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Basket : les Bleus font le boulot pour leur deuxième match de préparation

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Le Figaro19 hours ago
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Pollen, chat, acariens... 4 idées reçues sur les allergies
Pollen, chat, acariens... 4 idées reçues sur les allergies

Le Figaro

time40 minutes ago

  • Le Figaro

Pollen, chat, acariens... 4 idées reçues sur les allergies

Réservé aux abonnés Certaines substances naturelles sont à l'origine d'allergie pouvant provoquer des réactions sévères. Heureusement, des solutions existent pour réduire les allergènes. Traiter son logement avec un acaricide fait cesser l'allergie Faux. Un acarien mort reste allergisant. Les responsables des allergies sont les débris que les acariens laissent derrière eux : déjections, sécrétions salivaires, œufs, larves, débris cellulaires… Les acaricides les empêchent seulement de se reproduire. « Les antiacariens vendus en pharmacie sont à éviter. Ils contribuent à l'irritation des voies respiratoires des personnes déjà sujettes à des irritations », met en garde Corentin Job, conseiller médical en environnement intérieur. Une allergie au pollen peut causer une allergie alimentaire Vrai. Ce sont des allergies croisées. Elles surviennent quand une personne allergique à une substance réagit à une autre, car les deux substances contiennent des protéines qui se ressemblent. « Le bouleau donne des syndromes d'allergies croisées avec les fruits, de la famille des rosacées, comme les pommes, les poires… La personne ressent alors des sensations de démangeaisons dans la bouche quand elle consomme ce fruit. Mais cela peut être plus grave. Dans le Sud, les patients souffrent du syndrome du…

Voterez-vous A ou B ? Découvrez ce test qui déchire les internautes et révèle les limites de l'altruisme humain
Voterez-vous A ou B ? Découvrez ce test qui déchire les internautes et révèle les limites de l'altruisme humain

Le Figaro

time3 hours ago

  • Le Figaro

Voterez-vous A ou B ? Découvrez ce test qui déchire les internautes et révèle les limites de l'altruisme humain

Depuis quelques jours, un post devenu viral sur X propose une expérience de pensée toute simple inspirée du célèbre dilemme du prisonnier en théorie des jeux. Il confronte les internautes à un choix simple, mais très éclairant sur la psychologie collective. Vous votez A ou B ? Depuis quelques jours, cette question passionne nombre d'internautes français sur X, en référence à une expérience de pensée proposée le 3 août par Lysandre Beurel, un conseiller en gestion de patrimoine qui publie régulièrement sur des sujets économiques et politiques. Ce test s'énonce très facilement : vous êtes obligé d'appuyer sur un bouton, A ou B, et vous ne pouvez pas communiquer avec les autres participants du jeu. Si la majorité des joueurs vote A, l'ensemble des participants survit ; en revanche, si la majorité vote B, tous ceux qui ont voté A seront tués et seuls ceux qui ont voté B survivront. Que choisissez-vous de faire ? Publicité Il existe donc deux cas de figure permettant à tout le monde de survivre : si la majorité vote A, ou si l'ensemble des participants sauf exception vote B. Autrement, non seulement une partie des joueurs va mourir, mais tous les survivants auront leur mort sur la conscience... Cependant selon Lysandre Beurel, la peur de la mort et donc «l'aspect psychologique et émotionnel» surpassent le «côté moral». L'internaute pronostique que si cette expérience était proposée dans des conditions réelles (ce qui est bien sûr impossible), environ 80 % des gens voteraient B. Pour l'heure, l'expérience sur les réseaux sociaux semble lui avoir donné tort : les internautes pouvaient indiquer par un sondage s'ils voteraient A ou B, et les 80.000 votants ont placé le A légèrement en tête (50,5 %). Mais Lysandre Beurel assure au Figaro que le résultat du sondage a été faussé par le recrutement de bots qui ont voté automatiquement A : selon lui, à la veille de clôturer le sondage, les B étaient encore majoritaires de 7500 voix, puis en quelques heures les A sont remontés en flèche, faisant gonfler le taux d'engagement avec son tweet, sans que le nombre de retweets et de likes n'augmente, ce qui le pousse à suspecter une triche. À lire aussi Expérience de Milgram: l'être humain préfère (encore) torturer que désobéir «Il y a eu un débat intense, jusqu'à s'envoyer des insultes et des menaces de mort», constate, mi-amusé mi-affligé, l'internaute qui ne s'attendait pas à jeter un tel pavé dans la mare. «Ce dilemme est aussi extrêmement révélateur de la polarité politique en France qui tend vers les extrêmes, avec l'incapacité de poser correctement le problème», regrette-t-il. Il faut dire que les internautes avaient chacun un avis tranché : «Voter A c'est laisser sa vie entre les mains des autres. Personne ne fait ce choix en situation réelle», commente le reporter Vincent Lapierre. «Ceux qui ne votent pas A sont des dégénérés», rétorque un internaute sous pseudo. «Faut être con pour appuyer sur A, on est à la limite de la sélection naturelle», pense un autre. Mais «il vaut mieux voter A comme ça, si les B sont majoritaires, on n'aura pas à vivre dans un monde de psychopathes» fait observer un dernier. Une reformulation du «dilemme du prisonnier» En réalité, Lysandre Beurel n'a rien inventé : son problème n'est qu'une reformulation différente d'un énoncé bien connu, proposé par le mathématicien Albert William Tucker et que l'on appelle «dilemme du prisonnier». Cette expérience de pensée est étudiée par la théorie des jeux, un domaine des mathématiques qui explore les interactions entre agents et qui a de multiples applications en informatique, en économie, en sciences sociales et politiques, en sciences cognitives... Publicité Le dilemme du prisonnier suppose que deux suspects accusés d'un même meurtre et incapables de communiquer entre eux sont interrogés par un juge : ils peuvent se taire, ou dénoncer l'autre prisonnier. Si l'un se tait et l'autre dénonce son acolyte, le premier est emprisonné 10 ans et le second relâché ; si les deux se dénoncent entre eux, leur peine sera réduite à 5 ans ; enfin si aucun des deux ne dénonce l'autre, ils n'écoperont que d'une peine minimale de 6 mois de prison faute d'éléments à charge contre eux. À lire aussi Trump, Ben Salman, Bukele, magnats de la Silicon Valley... L'Heure des prédateurs, de Giuliano da Empoli ou le retour de la force en politique Comportement prédateur Ce problème montre que sans certitude sur le comportement de l'autre, l'intérêt rationnel de chacun des prisonniers est de dénoncer l'autre, conduisant à une situation finale moins avantageuse que si les prisonniers avaient fait le choix de coopérer. Le système invite chacun à avoir un comportement prédateur. Les interprétations de ce problème, notamment pour la pensée économique, sont infinies. D'autres variantes ont en revanche montré que si l'expérience est répétée plusieurs fois, la coopération redevient rationnelle et l'altruisme est finalement récompensé (car le prisonnier qui dénonce son complice peut subir des représailles par exemple). Lysandre Beurel indique enfin que l'idée de poster une reformulation de ce problème lui est venue en constatant qu'il y a souvent un écart entre les vertus morales revendiquées par les personnes, et celles dont les humains sont réellement empreints, soulignant une «hypocrisie». Et de citer une étude américaine montrant que si 80 % des femmes interrogées assurent qu'elles poursuivraient la grossesse si l'enfant qu'elles portent présente des risques d'être autiste, dans les faits la moitié d'entre elles préfère avorter quand c'est le cas. C'est ce qui rend une expérience de pensée en ligne à la fois fascinante et fragile : il est bien plus facile de voter A (et de le clamer sur tous les toits) lorsque l'on ne prend pas réellement le risque que cela implique.

