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Paris : arroz, pan con tomate, croquetas… Casa Pregonda, un pont entre Bonne Nouvelle et Minorque

Paris : arroz, pan con tomate, croquetas… Casa Pregonda, un pont entre Bonne Nouvelle et Minorque

Le Parisien30-07-2025
Alexandre Giesbert
va passer l'été à Minorque… Sans quitter Paris. Il avait marqué la scène parisienne avec Daroco, une pizzeria-trattoria au décor spectaculaire, toujours ouverte rue Vivienne (IIe). Dix ans plus tard, le fils du journaliste
Franz-Olivier Giesbert
abandonne sa casquette d'entrepreneur pour repasser derrière les fourneaux et accessoirement faire un saut de l'Italie à l'Espagne : nous voilà à Casa Pregonda, une table qui puise son inspiration sur l'île des Baléares.
Nichée rue Stuart, au cœur du quartier de Bonne Nouvelle dans ce même IIe arrondissement, cette nouvelle adresse nous transporte au large de l'Espagne. Un hommage aux eaux cristallines de Cala Pregonda, un authentique petit coin de paradis découvert par Alexandre Giesbert et sa compagne, l'une des six associés de l'affaire.
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Les résultats du Loto de la FDJ du mercredi 6 août 2025
Les résultats du Loto de la FDJ du mercredi 6 août 2025

Le Parisien

time5 hours ago

  • Le Parisien

Les résultats du Loto de la FDJ du mercredi 6 août 2025

La rédaction du Parisien n'a pas participé à la réalisation de cet article. Toutes les semaines, les tirages du Loto organisés par la FDJ peuvent permettre aux participants de remporter un jackpot de plusieurs millions d'euros. Ce mercredi 6 août 2025, vous aviez une chance de repartir avec 3 millions d'euros en découvrant la combinaison gagnante. Si le jackpot a été remporté, alors il retombera à son montant initial de 2 millions d'euros. En revanche, en l'absence de grand vainqueur, le jackpot sera encore plus important lors du prochain tirage. Quels sont les résultats du Loto aujourd'hui ? Comparez les résultats du tirage du Loto de ce mercredi 6 août 2025 à vos grilles, pour savoir si vous avez gagné. La combinaison qui remporte ce tirage contient les numéros 05 18 19 23 49 et le numéro Chance 08. Si vous souhaitez connaître les résultats liés à l'option 2nd tirage, rendez-vous dès maintenant sur où vous pourrez aussi consulter la liste des dix codes Loto tirés au sort pour recevoir 20000 euros. Comment savoir si vous avez gagné au Loto ? Pour découvrir si vous avez gagné au Loto, il est avant tout essentiel de savoir où et quand consulter les résultats des tirages. Les soirs de tirage, aux alentours de 20h35, vous pourrez prendre connaissance de la combinaison gagnante sur la chaîne TF1. Si vous avez manqué cette diffusion, vous pourrez retrouver l'ensemble des résultats du jour sur ou dans l'appli FDJ, à partir de 20h45. Vos grilles contiennent au moins deux bons numéros ? Faites estimer les gains remportés, en utilisant le simulateur mis à votre disposition sur le site officiel de la FDJ. Vous pourrez également scanner vos grilles papier grâce à la fonction dédiée, intégrée à l'application mobile de la Française des Jeux. Si vous avez joué au Loto en ligne, la somme empochée sera rapidement transférée vers la cagnotte liée à votre profil joueur FDJ. Cliquez ici pour tenter votre chance au prochain tirage du Loto

Lady Gaga, Les Oiseaux, relation mère-fille, satire... Tout ce qu'il faut savoir sur la saison 2 de Mercredi
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Le Figaro

time8 hours ago

  • Le Figaro

Lady Gaga, Les Oiseaux, relation mère-fille, satire... Tout ce qu'il faut savoir sur la saison 2 de Mercredi

