Football - Matches amicaux : Aston Villa finit sur une bonne note
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Le Parisien
3 hours ago
- Le Parisien
Mort de Diego Jota : le très beau geste de Chelsea à la famille du joueur de Liverpool et à son frère
La classe, avec un C majuscule. Chelsea, qui a empoché plus de 98 millions d'euros après sa victoire en Coupe du monde des Clubs contre le PSG (3-0), a choisi de transformer une partie de ce succès en geste de solidarité. Le club londonien va ainsi verser plus de 15 millions d'euros, soit environ 500 000 € par joueur, aux familles de Diogo Jota et Andre Silva, tragiquement décédés dans un accident de voiture en Espagne le 3 juillet dernier. Cette décision, annoncée par The Athletic, a été prise conjointement par les joueurs et la direction du club, confirmant leur volonté commune de rendre hommage aux deux footballeurs disparus. Elle s'inscrit dans la lignée des hommages rendus par Liverpool et Wolverhampton, témoignant d'une mobilisation touchante dans le monde du football anglais. Chelsea will use a portion of Club World Cup bonuses paid to players to make a financial donation to the family of Diogo Jota and Andre Silva.#CFC | #LFC More from @MarioCortegana and @AdamCrafton_ ⬇️ — The Athletic | Football (@TheAthleticFC) August 14, 2025


L'Équipe
4 hours ago
- L'Équipe
Après deux ans sans jouer à cause d'une blessure, Gerard Delofeu croit encore à un retour sur les terrains
Éloigné des terrains depuis 2023 à cause d'une grave blessure à un genou, Gerard Deulofeu a confié en marge de la Supercoupe d'Europe mercredi toujours croire à un retour. L'Espagnol se voit même revenir dans son dernier club. Gerard Deulofeu espère toujours reprendre le fil de sa carrière. Gravement blessé à un genou et éloigné des terrains depuis plus de deux ans - il n'a pas joué depuis le 22 janvier 2023 lors d'un match de Serie A contre la Sampdoria, l'Espagnol a confié mercredi se remettre doucement en condition pour revenir sur les terrains. « Je vais de mieux en mieux, mais c'est très lent. Le cartilage de mon genou se régénère lentement. J'ai déjà essayé de jouer deux ou trois fois, mais je ne me sens pas totalement prêt. On verra si je rejoue mais je suis encore jeune », a-t-il expliqué à « Sky Sports » en marge de la Supercoupe d'Europe, remportée par le PSG aux tirs au but. Ancien espoir du FC Barcelone, Delofeu (31 ans) évoluait à l'Udinese avant de se blesser gravement au genou. Sans contrat depuis la mi-janvier, il se verrait pourtant revenir dans le club du Frioul si son physique le lui permet. « Il est certain que si je rejoue, c'est avec l'Udinese. Je suis quelqu'un d'émotif et avec beaucoup de passion. Et quand tu vois que des fans te donnent cet amour et ce soutien, je ne vois pas d'autres options qu'y revenir si je rejoue », a-t-il avancé. Lors de sa dernière saison complète avec l'Udinese (2021-2022), Deulofeu a inscrit 13 buts et délivré 5 passes décisives en 34 matches de Serie A.

L'Équipe
6 hours ago
- L'Équipe
« L'un des meilleurs matches que j'ai dirigés » : Vicente Del Bosque revit Espagne-Italie, la finale de l'Euro 2012
Vicente Del Bosque, l'ancien sélectionneur de l'Espagne, décrypte la claque infligée par sa Roja à l'Italie en finale de l'Euro 2012, dernier épisode d'une formidable trilogie, après les succès espagnols à l'Euro 2008 et au Mondial 2010. À 74 ans, la passion demeure intacte. L'APPROCHE DE LA COMPETITION « Iker Casillas et Xavi ont fait un pas l'un vers l'autre » « Certes on venait de gagner la Coupe du monde, deux ans après l'Euro remporté sous les ordres de Luis Aragonés, mais on avait injecté pas mal de sang neuf dans le groupe pour rester compétitif et le maintenir en haleine. Entre 2008 et 2012, la moitié de l'effectif a été renouvelée (10 joueurs sur 23), avec de jeunes éléments tels que Juan Mata ou Javi Martinez. Gérer le succès est toujours plus délicat que de gérer l'échec, cela peut être dangereux. D'ailleurs, je me souviens, lorsque j'ai pris l'équipe en main en 2008 après la victoire à l'Euro, les gens dans la rue me disaient que c'était le pire moment pour devenir sélectionneur, comme si l'Espagne était en crise ! Nous avions un groupe d'excellents joueurs, un système de jeu bien huilé et ce brin de chance propre aux grandes équipes, malgré deux forfaits majeurs : celui de Carles Puyol, notre leader de vestiaire, et de David Villa, notre buteur. Les mois précédents, il y avait eu une série