
« Pas de cafard, on danse jusqu'au soir » : Disneyland Paris vibre au rythme de son festival musical estival
Disneyland Paris
à Marne-la-Vallée (Seine-et-Marne). La bestiole à la voix haut perchée, entourée de trois percussionnistes qui jouent en live sur des djembés et une troupe de danseurs, met l'ambiance en ce début d'après-midi francilien.
Derrière lui, au loin, le phacochère Pumba, joue les grossiers personnages et pète pour faire rire les gamins hilares, avant de s'excuser. Ce spectacle joué quatre fois par jour à Marne-la-Vallée (Seine-et-Marne) est une des nombreuses animations proposées par le parc cet été, dans le cadre du « Disney Music Festival ».
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18 minutes ago
- Le Figaro
Jonathan Kaplan, producteur et réalisateur de New York, Unité Spéciale et Urgences, est mort
À l'origine de quelques-unes des séries les plus célèbres de l'histoire de la télévision, cette figure majeure de l'industrie audiovisuelle américaine s'est battue des années contre un cancer du foie. Urgences, FBI - portés disparus, New York Unité spéciale, Witches of East End, mais aussi des films aussi populaires que Les Accusés (1988), grâce auquel Jodie Foster s'est vue remettre son premier Oscar, Truck Turner, emblème de la Blaxploitation, ou Violences sur la ville, avec Matt Dillon dans l'un de ses premiers grands rôles... Jonathan Kaplan, réalisateur et producteur américain né en France à la fin des années 1940, est décédé vendredi 1er août 2025 des suites d'un cancer du foie contre lequel il se battait depuis très longtemps. La nouvelle de sa disparition a été annoncée par sa fille Molly Kaplan dans les colonnes du Hollywood Reporter. « Il était un père attentif et aimant », a écrit la réalisatrice. À lire aussi Friends, Urgences... :les vertus thérapeutiques des séries Publicité Son nom vous est peut-être méconnu. Mais cela n'a guère d'importance. Jonathan Kaplan laisse derrière lui près de 200 épisodes de la série hospitalière Urgences, 65 épisodes de FBI - Portés disparus et d'une dizaine de chapitres de New York Unité spéciale. Selon ses maîtres, Martin Scorcese, Roger Corman, il était un créatif et travailleur hors pair. Selon ses collaborateurs, techniciens, acteurs, il était un producteur et metteur en scène proche des gens et de son travail. «Travailler avec Jonathan Kaplan a été et reste une de mes plus précieuses sources d'inspiration», dira Laura Innes, alias Kerry Weaver, rare femme médecin de la série hospitalière Urgences. D'autant plus rare que dès les années 1990, le personnage assumait son orientation sexuelle. À lire aussi «Ce n'est pas la vraie vie» : Jodie Foster dévoile sa manière de concevoir le métier d'actrice dans «Sept à huit» Par son écriture, sa galerie de personnages, ses comédiens - George Clooney, Julianna Margulies, Noah Wyle... - et son filmage quasi documentaire, Urgences a révolutionné le genre et très largement participé à la montée en puissance de la série comme création originale et pour certaines comme véritable œuvre d'art, sur la scène culturelle internationale.