RENCONTRE - De passage à Paris, les scénaristes de la série à succès de Netflix, Alfred Gough et Miles Millar, reviennent sur leurs sources d'inspiration. Routiers de la télévision, Alfred Gough et Miles Millar sont les têtes pensantes derrière la série Smallville, qui imaginait l'adolescence de Superman. La saga a duré dix saisons. Cette idée de revenir sur la jeunesse d'un personnage mythique de la pop culture leur a, à nouveau, porté chance avec la série Mercredi, qui retrace la scolarité semée d'embûches et de complots de Mercredi Addams, la fille de la Famille Addams. Plus gros succès de Netflix en 2022, la série est enfin revenue sur les écrans, ce mercredi. Quatre épisodes inédits avant une nouvelle salve en septembre prochain. De passage à Paris, Alfred Gough et Miles Millar sont revenus, pour TV Magazine, sur leurs sources d'inspiration. À lire aussi Stranger Things, Wednesday, Frankenstein : ce qu'il faut retenir des annonces de Netflix pour 2025-2026 TV Magazine - Dans quelles directions souhaitiez-vous emmener cette deuxième saison ? Alfred GOUGH. - En première saison, Mercredi quittait le giron parental pour découvrir le vaste monde de l'académie de Nevermore. Cette grande solitaire se retrouvait face à un défi inédit : se faire des amis. Maintenant qu'elle et Enid sont inséparables, Mercredi se dit que cette seconde rentrée à Nevermore va être facile, qu'elle a tous les codes. Sauf que, contrairement à elle, les gens ne restent pas immuables. Ils changent. À l'image d'Enid en proie aux émois du premier amour. Mercredi voit le monde en noir et blanc, elle va devoir envisager toutes ses nuances de gris. Je la compare souvent à une bande passante de radio AM. Elle a peu d'ampleur mais la moindre oscillation peut être un as de géant comme l'étreinte d'Enid qu'elle finit par accepter. L'autre envie qui a présidé à ces nouveaux épisodes est celle d'accorder une plus grande place aux autres membres de la famille Addams et de les plonger dans l'environnement de Nevermore. La mythologie de La Famille Addams n'a jamais été très structurée. Leur créateur Charles Addams était plus intéressé par la satire de la famille américaine parfaite de l'après-guerre que de donner un prénom à ses personnages. Ils n'ont été baptisés que dans les Sixties. Cela nous a donné une grande liberté ! La Famille Addams va avoir un rôle plus proéminent cette saison. HELEN SLOAN/NETFLIX Publicité Miles MILLAR. - Nous avions carte blanche pour créer des histoires, imaginer les liens entre les personnages. C'est exaltant car très rare pour une propriété intellectuelle de cette ampleur. Avec ces nouveaux volets, nous avons voulu aussi rendre hommage aux classiques du genre tels que Les Oiseaux de Hitchcock, Frankenstein et Shock Corridor. Dans ce film noir, un journaliste infiltre un hôpital psychiatrique, où il se fait interner. AG.- Les films de Barry Sonnenfeld avec Anjelica Huston et Christina Ricci nous ont aussi inspirés. Notre second épisode se déroulant dans un camp de colonie de vacances est un clin d'œil aux Valeurs de la famille Addams. Cette seconde saison est également dominée par la relation tendue entre mercredi et sa mère Morticia. AG.- Miles et moi, nous avons quatre filles, et sommes donc aux premières loges pour la relation mère-fille. Mercredi a intégré Nevermore à reculons car elle craignait de rester dans l'ombre de sa mère. Le fait que sa mère s'installe dans un cottage de l'établissement est un cauchemar ! Nous voulions aussi montrer Morticia sous un autre jour. Quel genre de mère est-elle avec Mercredi ? Quel genre de fille est-elle avec sa propre mère honnie Hester ? Comment vit-elle la complicité entre Mercredi et Hester, incarnée par la géniale Joanna Lumley d'Absolutely Fabulous ? MM.- Grâce à la présence de Tim Burton derrière la caméra, nous avons la chance de pouvoir convaincre des seconds rôles de rêve comme Joanna ou Lady Gaga que vous découvrirez dans la vague d'épisodes qui seront mis en ligne, mercredi 3 septembre. AG.