logo
Tour de France : «Sur le vélo, j'étais à fond», Lenny Martinez revient sur l'épisode du «bidon collé» et s'excuse

Tour de France : «Sur le vélo, j'étais à fond», Lenny Martinez revient sur l'épisode du «bidon collé» et s'excuse

Le Figaro2 days ago
Ce samedi au micro d'Eurosport, le Français Lenny Martinez a exprimé des regrets après au sujet de la polémique du « bidon collé » survenue lors de la 18e étape.
Le mea culpa de Lenny Martinez. Au micro d'Eurosport ce samedi, le grimpeur français est revenu sans concession sur l'épisode du «bidon collé», lors de la 18e étape du Tour de France. Pour rappel, le coureur de la formation Bahrain Victorious avait utilisé cette technique interdite dans l'ascension du col du Glandon, à savoir rester accroché trop longtemps au bidon tendu par la voiture de son équipe pour se faire tracter et ainsi faciliter son effort dans la montée.
À découvrir Le classement du Tour de France
«J'ai vu que ça a fait beaucoup de bruit. Je suis désolé, je ne voulais vraiment pas tricher. Je comprends que les gens se soient énervés. Quand j'ai revu les images... je me suis moi-même dit : "Quand même...", mais sur le vélo, j'étais à fond», a-t-il confié à nos confrères. Martinez précise qu'il s'agissait aussi d'une erreur de communication et d'une mésentente avec son directeur sportif.
Publicité
Pinot mécontent
Un geste lourd de conséquences puisque le coureur de 23 ans avait écopé d'une amende de 200 francs suisses pour son «bidon collé» et une deuxième, toujours de 200 CHF, pour une «rétro-poussée sur voiture». Avec, en plus, 10 secondes de pénalité au classement général ainsi qu'un retrait de 15 points UCI et de 8 points au classement de la montagne.
Sur le réseau social X, l'ancien cycliste français Thibaut Pinot s'était même indigné de cette action, postant en commentaire un émoji qui vomit.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Transferts : nouvelle offre de Toulouse pour Maximilian Arfsten (Columbus Crew)
Transferts : nouvelle offre de Toulouse pour Maximilian Arfsten (Columbus Crew)

L'Équipe

time27 minutes ago

  • L'Équipe

Transferts : nouvelle offre de Toulouse pour Maximilian Arfsten (Columbus Crew)

Après avoir refusé une première offre au mois de juin, Columbus en a reçu une nouvelle de Toulouse pour Maximilian Arfsten. Mais le TFC n'est pas seul sur les rangs. La première approche n'avait pas été concluante. Mais après avoir pris du recul, Toulouse a réactivé le dossier. Toujours intéressé par le profil polyvalent de Maximilian Arfsten, le TFC a formulé une nouvelle offre au Columbus Crew. Inférieure à un million d'euros, la première avait été aussitôt repoussée, comme révélé le 4 juin. La dernière proposition en date serait proche du double, de sources américaines. Le latéral gauche (24 ans), capable d'évoluer plus haut sur le terrain, s'est récemment mis en valeur lors de la Gold Cup avec les États-Unis. Au point d'attirer aussi l'attention de formations anglaises. D'autres offres sont ainsi parvenues au club de MLS, qui s'est résolu à laisser partir son international (10 sélections), sous contrat jusqu'en 2027. Reste à savoir quelle destination Arfsten va choisir.

Grosses contusions et protocole commotion pour Demi Vollering après sa chute sur le Tour de France 2025
Grosses contusions et protocole commotion pour Demi Vollering après sa chute sur le Tour de France 2025

L'Équipe

time27 minutes ago

  • L'Équipe

Grosses contusions et protocole commotion pour Demi Vollering après sa chute sur le Tour de France 2025

La Néerlandaise Demi Vollering (FDJ-Suez) qui a chuté lundi lors de la 3e étape du Tour de France femmes avec Zwift, passera un nouvel examen mardi matin pour juger de sa capacité à prendre le départ. Demi Vollering souffre de « multiples contusions » après sa lourde chute dans le final de la 3e étape du Tour de France femmes, lundi. C'est ce qu'a annoncé son équipe FDJ-Suez en fin de soirée, ajoutant que la Néerlandaise de 28 ans avait « passé une première évaluation pour une suspicion de commotion cérébrale ». D'abord envisagé, un passage par l'hôpital pour des examens approfondis n'a finalement pas eu lieu « compte tenu de l'absence de caractère d'urgence lié à son état médical ». La formation précise toutefois que « de nouveaux examens assortis d'un deuxième protocole commotion seront engagés (mardi) matin afin d'écarter toute suspicion. Ces résultats permettront à Demi et à l'équipe de confirmer ou non sa présence sur la ligne de départ (mardi) ». La lourde chute de Vollering dans le final en vidéo Peu après l'arrivée, et pendant qu'elle effectuait un peu de récupération sur son home-trainer devant le bus de son équipe, le manager de FDJ-Suez Stephen Delcourt avait évoqué « une vraie grosse douleur au genou et au fessier gauche ». avant de préciser : « Si c'est une douleur musculaire due au choc, ça peut bien se passer. S'il lui faut plusieurs jours pour récupérer, on prendra la décision (mardi) matin ». Les coureuses doivent s'élancer en début d'après-midi, mardi, de Saumur, sur une étape a priori dédiée aux sprinteuses, comme lundi. Delcourt sur la chute de Vollering : « Il y a un vrai manque de respect dans le peloton »

