
Hoka, Asics, On : voici 3 paires de baskets spécial running affichées à prix rare
Hoka, Asics et On
. Confortables, innovantes et tendances, ces références ont tout pour vous propulser sur la ligne d'arrivée. Découvrez 3 bons plans à shopper sans tarder.
Notées 4,8/5, les Mafate Speed 4 Hoka sont parfaites pour la pratique du trail. Ce modèle intègre un pare-pierres et des renforts en TPU pour une protection accrue sur les chemins difficiles. Il dispose d'une semelle Active Foot Frame qui soutient efficacement le pied. Polyvalentes et confortables,
les Mafate Speed 4 de Hoka passent à 152 euros au lieu de 180 euros
.
Idéales pour des entraînements intensifs, les Gel-Nimbus 26 Asics vous accompagnent sur chemins et routes tracés. Accessibles à tous les sportifs, ces baskets disposent d'un amorti remarquable grâce à la technologie Puregel. Elles se démarquent aussi par leur excellent dynamisme. Confortable, leur empeigne est conçue à partir de polyester recyclé.
Les Gel-Nimbus 26 Asics sont à 144 euros au lieu de 200 euros
.
Parfaites pour des sessions de trail sur courtes et moyennes distances, les Cloudvista 2 Waterproof On Running s'adressent à tous les amateurs d'outdoor. Ce modèle vous assure un amorti moelleux, une excellente réactivité et un grip renforcé. Son empeigne respirante est dotée d'une membrane imperméable.
Les Cloudvista 2 Waterproof de On Running sont à 144 euros au lieu de 180 euros
.
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Le Parisien
2 hours ago
- Le Parisien
Une filiale de Korian mise en examen pour la mort d'un résident d'Ehpad en 2019
Medotels, une filiale du groupe Clariane (ex-Korian), est dans la tourmente. Le groupe a été mis en examen le 17 juin après la mort d'un résident de 87 ans, Léon A., hébergé dans l'Ehpad Korian Jardins d'Alésia à Paris en 2019. Une information judiciaire avait été ouverte après une plainte avec constitution de partie civile de la veuve déposée en septembre 2020. La structure a aussi été chargée pour mise en danger d'autrui et pratiques commerciales trompeuses. D'après des éléments de l'interrogatoire d'une responsable, les manquements imputés à cet Ehpad auraient causé une dénutrition sévère de l'octogénaire, une mauvaise administration de ses médicaments, un suivi insuffisant de ses troubles respiratoires, ce qui aurait mené à son hospitalisation en urgence onze jours après son entrée, puis à son décès. On lui reproche également d'avoir accueilli, sans autorisation, des résidents temporaires dans l'établissement et d'avoir failli en termes d'encadrement de l'équipe soignante. Le médecin coordonnateur officiant juste avant l'arrivée de Léon A. a évoqué des « dysfonctionnements énormes » au sein de l'Ehpad. Confirmant « un rangement des médicaments aléatoire », « des produits périmés », « des absences répétées par épuisement », mais aussi « 12 décès en à peine deux mois, des chutes non déclarées, des soins non faits » ce qui aurait engendré des hospitalisations . « Professionnellement, je me sentais en danger et humainement, je ne pouvais plus cautionner quoi que ce soit », a-t-il ajouté. Il était en arrêt maladie un mois avant les faits. Au moins deux infirmiers ont également attesté de problèmes de suivi des patients dans l'établissement. Interrogée par l'AFP, la responsable de l'Ehpad n'a pas souhaité commenter dans le détail ces assertions, répliquant toutefois que « c'est la mission du médecin coordinateur d'assurer la qualité des soins sur un établissement ». D'après des documents versés à l'enquête cités par le juge d'instruction, il n'y avait pas de « médecin coordinateur sur l'entier séjour » de Léon A. Il n'y avait « aucune obligation » d'en avoir, a répondu la responsable, évoquant une organisation aujourd'hui « différente ». « Medotels est totalement en empathie avec la douleur de la famille mais il est clair pour nous qu'il n'y a pas de responsabilité pénale. On verra ce qu'il en sera à l'issue de cette information judiciaire », a indiqué Me Emmanuel Daoud, avocat de la société.