de matches tendus entre le Barça et le Real et cela a perturbé le groupe, même si les turbulences venaient principalement de l'extérieur. Ce n'était agréable pour personne, que - et je donne juste un exemple - un joueur comme Alvaro Arbeloa puisse avoir un mauvais geste envers Sergio Busquets lors d'un Clasico, ou l'inverse. Si votre vestiaire est divisé, c'est très difficile de gagner. Il y a donc eu des discussions pour apaiser la situation et nous en sommes sortis renforcés, notamment car Iker Casillas, l'un des leaders du Real Madrid, et Xavi, le capitaine du FC Barcelone, ont fait un pas l'un vers l'autre. Ils ont même reçu le prix Prince des Asturies cette année-là, très reconnu en Espagne, pour avoir agi en faveur de l'union du vestiaire. Je me souviens aussi avoir dit à Sergio Ramos et Gerard Piqué, nos deux défenseurs centraux, que s'ils se comportaient bien tous les deux, nous serions champions. C'est amusant car devant eux il y avait une autre paire Real-Barça, avec Busquets et Xabi Alonso, qui étaient aussi très complémentaires. » LE PLAN DE JEU « Fabregas en faux 9 pour gêner la relance de Pirlo » « Lors de notre entrée dans la compétition en phase de groupes, l'Italie nous a dominés (1-1). Honnêtement, je pense qu'ils auraient mérité de gagner, même si nous avons miraculeusement égalisé. Le joueur adverse qui me préoccupait le plus, c'était Andrea Pirlo, le métronome de cette équipe. J'ai donc décidé de jouer à chaque fois contre eux avec Fabregas en faux 9, pour gêner sa relance. Tout le monde disait qu'on jouait avec six milieux, sans attaquant, mais si vous regardez l'équipe, hormis les centraux - et encore ! - et Alvaro Arbeloa, tous les autres étaient des joueurs portés vers l'avant. Jordi Alba, qui n'était pas là au Mondial 2010, a joué un rôle vital côté gauche. Devant, Fabregas, Silva et Iniesta permutaient en permanence, avec intelligence. Les gens pensaient qu'on ne pouvait pas jouer sans 9, comme on ne peut pas jouer sans gardien, mais je savais que Fabregas était capable de nous faire marquer. Vous remarquerez que nous avons marqué quatre buts le jour où nous avons joué avec seulement des milieux, sans vrai attaquant ! Aujourd'hui, l'Espagne possède deux joueurs offensifs qui ont des caractéristiques totalement différentes, avec Nico Williams et Lamine Yamal, qui aiment tous deux déborder sur les ailes. À l'époque, nous avions des joueurs avec d'autres qualités, alors nous les avons exploitées. » LA PREMIERE PERIODE « J'avais dit à Jordi Alba qu'il serait l'un de nos joueurs clés » « Mes joueurs aimaient être en contact avec le ballon, avoir la possession la plupart du temps, on s'est donc attachés à cela d'entrée. Sur le premier but, on fait circuler le ballon au milieu et, tout à coup, il y a un changement de rythme, avec l'appel en profondeur de Fabregas et ce ballon donné par Iniesta sur le côté droit, dans le dos de la défense. Ensuite, Fabregas trouve Silva en retrait, qui, avec un coup de tête précis et un peu de chance, ouvre le score (14e). Après ce but, je suis resté debout. Je savais que cet avantage ne serait pas facile à conserver, car ils nous avaient posé des problèmes lors du premier match. Tactique : l'Espagne, le sacre de l'implication collective, du mouvement et de l'ambition Je ne dis pas que nous avions peur, mais nous éprouvions beaucoup de respect pour cette équipe. Ils nous ont d'ailleurs dominés pendant quelques minutes après ce premier but. Avant le tournoi, j'avais dit à Jordi Alba qu'il serait l'un de nos joueurs clés. Et il en a été ainsi. Sur le second but (41e), Xavi l'a vu débouler à toute vitesse devant lui et lui a glissé le ballon à la suite d'une relance longue de Casillas. Ce n'était pas forcément une action typique de notre jeu, mais c'est quelque chose qu'on l'a ensuite vu réaliser à de nombreuses reprises, avec le Barça et en sélection. Xavi bénéficiait de beaucoup de liberté au milieu, par rapport à ses camarades Xabi Alonso et Sergio Busquets, qui avaient des positions plus déterminées. C'était important qu'il se sente à l'aise, qu'il puisse toucher souvent le ballon, comme il aimait le faire. » LA MI-TEMPS « Ne pas se fier aux deux buts d'avance » « Selon moi, les discours dans le vestiaire devraient toujours être courts et très ciblés. Je me souviens avoir insisté sur les qualités des Italiens et avoir dit à mes joueurs de ne pas se fier aux deux buts d'avance. Le 2-0 est un score "dangereux", car vous