Embolie gazeuse chez les arbres lors des épisodes d'intense sécheresse : c'est quoi au juste ?
Embolie gazeuse chez les arbres lors des épisodes d'intense sécheresse : c'est quoi au juste ?

Le Parisien

time4 hours ago

  • Le Parisien

Embolie gazeuse chez les arbres lors des épisodes d'intense sécheresse : c'est quoi au juste ?

Phénomène interne, caché, l'embolie gazeuse est une des causes principales de la mortalité des arbres lors des périodes de sécheresse sévère. Dans un contexte de réchauffement climatique, « ce dysfonctionnement hydraulique » étudié par l'Inrae (Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement) est devenu un sujet de préoccupation majeur. À voir aussi Qu'est-ce qui provoque une embolie gazeuse chez un arbre ? L'Inrae définit l'embolie gazeuse comme « une conséquence de la cavitation, c'est-à-dire une entrée d'air dans le circuit de circulation d'eau des arbres, ce qui entraîne la rupture de ce circuit ». Explications : en temps normal, l'évaporation de l'eau par les feuilles provoque une tension qui entraîne l'aspiration de l'eau à partir des racines. En période de sécheresse, alors que les racines de l'arbre rencontrent des difficultés à capter de l'eau, les feuilles, elles, continuent d'évaporer l'eau, sous l'effet de la chaleur. À l'intérieur des vaisseaux, de moins en moins d'eau et la pression augmente. Des bulles d'air se forment, créant des bouchons. Quels sont les signes d'une embolie gazeuse chez un arbre ? On sait par exemple que le hêtre, le chêne pédonculé, le frêne… sont des espèces qui craignent la sécheresse. À l'œil nu, des signes indiquent qu'un arbre peut souffrir d'embolie gazeuse : les feuilles se flétrissent, s'assèchent et tombent prématurément, les branches s'assèchent et meurent, la croissance est ralentie. Lors des atteintes graves, le phénomène est irréversible et l'arbre peut mourir. Les scientifiques disposent quant à eux de techniques pour mesurer le flux hydraulique et visualiser (visualisation par micro-tomographie X) le phénomène d'embolie gazeuse chez les arbres. Hervé Cochard, directeur de recherche au Laboratoire de physique et physiologie intégratives de l'arbre en environnement fluctuant du Centre INRAE Auvergne-Rhône-Alpes, est un spécialiste de la question. Il s'intéresse notamment au stress hydrique et l'effet des sécheresses sur la physiologie de l'arbre et le risque de mortalité. À lire aussi Attention, la sécheresse peut les tuer ! Ces trois arbres doivent être arrosés pendant la canicule Que faire en cas d'embolie gazeuse de l'arbre ? Si la période de sécheresse est intense et prolongée et que l'arbre est très touché, il n'y a pas grand-chose à faire pour le sauver. Le travail des chercheurs est déterminant pour notamment identifier les espèces plus résistantes à la cavitation et à la sécheresse. On sait par exemple que le hêtre, le chêne pédonculé, le frêne… sont des espèces qui craignent la sécheresse. À l'inverse, le chêne vert et le pin sont très résistants.

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