« Une belle revanche » : après l'échec des JO, les fleurettistes françaises ont réussi leur rebond aux Mondiaux
« Une belle revanche » : après l'échec des JO, les fleurettistes françaises ont réussi leur rebond aux Mondiaux

L'Équipe

time27 minutes ago

  • L'Équipe

« Une belle revanche » : après l'échec des JO, les fleurettistes françaises ont réussi leur rebond aux Mondiaux

Malgré la déception d'une lourde défaite en finale face aux Américaines, les fleurettistes terminent leur saison en ayant plus que réussi leurs grands Championnats, un an seulement après l'échec olympique. Il y avait forcément un petit « mais » qui traînait ici et là, référence à cette finale mondiale manquée dans les grandes largeurs face aux Américaines (24-45). Mais, justement, une fois la frustration de cette dernière note au goût amer passée, les fleurettistes bleues avaient « énormément de positif » à retenir en descendant du podium avec la médaille d'argent autour du cou, lundi soir à Tbilissi. Parce que si l'addition était on ne peut plus salée face aux intouchables championnes olympiques et leur terreur Lee Kiefer, elle ne reflétait pas à sa juste valeur le parcours des Françaises sur les pistes géorgiennes. « On est passées à côté, on a pris le match à l'envers, c'est clair, mais il ne faut pas oublier qu'on a fait une très belle compète », insiste notamment Anita Blaze. Le fleuret doublement argenté sur ces Mondiaux Arrivé à Tbilissi avec confiance et certitude mais sans prétentions démesurées non plus, le groupe mené par Yann Detienne et son adjoint Guillaume Pitta en repartira avec la satisfaction du travail accompli, doublement argenté après la finale individuelle de Pauline Ranvier vendredi. Mieux encore, le fleuret femmes sera le seul collectif à avoir réussi le quatre à la suite sur les deux rendez-vous qui comptent en fin de saison, avec le titre européen d'Éva Lacheray et l'argent par équipes ramenés le mois dernier de Gênes (Italie). Le tout sans l'habituelle leader Ysaora Thibus, innocentée dans son affaire de dopage et qui fera son retour en début de saison prochaine. Une réussite assez inattendue pour une troupe en reconstruction, qui a marché sur des oeufs en 2025 après l'échec olympique du Grand Palais, toujours en cours de digestion. « On était hyper revanchardes, on n'a fait aucun cadeau (...). Ce n'était plus à nous de galérer. » Eva Lacheray, médaillée d'argent par équipes en fleuret Et rien de mieux qu'une belle leçon donnée aux meilleures ennemies italiennes en demi-finale mondiale (45-34) pour panser les plaies, encore plus quand Ranvier peut se permettre de coller un 12-3 à la légende Arianna Errigo sur le dernier relais. Ça ne fait jamais de mal, surtout quand ces mêmes Italiennes les avaient privées du titre européen le mois dernier à la mort subite. « Gênes, on ne l'a pas oublié, on en a beaucoup parlé avant la demie, raconte Lacheray. Là, on était hyper revanchardes, on n'a fait aucun cadeau, elles ont douté et n'ont jamais réussi à revenir. Ce n'était plus à nous de galérer. » Beaucoup de travail pour digérer l'échec des JO « C'est une grande satisfaction parce que ça vient récompenser beaucoup de travail, pose de son côté Ranvier, insistant sur l'effort collectif. Ça a bien souri pour nous en cette fin de saison, ça a tourné par rapport à l'année dernière. On a énormément bossé pour ça et c'est cool de voir que ça bascule de notre côté. On s'est toujours accrochées, on y a cru et c'est une belle revanche. » Très fiers de voir leur troupe sur le podium, Detienne et Pitta insistent fortement sur un point, le plus important : il y a eu du boulot pour en arriver là, beaucoup de boulot. « L'après-JO a été extrêmement dur à gérer, tant émotionnellement que psychologiquement, explique Detienne. Elles ont pris leur temps, on a individualisé le plus possible, on les a vraiment laissées souffler, et ça a marché. Ce sont des filles qui ont une histoire, un niveau technique, mais ce qui a souvent manqué, c'est cette rigueur pour tenir le fil tactiquement et aussi la gestion des émotions. On a insisté là-dessus, on a bossé, bossé, et ça porte ses fruits sur ces deux derniers rendez-vous de l'année. C'est plus que mérité. » Toute l'actualité de l'escrime

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store