- Nous avons aussi voulu donner son heure de gloire au petit frère de Mercredi Pugsley, qui est le grand oublié du clan. Il mérite d'avoir ses propres épreuves et c'était une joie d'imaginer sa complicité avec son père. Contrairement à nombre de familles qui semblent normales et sont dysfonctionnelles, les Addams sont unis. Alfred Gouth Publicité Comment expliquez-vous la popularité de la Famille Addams, toujours aussi plébiscitée par le public 87 ans après sa création ? AG.- Lorsque Charles Addams imagine la Famille Addams, c'est sous la forme d'une satire de la famille américaine nucléaire idéale telle qu'on la conçoit au vingtième siècle puis dans l'Amérique de l'après Seconde Guerre mondiale. La Famille Addams nous touche car elle met en scène une famille d'êtres bizarres et excentriques qui s'adorent. Ils s'apprécient parce qu'ils sont différents. Il n'y a pas d'ostracisme chez eux. ils sont très ouverts. Contrairement à nombre de familles qui semblent normales et sont dysfonctionnelles, eux sont unis. Cet aspect satirique leur donne aussi une qualité intemporelle. MM.- Ce que nous a appris le succès de la série, c'est que tous les spectateurs se reconnaissent dans ces écoliers à la marge, scolarisés à Nevermore. Chacun d'entre nous se considère comme un outsider. Nous avons essayé de conserver cette pointe de satire. Prenez le proviseur Dort, joué par Steve Buscemi, c'est un optimiste de l'extrême ! Comment vous est venue l'idée de faire une nouvelle série sur la Famille Addams ? AG.- Nous étions en 2018 et nous venions de boucler deux séries SF d'ampleur : The Shannara Chronicles et Into the Badlands . Nous rêvions d'un projet à taille plus humaine. Nous aimons beaucoup le personnage de Mercredi Addams et nous avons eu envie de raconter une histoire de pension. Dans les dessins de Charles Addams, Mercredi est toujours une gamine de dix ans, pleine de bons mots, qui a les meilleures répliques. On s'est demandé : que donnerait Mercredi au lycée ? Elle n'y résisterait pas plus de 5 minutes ce qui est effectivement le cas lors de la scène d'ouverture de la série. Dans les vignettes, Charles Addams dessinait des petits monstres, cela nous a donné l'idée d'inventer une école de parias. MM.- La Famille Addams étant très populaire, on n'a pas anticipé à quel point le projet peinerait à décoller. Seul Netflix éprouvait de l'intérêt mais à ce moment-là, la plateforme n'était pas en mesure de nous proposer un contrat. Le studio MGM nous a financé une salle d'écriture. Signe du destin que ne renierait pas Mercredi Addams, nos travaux ont commencé la première semaine du confinement de 2020 ! AG.- Il nous fallait un coup de pouce. Les scripts ne suffisaient pas. C'est comme ça qu'on a eu l'idée de contacter Tim Burton. Il était notre premier et seul choix. Nous étions assez pessimistes car il n'avait jamais travaillé pour la télévision. Mais qui ne demande rien n'a rien. On a tenté. Quatre jours plus tard, on n'en revenait pas. Son agent nous rappelait. Tim, en plus, voulait faire plus qu'un seul épisode ! Il voulait participer à toute la série ! Publicité MM.- Il nous a aidés à donner une vraie dimension cinématographique à notre série. Chaque épisode est son propre mini-film. Comme dans ses longs-métrages, Tim nous a poussés à miser sur les trucages pratiques plutôt que des écrans verts et effets spéciaux pour rester plus authentiques et émotionnellement ancrées. Cette seconde saison fait un peu plus peur. Comment dosez-vous l'horreur ? MM.- Ce n'est pas de l'horreur pure. Même quand c'est un peu dur et brutal, comme dans l'épisode 4. Mercredi n'est pas un film gore de slasher. Il y a des moments d'humour et de suspense. Il faut, ceci dit, que les enjeux et les risques paraissent crédibles. Oui, il y a des personnages inattendus qui meurent. AG.- Nous avons eu l'intuition que Netflix scinderait cette saison en deux comme il l'a fait pour La chronique des Bridgerton et Stranger Things. Nous avons donc conclu notre quatrième épisode sur un sacré cliffhanger, qui nous permettait de conclure certaines intrigues historiques et d'en amorcer de nouvelles et d'innover dans notre narration !

