juge Gallant. Karl Malenfant avait déposé un recours le 14 juillet devant la Commission de la fonction publique (CFP), un tribunal administratif qui tranche les litiges entre les fonctionnaires non syndiqués et le gouvernement. Il demandait que la Société de l'assurance automobile du Québec (SAAQ) paie l'ensemble de ses frais juridiques dans le cadre de la commission Gallant, chargée de faire la lumière sur le fiasco SAAQclic. Or, la CFP « juge qu'elle n'a pas compétence pour entendre le recours de M. Malenfant puisqu'à titre de vice‑président de la SAAQ, il ne détenait pas le statut de fonctionnaire ». Selon la Loi sur la fonction publique, les frais d'avocat d'un fonctionnaire peuvent être remboursés s'il est « poursuivi en justice par un tiers ou est appelé à comparaître à l'occasion d'une enquête ou d'une préenquête judiciaire ou quasi judiciaire par suite d'actes ou de gestes professionnels posés dans l'exercice de ses fonctions ». Mais Karl Malenfant n'était pas un fonctionnaire au sens de la loi. Il a été nommé vice-président en vertu de la Loi sur la Société de l'assurance automobile du Québec, et non en vertu de la Loi sur la fonction publique. Ainsi, la CFP « n'a pas compétence pour statuer sur le recours de M. Karl Malenfant ». Mardi, il a dû répondre aux questions d'enquêteurs devant le commissaire Denis Gallant, dans le cadre d'une rencontre à huis clos, après avoir été cité à comparaître. Le même jour, il a publié un texte sur le réseau social LinkedIn, où il réitérait ses doutes quant au travail de la Commission. « En suivant attentivement les audiences de la commission, j'ai constaté que l'on construisait un narratif qui ne correspondait pas à la réalité de l'histoire SAAQ », écrivait-il, précisant préférer une audience publique afin de défendre sa réputation. Le 1er août, Denis Gallant maintenait sa citation à comparaître pour l'interrogatoire à huis clos. Le commissaire soulignait alors que Karl Malenfant aurait bel et bien l'occasion de faire valoir son point de vue publiquement. L'ancien dirigeant doit comparaître à l'occasion d'audiences prévues entre le 15 septembre et le 3 octobre.

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Air Canada transforme son programme Aéroplan
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Air Canada transforme son programme Aéroplan

À compter du 1er janvier 2026, Air Canada change la manière d'accumuler des points Aéroplan et d'atteindre le statut Élite, en misant sur les dépenses des voyageurs plutôt que sur les distances parcourues. « Ce sont beaucoup de changements d'un coup, avec beaucoup de petites lignes », indique Marie-Ève Leclerc, directrice du contenu web de Milesopedia, un média montréalais spécialisé dans les cartes de crédits et de récompenses. Un premier changement concerne l'accumulation de points. À compter du 1er janvier 2026, les voyageurs membres d'Aéroplan ne les accumuleront plus en fonction de la distance parcourue, mais plutôt selon les dépenses effectuées sur les vols admissibles. Les conditions d'obtention du statut Aéroplan Élite, qui permet d'accéder à divers privilèges, seront également modifiées. Auparavant, pour atteindre ce statut, on pouvait accumuler des points spéciaux (MQS, SQS, DQS) lors de chaque vol selon la distance parcourue, le nombre d'escales et le prix du billet d'avion, à condition de voyager en classe Standard ou plus. À cela s'ajoutait la qualification quotidienne à un statut (QQS), où l'utilisation d'une carte de crédit Aéroplan, les achats dans l'eBoutique ou auprès de divers partenaires permettaient de décrocher plus rapidement le statut Élite. Dorénavant, ce sera à travers un nouveau système de Crédits de Qualification à un Statut (CQS) que les voyageurs pourront accumuler des crédits pour atteindre ce statut. « C'est un modèle qui est plus axé sur les dépenses reliées à Air Canada », indique Marie-Ève Leclerc. Autrement dit, exit les distances et les escales : seuls le prix du billet et les dépenses annexes compteront pour décrocher ce statut. Et ce sont les personnes voyageant en classe affaires qui décrocheront le gros lot. Selon les calculs réalisés par Milesopedia, en se basant uniquement sur des dépenses faites sur des vols, il faudra débourser pas moins de 12 500 $ en tarif Standard, ou 6250 $ en tarif Flex ou plus, pour accéder au statut Élite Aéroplan 25K. Et les personnes voyageant en tarif Économique de base, quant à elles, ne gagneront aucun crédit sur leur vol. « Pour ceux qui voyagent en classe économique de base, ça va être extrêmement difficile, voire impossible, d'obtenir le statut Élite », résume Marie-Ève Leclerc. Selon les habitudes des voyageurs, cela pourrait donc représenter un gros changement pour certains. De son côté, l'entreprise affirme que ces changements visent à mieux reconnaître les membres Aéroplan qui dépensent et voyagent davantage avec Air Canada et qui participent activement au programme, tout en préservant le « cachet » d'Aéroplan Élite. « Nos membres les plus actifs ne se contentent pas de voyager avec nous : ils accumulent des points auprès de nos partenaires, choisissent des tarifs flexibles et utilisent des cartes de crédit Aéroplan. Ces changements nous permettent de mieux reconnaître leur fidélité et d'améliorer l'expérience du programme », a souligné par communiqué Scott O'Leary, vice-président pour la fidélité et les produits chez Air Canada. Cette annonce intervient alors qu'une majorité écrasante d'agents de bord d'Air Canada a voté en faveur d'un mandat de grève, mardi. Lisez l'article « Air Canada : une majorité d'agents de bord votent en faveur d'un mandat de grève » Avec La Presse Canadienne

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