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« Les Copines de la synchro » : de la Nationale 1 au sacre mondial, l'incroyable parcours de sept quadras toulousaines
Léon Marchand n'est pas le seul Toulousain à avoir brillé dans les bassins de Singapour lors des Mondiaux de natation. Dimanche 3 août, sept quadragénaires de la région de Toulouse (Haute-Garonne), « Les Copines de la synchro » comme elles se nomment, ont été sacrées championnes du monde Masters de natation artistique dans l'épreuve de combiné, catégorie 40-64 ans. L'aboutissement d'un processus de trois ans qui a d'abord conduit ces anciennes nageuses du Toulouse Natation Synchronisée, qui évoluaient il y a quinze ans en Nationale 1, à reformer leur équipe et à remporter les titres de championnes de France et d'Europe en 2024. « On est arrivées avec un esprit combatif » Les Mondiaux, « cela représentait un an de plus à s'investir alors que l'agenda professionnel et familial est déjà bien rempli », explique Élodie Caquineau. Les sept copines se retrouvaient ainsi une journée par mois à la piscine de Villefranche-de-Lauragais afin de travailler la cohésion, chacune s'astreignant à s'entraîner de son côté. « On avait très envie de bien faire. On est arrivées avec un esprit combatif en visant une médaille, et ce titre est une consécration », confie celle qui a du mal à décrire les émotions vécues mais dont la voix souligne la joie. Arrivées mercredi dernier, elles n'ont pu répéter leur chorégraphie en musique avant le jour J et ont été les premières à s'élancer dimanche sur des titres de Beyoncé, Woodkid, Alicia Keys et Lady Gaga. « C'était un peu girl power avec Run the World ou Girl on Fire. Ça nous ressemblait et ça donne la pêche. »


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«Je ne pense pas qu'il voulait que je sois sa partenaire» : Sharon Stone raconte sa violente dispute avec Michael Douglas avant le tournage de Basic Instinct
Selon l'actrice, Sharon Stone et Michael Doulas auraient eu une altercation lors de leur première rencontre, juste avant de tourner ensemble dans le film de Paul Verhoeven. C'est le genre de rencontre qui ne s'oublie pas. Avant de devenir partenaires dans le film Basic Instinct de Paul Verhoeven, Sharon Stone et Michael Douglas n'étaient pas les meilleurs amis du monde. Comme l'a confié l'actrice à Business Insider, une dispute aurait éclaté entre elle et l'acteur peu de temps avant qu'elle ne passe les auditions pour le thriller érotique sorti en 1992. «C'était à Cannes. Nous étions tous assis, et il parlait de quelqu'un et de ses enfants. Je connaissais très bien la personne dont il parfait. J'ai donc fait une remarque et il m'a répondu : 'Qu'est-ce que tu en sais, toi ?'», a raconté Sharon Stone. Elle a alors ajouté que son commentaire, qu'elle n'a pas dévoilé dans l'interview, a énervé l'acteur qui s'est mis à lui crier «dessus devant tout le monde». N'étant pas du genre à se laisser faire, l'ex-femme du journaliste Phil Bronstein, a répliqué. «J'ai repoussé ma chaise et je lui ai dit : 'Allons dehors'. C'est comme ça que nous nous sommes rencontrés pour la première fois», a raconté la star de Basic Instinct. Une fois à l'extérieur, Sharon Stone lui a expliqué qu'elle était très proche de la famille dont il parlait et n'a pas hésité à la défendre. «Puis nous sommes partis chacun de notre côté. Je ne dirais pas que nous étions les meilleurs amis du monde, mais nous sommes restés en bons termes. Donc, pour en revenir au casting de Basic Instinct, je ne pense pas qu'il voulait que je sois sa partenaire à l'écran», a-t-elle ajouté. À lire aussi «Hilarante et complexe» : Sharon Stone annonce la mort de sa mère à l'âge de 91 ans Publicité «C'est elle qu'il nous faut» Si leur relation n'a pas très bien commencé, Michael Douglas et Sharon Stone ont finalement appris à travailler ensemble et sont devenus très proches. «Je l'admire», a d'ailleurs confié l'actrice à Business Insider. Mais face à ces déclarations, la star de Liaison Fatale a elle aussi pris la parole. En effet, selon Allen Burry, un porte-parole de Michael Douglas, l'acteur serait très «surpris» par les propos de Sharon Stone et «ne se souvient d'aucune dispute entre eux à cette époque». «En fait, il se souvient seulement avoir vu et rencontré Sharon pour la première fois lorsqu'il a vu l'essai que le réalisateur Paul Verhoeven lui avait fait passer pour Basic Instinct et que (Michael) a dit : 'Absolument, c'est elle qu'il nous faut'», a déclaré le représentant de l'acteur à People . Il a ajouté que si les deux acteurs avaient effectivement passé du temps ensemble au Festival de Cannes, c'était plus tard, en 1992, pour la promotion de Basic Instinct. «Et au moment où ils ont fait le film, ils étaient amis», a déclaré Allen Burry. Qui des deux stars dit la vérité ? Personne ne le sait. Heureusement, en tout cas, qu'aucun pic à glace n'a été (vraiment) utilisé.