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Audiences : TF1 écrase la concurrence avec Jurassic World : le monde d'après

Audiences : TF1 écrase la concurrence avec Jurassic World : le monde d'après

Le Figaro5 days ago
Les audiences du dimanche 6 juillet 2025 pour les programmes diffusés en première partie de soirée.
Dimanche soir, TF1 est arrivée en tête des audiences avec Jurassic World : le monde d'après . Le sixième volet de la série cinématographique Jurassic Park, avec Chris Pratt, Bryce Dallas Howard, Laura Dern et Sam Neill a attiré 3,8 millions de téléspectateurs, soit 25,3 % de part d'audience. France 3 suit avec Vanina : meurtres en Sicile . Le final de la saison 1 de la série dramatique italienne a réuni 3 millions de fidèles, soit 17,6 % de PDA.
Très loin derrière, M6 proposait un nouveau numéro de «Capital». Le magazine présenté par Julien Courbet et consacré aux îles et aux marques bretonnes a intéressé 1,8 million de curieux, soit 11,1 % du public. Au pied du podium, France 2 diffusait Trois fois rien . La comédie portée par Philippe Rebbot et Antoine Bertrand a amusé 1,7 million de personnes, soit 9,9 % de part d'audience.
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Du côté des autres chaînes, TFX a fédéré 622.000 amateurs de football féminin, soit 3,6 % de PDA, avec la retransmission du match d'Euro opposant la Suisse à l'Islande.
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time38 minutes ago

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En un seul coup d'œil, on s'y croirait, plongé dans une case de bande dessinée de Frank Margerin , à discuter attablé à la terrasse du bistrot ou à prendre un verre sur le plateau de Lucien. Le personnage mythique à la banane a retrouvé ses quartiers à Malakoff (Hauts-de-Seine). Sur un mur qui longe la médiathèque dans le centre-ville, l'auteur et illustrateur de la BD « Lucien » signe un croquis original qui rassemble tous les éléments de la banlieue comme il l'aime. Un recoin de gaieté et d'humour qui semble plaire aux passants.

