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« Une première mondiale » : cette pompe cardiaque conçue à Clichy a été implantée chez un patient à Sydney

« Une première mondiale » : cette pompe cardiaque conçue à Clichy a été implantée chez un patient à Sydney

Le Parisien5 days ago
Après des années de développement et de tests à
Clichy (Hauts-de-Seine)
, où elle a été aussi fabriquée et validée, une première pompe cardiaque de
la start-up française CorWave
a été implantée sur un patient australien, à près de 17 000 km de là.
Le 28 mai, les équipes du St Vincent's Hospital de Sydney ont posé ce dispositif qualifié de « révolutionnaire », basé sur la technologie de la membrane ondulante, à cet homme de 67 ans souffrant
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Choléra, Ebola, rougeole : la vaccination d'urgence réduit le nombre de décès de 60%
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Le Figaro

timea day ago

  • Le Figaro

Choléra, Ebola, rougeole : la vaccination d'urgence réduit le nombre de décès de 60%

Selon une étude, les efforts de vaccination déployés au cours des 210 épidémies ont généré environ 27 milliards d'euros de bénéfices économiques, en évitant des décès et des handicaps. La vaccination d'urgence lors d'épidémies de maladies comme le choléra, Ebola et la rougeole a permis de réduire de près de 60% le nombre de décès dus à ces pathologies au cours des 25 dernières années, démontre une nouvelle étude. Un nombre similaire d'infections a été évité, et les bénéfices économiques liés à la vaccination sont estimés à des milliards d'euros, selon cette étude publiée cette semaine dans le British Medical Journal (BMJ) Global Health. L'étude est soutenue par Gavi, l'Alliance du vaccin, une organisation internationale qui, s'appuyant sur des financements publics et privés, aide à vacciner les enfants dans les pays les plus pauvres du monde. Publicité Une réponse «rentable face au risque croissant d'épidémies» L'organisation a collaboré avec des chercheurs du Burnet Institute, en Australie, pour produire ce premier aperçu au monde de l'impact des efforts de vaccination d'urgence sur la santé publique et la sécurité sanitaire mondiale. «Pour la première fois, nous sommes en mesure de quantifier de manière exhaustive les avantages, en termes humains et économiques, du déploiement de vaccins contre les épidémies de certaines des maladies infectieuses les plus meurtrières», s'est félicité Sania Nishtar, la cheffe de Gavi, dans un communiqué. «Cette étude démontre clairement le pouvoir des vaccins comme réponse rentable face au risque croissant d'épidémies auquel le monde est confronté», a-t-elle ajouté. L'étude a examiné 210 épidémies de cinq maladies infectieuses (choléra, Ebola, rougeole, méningite et fièvre jaune) dans 49 pays à faible revenu entre 2000 et 2023. Elle montre que le déploiement des vaccins dans ces conditions a permis de réduire le nombre d'infections et de décès de près de 60% pour les cinq maladies. Le nombre de morts réduit de 99% pour la fièvre jaune Et l'effet est encore plus spectaculaire pour certaines pathologies. La vaccination a permis de réduire de 99% le nombre de morts lors des épidémies de fièvre jaune et de 76% le nombre de décès dus à Ebola. Dans le même temps, la vaccination d'urgence a permis de réduire considérablement le risque qu'une épidémie ne s'étende. L'étude estime également que les efforts de vaccination déployés au cours des 210 épidémies ont généré environ 27 milliards d'euros de bénéfices économiques, en évitant des décès et des handicaps. Ce montant est probablement sous-estimé, pointe le rapport, car il ne prend pas en compte les coûts de réponse aux épidémies, ni les impacts sociaux et macro-économiques des perturbations engendrées par les grandes épidémies. Par exemple, on estime que l'épidémie massive d'Ebola qui a frappé l'Afrique de l'Ouest en 2014, avant l'existence de vaccins validés, puis a vu des cas apparaître dans le monde entier, a coûté plus de 45 milliards d'euros aux seuls pays d'Afrique de l'Ouest. Publicité Cette étude intervient après que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a averti en avril que les épidémies de maladies évitables par la vaccination, telles que la rougeole, la méningite et la fièvre jaune, étaient en augmentation dans le monde entier en raison de la désinformation et de la réduction de l'aide internationale. Gavi s'efforce de consolider de nouveaux financements face aux réductions de l'aide internationale. Washington a annoncé le mois dernier qu'il cesserait de soutenir le groupe.

Si vous êtes recalé au bac demain, ce sera peut-être à cause de l'architecture de la salle d'examen – une étude suggère un lien
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Et si vos notes aux examens ne dépendaient pas seulement de votre maîtrise des sujets ? Selon une étude récente, l'environnement dans lequel les étudiants passent des examens pourrait peser lourd sur leurs résultats. Alors que les lycéens attendent les résultats du bac ce vendredi 4 juillet, suivis par les collégiens, qui recevront les résultats du brevet le lundi 7 juillet, une étude risque d'en inquiéter plus d'un. Publiée en août 2024 dans le Journal of Environmental Psychology, cette recherche menée par des scientifiques australiens des universités d'Australie-Méridionale et de Deakin s'est penchée sur l'impact de la configuration des salles d'examen sur les performances des étudiants. Et leur conclusion est pour le moins surprenante : un détail en apparence anodin dans ces salles pourrait faire baisser les notes. Pour mener leur étude, les chercheurs ont analysé les résultats de 15 400 étudiants australiens de premier cycle (entrant à l'université), issus de trois campus universitaires, entre 2011 et 2019. Leur objectif était de croiser les notes obtenues lors des examens avec l'architecture des lieux où les étudiants ont composé. Plus précisément, ils se sont intéressés à une caractéristique bien précise : la hauteur du plafond. En parallèle, ils ont intégré à leur analyse d'autres paramètres, comme l'âge, le sexe, le moment de l'examen ou encore le niveau académique antérieur des étudiants. Jusqu'à récemment, peu d'études avaient exploré le lien entre l'agencement physique d'une salle et la performance scolaire. Si ce n'est une recherche australienne publiée en 2022, qui avait déjà mis en lumière un lien entre l'environnement intérieur des salles d'examen et certains marqueurs cérébraux associés aux capacités cognitives avancées, comme la réflexion, la résolution de problèmes ou la prise de décision. Ces capacités sont justement sollicitées lors d'un examen, un moment reconnu pour son haut niveau de stress. Les chercheurs de la nouvelle étude ont donc voulu vérifier, en conditions réelles, si la taille de la pièce, et notamment sa hauteur sous plafond, pouvait influencer les performances des étudiants. Les résultats ont montré que les examens passés dans des salles aux plafonds hauts sont associés à de moins bonnes notes. Autrement dit, plus le plafond est élevé, plus les performances ont tendance à baisser. Les chercheurs qui ont mené cette étude supposent que la densité d'étudiants, les salles au plafond haut étant souvent plus grandes et accueillant donc davantage d'étudiants, ou une mauvaise qualité de l'air (liée notamment à une mauvaise isolation) sont des facteurs susceptibles d'affecter le cerveau et le corps et donc la concentration et les performances. Jaclyn Broadbent, coautrice de l'étude, alerte dans un communiqué : "En Australie, de nombreuses universités et écoles privilégient de grands espaces pour les examens, afin de simplifier l'organisation et réduire les coûts. Mais il est essentiel de prendre conscience que l'environnement physique peut influencer la performance académique. Il faut envisager des ajustements pour garantir l'équité entre les étudiants".

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