Le Figaro
3 hours ago
- Le Figaro
Le dollar tiré à la hausse par les espoirs d'accords commerciaux
Le dollar gagne du terrain vendredi, aidé par la perspective d'accords commerciaux entre les États-Unis et leurs partenaires, notamment avec l'Union européenne (UE). Vers 18H00 GMT, le dollar progressait de 0,12% face à la monnaie unique européenne, à 1,1736 dollar pour un euro et prenait 0,65% à la livre, à 1,3423 dollar pour une livre. «Les négociations commerciales occupent le devant de la scène et, à une semaine de l'échéance du 1er août, le marché a retrouvé un état d'esprit plus favorable» vis-à-vis du dollar, explique auprès de l'AFP Christopher Vecchio, de Tastylive. Le président américain Donald Trump a affirmé vendredi que la probabilité que les États-Unis concluent un accord commercial avec l'Union européenne était de «50-50». Selon plusieurs sources européennes, ce compromis prévoit des surtaxes douanières de 15% sur les exportations européennes à destination des États-Unis, avec des exemptions notamment sur l'aéronautique, les spiritueux ou certains médicaments. C'est bien en deçà des 30% que Donald Trump menace d'appliquer. Publicité L'administration Trump compte pour l'heure cinq accords à son actif, avec le Royaume-Uni, le Japon, le Vietnam, l'Indonésie et les Philippines. Les cambistes pensent que «les accords ne seront peut-être pas aussi mauvais qu'initialement anticipé», commente M. Vecchio, ce qui soutient le dollar vendredi. En outre, les données économiques américaines publiées durant la semaine ont «poussé le dollar», souligne dans une note Marc Chandler, de Bannockburn Capital Markets. L'analyste prend notamment l'exemple des inscriptions au chômage, publiées jeudi, et qui se sont établies à 217.000 la semaine passée, en baisse pour la sixième période d'affilée et en deçà des attentes des analystes. La progression de la monnaie américaine reste toutefois contenue au regard de sa chute récente, le dollar ayant perdu plus de 11% face à l'euro depuis le début de l'année. «Je suis quelqu'un qui aime un dollar fort, mais un dollar faible rapporte beaucoup plus d'argent», a déclaré vendredi le président des États-Unis. Selon M. Vecchio, «un dollar faible peut en effet être bénéfique pour les exportations», les biens américains devenant plus attractifs. Les acteurs du marché suivront la semaine prochaine la réunion du comité de politique monétaire de la banque centrale des États-Unis (FOMC) à l'issue de laquelle la grande majorité des acteurs du marché s'attend à ce que l'institution laisse ses taux inchangés, soit dans une fourchette comprise entre 4,25% et 4,50%. Une majorité des cambistes anticipent toutefois une baisse des taux lors de la réunion suivante, en septembre, selon l'outil de veille CME Fedwatch.


Le Figaro
3 hours ago
- Le Figaro
La Banque centrale russe abaisse son taux directeur à 18%
La Banque centrale russe (BCR) a abaissé vendredi à 18% son taux directeur, de deux points, sa baisse la plus marquée depuis 2022, face à des craintes grandissantes d'un ralentissement de l'économie du pays. «Les pressions inflationnistes actuelles, y compris les pressions sous-jacentes (celles des prix les plus volatils, NDLR), diminuent plus rapidement que prévu. La croissance de la demande intérieure ralentit», a indiqué la BCR dans un communiqué. L'économie russe traverse des turbulences depuis le début de l'assaut contre l'Ukraine en 2022 et les multiples sanctions occidentales qui ont suivi. La BCR avait relevé son taux directeur à un très haut niveau, à 21%, en octobre dernier pour lutter contre l'inflation et l'avait maintenu à ce niveau jusqu'au mois dernier, lorsqu'elle l'avait ramené à 20%. Les taux d'intérêt exorbitants ont durement touché les entreprises sur fond de pénuries de main-d'œuvre. De grands chefs d'entreprises russes font pression sur la Banque centrale pour qu'elle assouplisse sa politique monétaire. Le régulateur prévoit toutefois que les taux d'intérêt resteront élevés en 2025, n'envisageant une baisse de l'inflation à son objectif de 4% qu'à partir de 2026. Publicité En dépit des sanctions la visant, la Russie a affiché une forte croissance économique en 2024, principalement grâce aux gigantesques dépenses de l'État en matière de défense, qui devraient encore augmenter de près de 30% en 2025. La BCR a dit vendredi prévoir une «croissance modérée de l'activité économique», tout en disant voir les signes d'une meilleure situation sur le marché du travail face aux pénuries de main-d'œuvre. Risque d'aggravation de la dette Les prévisions de croissance de la BCR tournent autour de 1 et 2% en 2025, et entre 0,5 et 1,5% en 2026 alors qu'en 2024 la hausse officielle du PIB avait atteint 4%. Tout coup porté à la croissance aggraverait probablement le déficit du pays, qui a atteint 46 milliards de dollars (1,7 % du PIB) au premier semestre 2025, soit près de 300 % de plus qu'à la même période en 2024. Des législateurs russes ont appelé à un contrôle budgétaire strict et à des mesures d'austérité dès l'année prochaine, la baisse des revenus pétroliers et l'explosion des dépenses militaires tarissant les finances publiques. Les revenus des énergies fossiles russes ont chuté de près d'un cinquième entre janvier et juin, car les prix du pétrole ont diminué sous l'effet conjugué des sanctions visant Moscou, des droits de douane imposés par le président américain Trump et de la hausse de la production d'autres pays producteurs. La gouverneure de la BCR Elvira Nabioullina a assuré vendredi qu'une baisse des prix du pétrole serait «atténuée» par une «règle budgétaire» russe imposant la vente de devises étrangères provenant d'un fonds de réserve prévu à cet effet. Les liquidités de ce fonds ne s'élevaient qu'à 52 milliards de dollars au 1er juillet, soit presque moitié moins par rapport aux plus de 100 milliards de dollars enregistrés peu avant le début de l'offensive en Ukraine en 2022. Si la baisse des prix du pétrole se prolonge, le fonds pourrait ne suffire à compenser les déficits budgétaires que pendant un an, ont averti les économistes de l'Académie russe de l'économie nationale. Moins alarmiste, Alexandre Kolyandr, chercheur au Centre d'analyse des politiques européennes (CEPA) estime que ce problème n'est pas «critique» car Moscou dispose de suffisamment de leviers pour gérer le déficit, notamment l'emprunt intérieur, la réduction des prêts subventionnés par l'État et la vente d'actifs non essentiels. Actuellement, la dette publique russe ne représente qu'environ 20% du PIB, un niveau bien inférieur à celui de la plupart des grandes économies.