
«C'est attendu comme une nouvelle saison de Game of Thrones » : pourquoi les «vlogs d'août» de Léna Situations sont le carton de l'été sur YouTube
L'influenceuse lance samedi la neuvième saison du format qui a forgé sa notoriété, tout en ouvrant un nouveau magasin éphémère et préparant la sortie de son prochain livre.
« Salut les gars, j'espère que vous allez bien, bienvenue dans ce nouveau vlog d'août ! ». Les adeptes des vidéos de Léna Situations l'auront reconnu. La phrase introductive qui accompagne chaque vidéo publiée par la créatrice de contenu tout au long du mois d'août va à nouveau résonner dès ce samedi pour ses trois millions d'abonnés sur YouTube.
À découvrir PODCAST - Écoutez le dernier épisode de notre série Questions Tech
L'influenceuse mode et divertissement a récemment annoncé repartir pour une neuvième saison de ses traditionnelles vidéos spontanées, dans lesquelles elle filme son quotidien, ses aventures, ses voyages et ses moments entre amis. Depuis 2016, la jeune femme de 27 ans tourne ces «vlogs « (blog en vidéo) chaque jour d'août. Le premier épisode est traditionnellement publié le 2 du mois, le temps que la vidéaste fasse le montage de la journée précédente. Une assiduité et un contenu sans fard qui a forgé sa notoriété, faisant d'elle une des créatrices de contenu les plus suivies en France à ce jour.
Pourtant, le bruit courait que la jeune femme pourrait…
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Le Parisien
an hour ago
- Le Parisien
Accident de manège au Luna Park du Cap d'Agde : crises d'angoisse, lourdes blessures… Deux ans après, une victime témoigne
Des séquelles à vie. Sur TF1 ce mardi soir, une jeune femme a témoigné des conséquences du grave accident de manège dont elle a été victime en 2023, au Cap d'Agde (Hérault). Un drame qui, selon elle, « n'aurait jamais dû arriver ». L'accident s'était produit en août 2023, en plein cœur de la fête foraine Luna Park, dans la célèbre station balnéaire. Julia* avait alors 19 ans, et était accompagnée d'un ami de 17 ans. Les deux adolescents étaient montés à bord d'un manège d'une soixantaine de mètres de hauteur, qui lâche ses clients dans une chute libre à 110 km/h au bout d'une corde, imitant le style d'un saut à l'élastique. « Mon corps a 50 ans » Mais Julia et son ami ont ensuite été éjectés de leur attache, percutant des obstacles au cours de leur chute. « J'ai tiré la corde. Là, je vois le palmier, je perds connaissance », se rappelle Julia. Son ami, lui, n'a pas survécu à l'accident. [2/4] Cécile Vallin, les secrets d'une disparition Crime story raconte chaque semaine les grandes affaires criminelles. Écouter Julia, elle, a dû subir de lourdes opérations. « Je me suis fait opérer du pied d'urgence parce que j'avais une fracture ouverte. Après, ça a été le bassin. Le genou gauche. Ensuite, on m'opère le genou droit », raconte-t-elle à TF1. « C'est simple : j'ai 21 ans, mon corps en a 50 », conclut-elle. Pour la jeune femme, impossible de pratiquer des activités sportives au quotidien. « Courir, je ne peux pas. Me mettre accroupie, je ne peux pas. Me mettre sur les genoux, je ne peux pas », confie Julia. Des « crises d'angoisse » Psychologiquement, les séquelles sont aussi lourdes. « Je fais des crises d'angoisse. Ma vie n'est plus la même qu'avant. C'est ça le plus dur », dit-elle. Peu après l'accident, la météo avait été pointée du doigt, des rafales de vent ayant soufflé fort sur le manège, déviant sa direction. Mais pour Julia, ce drame « n'aurait jamais dû arriver ». Dans cette affaire, le gérant du Luna Park et le responsable du manège, l'Adrénaline, ont été mis en examen « des chefs d'homicide involontaire et blessures involontaires », avait indiqué le parquet de Béziers en novembre 2023.


Le Figaro
4 hours ago
- Le Figaro
Pourquoi le style universitaire chic du film My Oxford Year fait-il tant fantasmer ?