pouvez vous dire que c'est fait. Or, si l'autre équipe marque, cela peut constituer un choc émotionnel car elle n'est plus qu'à un but. Je voulais à tout prix éviter cela et qu'on puisse douter. Je leur ai donc dit que nous avions le match en main, mais surtout que nous devions continuer dans cette voie et ne pas nous relâcher. Je ne suis pas forcément favorable à ce qu'un joueur prenne la parole à ce moment-là. En revanche, je n'ai aucun problème à ce qu'ils me fassent des retours, par rapport à leurs sensations sur le terrain. C'est une bonne chose qu'ils le fassent et ce n'est pas un signe de faiblesse de l'entraîneur de demander à ses joueurs s'ils voient quelque chose qui ne colle pas avec son discours, s'ils ont une suggestion pour améliorer un aspect du jeu. » LA SECONDE PERIODE « Casillas a demandé à l'arbitre de ne pas jouer les arrêts de jeu » « Comme on dit, pour attaquer, il faut ouvrir le terrain et pour défendre, il faut le réduire, non ? Je crois qu'on a parfaitement maîtrisé cela. À 2-0, le match n'était pas fini, mais il était en bonne voie pour nous. Les Italiens montraient de l'envie, mais ils n'avaient plus l'énergie nécessaire pour en faire davantage. Pour leur défense, je tiens à rappeler qu'ils avaient bénéficié d'une journée de repos en moins. C'était une équipe émoussée physiquement, nous étions clairement plus frais. Ils ont perdu Giorgio Chiellini en première mi-temps, Antonio Cassano était diminué, tandis que Thiago Motta, blessé, a dû sortir quatre minutes après son entrée en jeu (61e, l'Italie, qui avait utilisé ses trois remplaçants, a fini à dix)... J'ai décidé de faire mes changements petit à petit. Il était logique que les quatre défenseurs continuent. J'aurais pu faire entrer un défenseur, mais comme ils étaient à dix et que nous étions dans une bonne dynamique, j'ai préféré changer mes hommes de devant. La passe de Xavi pour Fernando Torres, sur le troisième but, c'est plus qu'une passe décisive, c'était du caviar ! Après, il y a ce dernier but de Juan Mata, servi par Fernando Torres. Cette action illustre à la perfection ce que nous avons réalisé avec ce groupe. Tout le monde n'a pas eu le même temps de jeu, mais tous avaient un rôle à jouer dans cette quête du titre, même ceux qui participaient moins. Tout le monde se sentait utile. C'est l'un des meilleurs matches que j'ai dirigés, un sommet au niveau du jeu. À la fin, de manière très fair-play, Iker (Casillas) a demandé à l'arbitre de ne pas jouer les arrêts de jeu, par respect pour les Italiens." L'IMAGE QUI RESTE « Le Roi Juan Carlos m'a appelé dans le vestiaire pour me féliciter » « Si je ne devais en retenir qu'une, ce serait Jordi Alba et ses courses fulgurantes. Joan Capdevila était un latéral gauche extraordinaire, mais après 2010, il a fallu lui trouver un remplaçant et on ne pouvait pas mieux tomber que sur Jordi. Unai Emery l'avait bien préparé à Valence. Au coup de sifflet final, la première chose qui m'est venue à l'esprit, c'est qu'on avait gagné trois grandes compétitions d'affilée. J'ai eu une pensée pour l'équipe d'Espagne qui avait décroché le premier titre européen en 1964, lorsque j'étais adolescent (il est né en 1950). Le roi Juan Carlos m'a appelé dans le vestiaire pour me féliciter. Il était très heureux. C'était un succès sportif mais aussi la preuve que nous pouvions gagner en équipe, avec des joueurs originaires de toute l'Espagne. J'ai aussi pensé à tous les Espagnols, sans doute heureux de ce nouvel exploit. Pas seulement de notre victoire mais aussi de la manière et de notre comportement sur le terrain. Au cours de mon cycle à la tête de la sélection, durant lequel j'ai dirigé 114 matches (87 victoires, 10 nuls, 17 défaites) si je ne me trompe pas, nous n'avons eu qu'un joueur expulsé : Gerard Piqué, en fin de rencontre face au Brésil (0-3), lors de la Coupe des Confédérations 2013. Et pas à la suite d'un geste violent mais sur une faute qui trahissait un sentiment d'impuissance. Après ce sacre à l'Euro, on s'est demandé comment on pouvait régénérer ce groupe, mais le "problème" qu'on a eu, en quelque sorte, c'est que tous évoluaient alors dans les meilleurs clubs du monde. Comment vouliez-vous les écarter ? Après notre élimination au premier tour à la Coupe du monde 2014 (défaites contre les Pays-Bas, 1-5, et le Chili, 0-2), certains ont dit qu'il aurait fallu renouveler l'équipe, mais à ce moment-là les joueurs que nous avions choisis étaient les meilleurs. »