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BONS CONSEILS - Vacances, j'oublie tout ? Peut-être, mais pas les attitudes, les tips, les objets fétiches, les lieux qui font tout le sel de l'été 2025… Petit guide des tendances estivales. Tout doucement La slowcation, ou «les vacances au ralenti», est le nouveau concept qui fait recette. David Roemer La «slowcation» est sur toutes les bouches des pros du marketing des vacances… On peut s'agacer de l'appellation, mais il y a du bon dans l'idée de «vacances au ralenti» : on se garde plein de journées sans autres activités que celle… d'être en vacances. Limiter l'inévitable stress logistique des programmes chargés ? On prend ! On la joue flexible. Certes, il y a un petit rythme (plage le matin, marché le mercredi, padel à la fraîche…), ça rassure certains. Mais il est suffisamment souple pour accueillir les plans last minute. Ainsi, le déjeuner est-il toujours froid pour ne pas devenir un problème si, finalement, on part en bateau…On laisse sans complexes les enfants s'ennuyer. Surtout s'ils sont plusieurs. Au bout de deux ou trois jours, ils commenceront à devenir créatifs, à monter des Olympiades, des spectacles, des petits commerces, à redécouvrir ce bon vieux Risk…On vit ses vacances plutôt que de les poster… Non, ces huîtres au gin et au concombre n'ont pas besoin de figurer illico en story ! Ni vous de partager cette fabuleuse expérience avec d'autres que vos amis IRL (in real life). Les vacances en tête à tête avec…soi-même Il n'y a plus aucune «honte» à avouer qu'on part toute seule. Jordan Siemens / Getty Images Les singles qui en ont assez de squatter chez les copains mariés (et d'échouer dans la chambre des enfants) se rebiffent. Le voyage «Moi d'abord» est une tendance forte (Bali, Cambodge, Thaïlande, chemin de Compostelle…). Il n'y a plus aucune «honte» à avouer qu'on part toute seule. Au contraire, l'envie pointe vite dans les commentaires des amies mères de famille… Rando solo. le guide féministe vient même de paraître (Éditions Gallimard), coupant court aux interrogations du style «faut-il avoir peur de marcher et bivouaquer en pleine forêt ?». Pour celles qui redoutent de se jeter à l'eau en solo, des agences proposent de le faire en microgroupe féminin ( entre autres). Publicité La valise maligne Chaque nouvelle saison a ses astuces. Cette année, on mise sur… 2 ou 3 pyjamas ou pyja-shorts, rayés comme des chemises ou unis dans un coton floqué, dans des couleurs qui permettent de mélanger les sets. Une panoplie à arborer dedans, dehors, de jour, de nuit, avec un jean et un jupon…Beaucoup de modèles chez Uniqlo et Monoprix. De la lingerie qui ralentit le rythme des lessives. Les jolies brassières Under de la marque Akimba, avec leurs renforts absorbants au niveau des aisselles, sont l'arme fatale en cas de grosse chaleur. À porter sous les vestes de pyjama, ouvertes. ( Une taie d'oreiller en soie pour réduire sa trousse de toilette. La soie booste l'hydratation de la peau, cocoone les cheveux et maintient au frais, what else ? ( Un legging de voyage chic : sa technologie à microcapsules active le drainage lymphatique. Plus glam qu'un bas de jogging avec bas de contention ! ( Le cas du Spritz Avec le délicieux Fresh Kiss au pineau des Charentes de Jules Gautret, on retourne à la source des vrais cocktails. Jules Gautret Trop d'Aperol finit-il par tuer l'apéro ? On retourne donc plutôt à la source des vrais cocktails, mais en «premix» (il n'y a pas écrit «bartender» sur notre front bronzé !). Le superbe Negroni de Cravan ou le délicieux Fresh Kiss au pineau des Charentes de Jules Gautret sont là pour ça ( et grande distribution). L'ultralocal ultrapointu Une session Renata sur un chaland du bassin, au large du cap Ferret. Capture d'écran @les_ginette_en_balade / Instagram Aller au bout du monde pour vivre de grands moments ? Trop ringard… Cet été, on cherche l'aventure au coin de la rue, du village, du port, avec : des petites expositions HPI (à haut potentiel insolite). Comme celle du peintre Georges de Pogedaieff, à La Mob, la maison de Dora Maar, dans le Luberon. Un exilé russe oublié au destin et au talent fascinants ( Ou les photographies des années 1920 de la grande voyageuse et poétesse du quotidien Berthe Riou, près de Lorient, sur rendez-vous (en message privé, @manoir_de_kergoat). Des beach clubs de proximité. La cabane de plage cool, où l'on ne s'asperge pas de champagne mais où on boit des IPA devant la mer qui rosit (ou un petit groupe de rock), a vraiment le sens de la fête, elle. Cherchez la vôtre ou essayez le West Bar, à Pirou, dans le Cotentin, et notamment son sandwich aux bulots (@west_bar). Plus branché, on ne voit pas. Des massages exotiques sans bilan carbone (ou presque). Un exemple ? Une session Renata sur un chaland du bassin, au large du cap Ferret. À deux ou à quatre, suivi d'un petit brunch sur l'eau…(@les_ginette_en_balade). Le loisir créatif qui (re)monte… Quand on a épuisé les charmes très relatifs de la teinture végétale, on fait quoi ? On se met à l'aquarelle. La nouvelle vague Quand on a épuisé les charmes très relatifs de la teinture végétale, on fait quoi ? On se met à l'aquarelle. Oui, parfaitement, comme une lady. Il y a forcément un petit cours à proximité. Et puis, avec les magnifiques boîtes de couleurs artisanales La Nouvelle Vague (marque parisienne qui organise aussi des cafés aquarelle), impossible de se rater ( Le débat mode L'heure est grave : peut-on encore porter des «Birks» si tout le monde en a ? Dans le doute, on préfère les Avarcas minorquines. Avarca L'heure est grave : peut-on encore porter des «Birks» si tout le monde en a ? Dans le doute, on préfère les Avarcas minorquines. Lesquelles vont très bien avec le maillot de l'été, rétro, culotte haute, rayures bleu ciel ( Flanqué d'une belle serviette en éponge assortie ( c'est le parfait look old money de la côte Ouest. Le it accessoire grande chaleur Les baluchons isothermes Landja en gabardine beige et sangle de couleur, fabriqués en région parisienne, redonnent tout son charme à l'idée de pique-nique. Lanjda Publicité Une glacière ? Oui. Mais non. Les baluchons isothermes Landja, en gabardine beige et sangle de couleur, fabriqués en région parisienne, redonnent tout son charme à l'idée de pique-nique ( De l'air, de l'air… Les maisons de location à la fraîche, au bord d'un cours d'eau à la campagne, nichées dans la canopée landaise ou dans le parc national du Perche, ont la cote. Service Presse Spectre de la canicule oblige, les maisons de location à la fraîche, au bord d'un cours d'eau à la campagne, nichées dans la canopée landaise ou dans le parc national du Perche, ont la cote. Le très élégant site recèle de nombreuses pépites, loin des sentiers battus surchauffés. Son fil Instagram signale en outre les annulations, toujours bon à savoir pour les retardataires ! Le mot à retenir Selon une récente étude Klarna, les vacances dites «sportives» – qui sentent bon l'UCPA – ont un nouveau nom, la «fitcation.» Plus classe que de dire qu'on s'est inscrit à un stage de kite au Maroc ! Le sport L'élu est le… ping-pong, bien sûr ! Un an après les Jeux olympiques parisiens, l'effet Lebrun n'en finit pas de faire des émules, notamment chez les préados. L'occasion de ressortir la table qui végétait dans la grange et d'organiser des tournois intergénérations de «ping.» Laissez tomber l'appellation «tennis de table», plus personne n'a cette ref… Les 2 ingrédients hot Des kilos de harissa à la rose Belazu, le condiment épicé qui décoiffe tout, palourdes, pâtes, légumes grillés… n.d. Pour survivre aux grandes tablées, il vous faudra désormais des mètres de pâte filo à froisser pour les tartes salées (recettes Insta : #crinkletart). Et des kilos de harissa à la rose Belazu, le condiment épicé qui décoiffe tout, palourdes, pâtes, légumes grillés… Les red flags de vie en tribu On parle trop souvent de red flags en amour, mais rarement en amitié, quand il s'agit pourtant de partager une maison quinze jours. Laure Bernard / Service Presse Publicité On parle trop souvent de red flags en amour, mais rarement en amitié, quand il s'agit pourtant de partager une maison quinze jours. Une inversion systématique de fouta est un éternel casus belli. Mais d'autres existent… Exigence food ? La spécialité de l'un, c'est la salade de riz au maïs en boîte ? Celle d'une autre, les nouilles soba aux fleurs de cerisier avec radis mandoliné ? Ça va pas le faire. La spécialité de l'un, c'est la salade de riz au maïs en boîte ? Celle d'une autre, les nouilles soba aux fleurs de cerisier avec radis mandoliné ? Ça va pas le faire. Niveau de lifestyle ? Elle devient hystérique quand « son » patio blanc disparaît sous les habits et baskets en vrac, profanant sa vision du monde ? Il se moque de boire dans des verres à moutarde Cendrillon… Ça va bientôt clasher ! Elle devient hystérique quand « son » patio blanc disparaît sous les habits et baskets en vrac, profanant sa vision du monde ? Il se moque de boire dans des verres à moutarde Cendrillon… Ça va bientôt clasher ! Élevage des enfants ? Parents Montessori, Guettossori, « Positifs » …, c'est fou comme c'est clivant, les «méthodes» éducatives… Parents Montessori, Guettossori, « Positifs » …, c'est fou comme c'est clivant, les «méthodes» éducatives… L'IA ? Le recours systématique des uns à Perplexity pour tout ? Versus le petit guide papier snob des autres, avec adresses «secrètes» ? Deux mondes s'affrontent.