Parmi les films les plus regardés sur Netflix en France en ce moment, ce nouveau drame romantique débordant de clichés fait un carton. Le style de ses personnages, so British, participe grandement à ce succès. En l'espace de 48 heures, il s'est hissé à la première place des films les plus visionnés sur Netflix en France, selon la plateforme. Ce succès retentissant, My Oxford Year, nouveau drame romantique signé Iain Morris adapté d'un roman de Julia Whelan, le doit en partie à une promotion massive orchestrée par un panel de jeunes filles en larmes sur TikTok, se disant pour la plupart «bouleversées» suite au visionnage. Allant parfois jusqu'à le comparer au long-métrage Nos étoiles contraires qui, onze ans plus tôt, a révélé l'actrice Shailene Woodley dans le rôle d'Hazel, une adolescente atteinte d'un cancer de la thyroïde. Affiche promotionnelle du film My Oxford Year de Netflix. Netflix Mais cette fascination autour de My Oxford Year s'explique aussi par son esthétique ultra-léchée. L'histoire : une New-Yorkaise - qui se réveille, chaque matin, parfaitement coiffée et maquillée - partie étudier la poésie victorienne dans un Oxford de carte postale, tombe éperdument amoureuse d'un professeur beau comme un dieu, richissime, qui coche toutes les cases des clichés du gentleman british . En commençant, comme quasiment tous les personnages, par un style vestimentaire participant à ce tableau dépeignant tout d'une Angleterre fantasmée. Publicité De Barbour à Burberry La scène de la rencontre des deux protagonistes du film donne le ton. Alors qu'Anna De La Vega (interprétée par Sofia Carson), tout juste arrivée à Oxford, est plongée dans la lecture du récit Walden ou la Vie dans les bois d'Henry David Thoreau, le professeur de littérature Jamie Davenport (interprété par l'acteur britannique Corey Mylchreest, connu pour son rôle dans la série La Reine Charlotte : Un chapitre Bridgerton) fait son entrée. Cheveux châtains gominés, il est habillé d'un tee-shirt à grosses rayures - ces mêmes modèles portés par les ados anglais de la série Skins vingt ans plus tôt -, et, comme une évidence, d'une veste Barbour. La version classique, c'est-à-dire huilée, marron, zippée et dotée d'un col signature en velours côtelé. L'actrice américaine Sofia Carson (Anna De La Vega) dans le drame romantique My Oxford Year de Netflix. Chris Baker/Netflix 2024 Scène suivante. Cette fois, c'est Anna De La Vega qui dit adieu à son style d'Américaine des quartiers chics en se glissant dans son uniforme d'étudiante d'Oxford. Sous sa toge académique noire, elle porte une chemise blanche serrée au cou par un long nœud noir, une jupe en laine de la même teinte, les jambes couvertes de collants opaques et les pieds chaussés de babies à boucle. Un look cliché, mais pas autant que celui de Charlie Butler, son camarade de classe, qui se présente habillé d'un trench beige Burberry, d'une chemise rayée et d'un veston brodé. Une silhouette qui, cette fois, prend soin de mélanger les couleurs et motifs, évoquant délibérément le raffinement des dandys anglais. Difficile de faire plus britannique. À lire aussi Je reviens d'Oxford, la ville où tout le monde s'habille comme dans The Crown Pendant presque deux heures de film, ces scènes idylliques se suivent et se ressemblent, toujours accompagnées du détail mode bien pensé. Un personnage regarde la télévision ? Il est forcément vêtu d'un pantalon de pyjama rayé cosy, et d'un pull tricoté. Le professeur de littérature se rend dans un pub ? Il troque son Barbour pour une déclinaison décontractée, bleu marine et au col moins imposant. Tandis que lors d'une balade, il revêt une chemise à carreaux sous un gros pull doté de coudières en cuir ou en daim, ce petit détail british qui a longtemps été brodé aux coudes des vieilles vestes en tweed de lords anglais. L'acteur britannique Corey Mylchreest (Jamie Davenport) et l'actrice américaine Sofia Carson (Anna De La Vega) dans le drame romantique My Oxford Year de Netflix. Chris Baker/Netflix 2024 Idéaliser l'Angleterre Nul besoin d'être diplômé d'Oxford pour comprendre que ces choix de costumes ont clairement participé au succès de ce film, qui propose la vision d'une Angleterre apaisante, presque rassurante, à la façon d'un remake de Coup de foudre à Notting Hill (1999). Un projet qui surgit également à l'heure où l'actualité se veut de plus en plus anxiogène. À l'instar d'une Emily in Paris qui quitte les États-Unis pour vivre son rêve dans la capitale française et se photographier avec un croissant, Anna De La Vega incarne ce personnage d'expatriée, rêveuse et fièrement stéréotypée, que l'on retrouve de plus en plus sur le petit écran. Une femme qui ne se refuse rien : ni l'ambition d'étudier dans la plus prestigieuse université du monde, ni de vivre une relation avec un gentleman, et encore moins de s'habiller «comme une anglaise» même si, visiblement, elle a encore beaucoup à apprendre de la culture du pays. Malgré tout, si ce film n'a pas été au goût des spectateurs anglais - le journal The Guardian lui a d'ailleurs accordé seulement deux étoiles sur cinq en le décrivant de «romance anglophile» -, force est de constater que cette pluie de vestes Barbour et trenchs Burberry a beaucoup plu au public français. Au même titre que The Crown, Bridgerton et Sex Education, trois séries acclamées qui présentent trois époques de l'Angleterre. Dans le choix des costumes, des décors ou des scènes, My Oxford Year évoque plus d'une fois le romantisme de Coup de foudre à Notting Hill. Netflix - montage Publicité Rien de surprenant en ces temps où le Royaume-Uni, suite au Brexit, peine à retrouver son aura d'autrefois, renvoyant aux touristes une image moins lisse et accessible. Dans une vague de nostalgie, certains Français, notamment ceux qui ont connu les voyages en Angleterre sans avoir besoin de dégainer un passeport, sont toujours plus nombreux à adopter le style anglais, à travers lequel ils y trouvent une élégance incomparable, voire une Madeleine de Proust. Leurs inspirations sont d'ailleurs les mêmes qu'Anna De La Vega : Kate Middleton, Lady Diana ou le roi Charles dans sa prime jeunesse. Autant de figures britanniques qui ont participé à faire du style british un art à part entière. Au point de donner naissance à une romcom... Peut-être plus profonde qu'elle n'y paraît.


Le Parisien
5 hours ago
- Le Parisien
« Ils allaient le tuer » : comment un village s'est mobilisé pour sauver deux retraités tabassés par des cambrioleurs
« Je suis monté à l'escabeau au-dessus du muret, mon voisin est arrivé vers moi le visage en sang ! J'ai crié bien fort pour mettre les agresseurs en fuite et je lui ai dit Ne t'inquiète pas, tu n'es pas seul ». Cette nuit du 4 au 5 août, Renald n'a pas dormi sur ses deux oreilles. Ce lundi soir, cet habitant de Pontpoint, une petite ville de 3 200 habitants à l'est de Creil, dans l'Oise, a vécu une scène digne d'un film d'horreur.