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Le Parisien
an hour ago
- Le Parisien
La Courneuve : trois personnes intoxiquées au Sniper, trois appartements évacués
L'insecticide Sniper a encore frappé , cette fois à La Courneuve (Seine-Saint-Denis). Dans le quartier des 4 000 Sud, rue de l'Union, la locataire qui avait utilisé ce produit interdit et une autre personne ont failli succomber en inhalant les effluves de ce flacon utilisé pour éradiquer les cafards et punaises de lit . Comme son nom l'indique le Sniper 1 000 EC n'éradique pas seulement certains insectes. Il provoque aussi de graves lésions chez les humains. En effet, il contient une substance très dangereuse, le dichlorvos, et est interdit à la vente depuis 2013 en raison de sa très haute toxicité.


Le HuffPost France
an hour ago
- Le HuffPost France
Pour les personnes trans, ces nouvelles règles de la HAS consacrent une avancée majeure
FRANCE - Pas une révolution, mais une première étape importante. Attendue ce vendredi 18 juillet, la décision de la Haute Autorité de santé (HAS) concernant la prise en charge des mineurs souhaitant entamer une transition de genre a finalement été reportée à l'année 2026, en l' « absence de consensus » à ce stade. Pour autant, les premières conclusions rendues par la HAS concernant les adultes permettent à certains d'y voir une première avancée majeure. Laquelle ? Celle de considérer le fait d'être transgenre comme une simple autodétermination de la personne et non comme une maladie. C'est d'ailleurs la toute premières des 152 recommandations formulées par la HAS ce vendredi dans un rapport accessible en ligne. Car si la HAS ne répond pas encore clairement sur la manière de prendre en charge les mineurs, elle insiste fortement, concernant les adultes, sur le fait que la transidentité ne doit pas être considérée comme une maladie, et qu'il faut donc répondre à toute demande de transition, regrettant au passage une offre de soins « très hétérogène » sur le territoire français. « Un avis psychiatrique systématique n'est pas recommandé » mais « un soutien psychologique peut être apporté selon les besoins de la personne », a précisé Claire Compagnon, présidente de la commission des recommandations de la HAS, lors d'une conférence de presse au siège de la HAS à Saint-Denis ce vendredi. Les soins de transition ne sont « pas un confort mais un enjeu vital », a-t-elle ajouté. Pour le contexte, la HAS avait été saisie en 2022 par le ministère de la Santé pour déterminer comment doit s'organiser la prise en charge des parcours de transition, un sujet sur lequel aucune recommandation sanitaire officielle n'a jamais été donnée en France. Mais à ce stade, elle ne répondra finalement pas sur le volet le plus sensible : que faire quand un mineur demande à changer de genre ? « En l'absence de données suffisamment robustes et de consensus, la HAS fait le choix d'aborder séparément la question des moins de 18 ans », explique-t-elle dans un communiqué, annonçant que ce travail, probablement destiné à de nouveau prendre des années, commencera début 2026. « Il fallait que ce soit affirmé, ça l'est » Sur Instagram, l'association Toutes des femmes, bien que déçue par l'absence de position sur les mineurs à ce stade, reconnaît toutefois que ces recommandations permettent enfin d'acter « la dépsychiatrisation progressive des parcours de soins de ces dernières années ». « Durant le processus de plus de quatre ans qui a mené à leur publication depuis la saisine par le ministère de la Santé, les groupes d'influence anti-droit et anti-choix n'ont pourtant cessé d'exercer des pressions sur cette autorité publique indépendante », note au passage l'association. Son de cloche identique du côté d'Anaïs Perrin-Prevelle, directrice d'OUTrans et membre du groupe de travail à l'origine des recommandations de la HAS. Dans les colonnes du Nouvel Obs, elle salue donc ces avancées tant attendues, tout en regrettant profondément la « politique de la terreur » menée par les opposants aux droits des personnes trans. Parmi ces autres recommandations destinées aux adultes, l'autorité préconise notamment de répondre aux demandes de chirurgie, en donnant au patient une information exhaustive quant aux risques et au caractère irréversible de l'opération. Il n'est pas nécessaire, insiste-t-elle, de rendre un avis sur l'état psychiatrique du patient même si le médecin peut lui recommander un délai de réflexion. « Il fallait que ce soit affirmé, ça l'est. Les choses sont dites, les choses sont claires, il n'y a pas de soins psychiatriques nécessaires », s'est également félicité Anaïs Perrin-Prevelle auprès de l'AFP.


Le Parisien
2 hours ago
- Le Parisien
Randonner, faire du vélo ou se la couler douce au fil de l'eau… Prendre son temps, le vrai luxe des vacances ?
Marcher, faire du vélo , voguer en eau douce… L'idée de vacances au ralenti, à son rythme, séduit de plus en plus. Mathieu, ingénieur de 39 ans, a passé un premier week-end sur un bateau sur le canal de Bourgogne en 2023. Une révélation. « À ce moment-là, avec ma compagne, nous étions épuisés physiquement et mentalement à cause du travail. C'était un cadeau de la part d'amis. Ça a été une vraie bouffée d'oxygène. On a parcouru 30 km en un week-end et pourtant on a eu l'impression d'être partis au bout du monde » ; décrit-il.