L'univers Ghibli, contrepoint idéal à la pop culture américaine
L'univers Ghibli, contrepoint idéal à la pop culture américaine

Le Figaro

time40 minutes ago

  • Le Figaro

L'univers Ghibli, contrepoint idéal à la pop culture américaine

La plateforme de streaming gratuite de France Télévisions meuble son été avec des œuvres choisies dans le catalogue merveilleux du studio japonais. « Je n'ai jamais rien vu de plus féerique, de plus rassurant ou de plus impressionnant que les films de Miyazaki », note Antoine, 13 ans, adepte de cinéma d'animation depuis sa première sortie au cinéma. Il avait alors 3 ans. Le film ? Mon voisin Totoro, une ode à la nature et à l'enfance sur fond de Japon rural des années 1950. Un père anthropologue, une mère à l'hôpital, deux petites filles de 10 et 4 ans, une petite vieille fripée comme la peau d'une pomme, des « noiraudes », et à l'orée de la forêt qui borde la maison, un immense camphrier dans le tronc duquel vit une créature à la fois monstrueuse et merveilleuse, auprès de laquelle la petite Mei va trouver le réconfort nécessaire à l'absence de sa maman. Deuxième film du Studio Ghibli, cofondé en 1985 par Hayao Miyazaki et Isao Takahata, Mon voisin Totoro (1988) a été montré en France pour la première fois en 1993 au Festival d'Annecy où il a été accueilli avec le même enthousiasme que celui du jeune Antoine. De la production audiovisuelle japonaise, le public français ne connaissait jusque-là pas grand-chose, la résumant, d'un côté, aux films intellos d'Ozu et de Kurosawa, de l'autre, aux bluettes interstellaires et juvéniles du « Club Dorothée ». De Nausicaa (1985), Le Château dans le ciel (1986), à Ponyo sur la falaise (2008) en passant par le sublime Princesse Mononoké (1997), Le Voyage de Chihiro (2001) et Arrietty, le petit monde des chapardeurs (2010), les créations du Studio Ghibli s'imposent d'emblée comme des chefs-d'œuvre d'animation tous publics, mais aussi comme des clés d'entrée à la culture japonaise, si particulière, et comme le contrepoint idéal à la pop culture américaine, en l'espèce les films Disney. Publicité En harmonie avec la nature Non que ces derniers soient dénués d'intérêt. Inspirés des contes et légendes occidentales (Charles Perrault, les frères Grimm…), ils s'emploient à peindre le monde et à transmettre aux enfants les notions de travail, de famille, d'engagement, de solidarité et de courage. