Un autre gardien s'amène
L'entente le lie à Montréal pour le restant de la saison 2025, avec une option de prolongation de prêt pour 2026.
« Nous sommes ravis d'accueillir Thomas au sein du club, a indiqué Luca Saputo, directeur principal, recrutement et méthodologie sportive du CF Montréal. C'est un jeune gardien avec un très grand potentiel qui ajoutera de la qualité au sein de l'effectif. Nous sommes convaincus qu'il s'intégrera rapidement au groupe et qu'il apportera une saine compétition entre nos gardiens de but. »
Pour l'instant, difficile de dire si cette « compétition » souhaitée vise à mettre au défi Jonathan Sirois pour son poste de titulaire indiscutable à Montréal. Les autres options de gardien chez le CFM sont Sebastian Breza et Emil Gazdov. Ce dernier a été acquis dans l'entre-saison des Wanderers de Halifax, en Première ligue canadienne (PLC), et n'a pas joué une seule minute avec le Bleu-blanc-noir. Breza n'a disputé que deux matchs en MLS en 2025.
Une chose est certaine, Gillier constitue un nouvel exemple de la synergie voulue entre les deux clubs de Joey Saputo, lui qui s'est officiellement joint à Bologne le 2 juillet dernier. Maintenant, quel est le plan ? Et surtout, quel message veut-on envoyer à Jonathan Sirois, qui n'est vraiment pas la raison pourquoi le CF Montréal croupit au fond du classement en MLS ?
Le club italien prête-t-il le Chilien, qui a aussi la nationalité française, à Montréal dans le but de le voir s'imposer rapidement, et à le ramener dans le giron du club d'Émilie-Romagne dès que ses performances sont concluantes ? Si c'est le cas, ça ne fera rien pour alléger les allégations de certains partisans voulant que le CF Montréal soit devenu le club réserve de Bologne.
Gillier est un produit du club de première division chilienne Club Deportivo Universidad Católica. Il a fait ses débuts professionnels avec ce club le 23 février 2024. Natif de Los Condes au Chili, Gillier a disputé 20 matchs de Primera Liga et réalisé 6 blanchissages en 2024.
Sur la scène internationale, Gillier a participé à trois matchs avec le Chili au niveau U20.
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Au service, elle prenait la première balle qu'elle avait sous la main et ne lui faisait plus faire le moindre bond, comme c'est la coutume. Elle marchait vite aux changements de côté, visait les coups gagnants pour en finir le plus rapidement possible et contestait souvent les décisions du système automatique de détection de balles. Dépassée, Osaka a baissé les épaules. Frustrée, elle n'a même pas félicité Mboko lors de son très court discours d'après-match. La Japonaise n'a pas non plus voulu s'adresser aux médias au terme de la rencontre. À l'inverse, lorsque Mboko a senti que le vent tournait en sa faveur, elle a montré des signes de nervosité. Aux changements de côté, elle ne s'assoyait plus. Pendant les pauses, elle ne tenait plus en place. Avant de servir, elle sautait sans cesse. À la fin de la deuxième manche, elle voulait que chaque service tombe en jeu. Dans le dernier jeu de la deuxième manche, elle a poussé trois services de suite à 117, 120 et 130 kilomètres à l'heure. 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