«Un Far West, sans foi ni loi» : Christophe Beaugrand s'exprime sur sa vision des réseaux sociaux
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Le Figaro

time9 hours ago

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Invité de l'émission présentée par Roland Perez sur Europe 1, «Le club de l'été» ce mercredi 6 août, l'animateur est revenu sur l'impact des plateformes digitales sur des émissions comme «Secret Story» Des «vacances bien méritées», a lancé le présentateur de l'émission sur Europe 1, «Le club de l'été», Roland Perez, à son invité de ce mercredi 6 août : Christophe Beaugrand . Il faut dire que ce dernier a été mis à contribution par le groupe TF1 cet été. Remplaçant de Bruce Toussaint dans «Bonjour !» la matinale, présentateur de «Ninja Warrior», et surtout de «Secret Story» saison 13... Une édition 2025 du jeu, diffusée cette année sur TFX, qui a beaucoup fait réagir les internautes. Des polémiques de harcèlement, voire de racisme ont émergé sur les réseaux sociaux, notamment sur X, au point qu'une des candidates ciblées par ces accusations a dû être hospitalisée par la production, suite au cyberharcèlement dont elle a été victime. Publicité Interrogé sur sa perception de ces plateformes et de leurs contenus, Christophe Beaugrand a déclaré : «Je suis présent sur les réseaux sociaux depuis leur émergence. C'est absolument passionnant ce que ça a pu apporter, et c'est effrayant ce que c'est devenu. Il faut réussir à se prémunir de ce qu'il y a sur les réseaux sociaux, il faut essayer de prendre du recul et de la distance, parce que les réseaux sociaux sont un miroir grossissant et souvent trompeur de la réalité de ce que ressent le public». Un aspect donc dangereux de ces médias sociaux, et qui ont un impact sur la télévision. «Après une émission de télévision, on fait des études marketing, des études qualitatives auprès du public. Souvent, ça ne correspond pas du tout aux critiques hystériques qu'on peut parfois lire sur les réseaux sociaux. Il y a à boire et à manger. Il faut s'appuyer sur les réseaux sociaux de temps en temps, et réussir à s'en abstraire», a expliqué l'animateur. À lire aussi «La transition va être compliquée» : Christophe Beaugrand pris d'un fou rire dans «Bonjour !», la matinale sur TF1 Questionné par la suite sur les nouvelles contraintes auxquelles font face particulièrement les programmes de téléréalités comme «Secret Story» et la «Star Academy» (en référence aux vagues racistes qu'avait subies Ebony sur les réseaux sociaux), le présentateur a répondu : «Je pense que le problème vient des réseaux sociaux et pas du côté de nos programmes. Tant que les réseaux sociaux resteront une espèce de Far West, sans foi ni loi, où l'on peut écrire tout et n'importe quoi sur les gens, faire des menaces de mort, des insultes, sans risquer absolument quoi que ce soit, il y aura un vrai problème». Une responsabilité qui ne concernerait pas les sociétés de production de ces émissions, et ce malgré les déclarations de Marianne à Jeremstar dans une vidéo YouTube mise en ligne le 10 juillet dernier, peu après son élimination de la saison 13 de «Secret Story». Cette dernière avait alors insisté sur le rôle que n'avait pas tenu la production : «Vous avez détruit ma vie, vous avez laissé faire. Tout ce que je vois sur les réseaux sociaux, toutes les images qu'on a montrées de moi... C'est normal que les gens pensent ça de moi. Je ne comprends pas comment j'ai pu vous faire confiance».

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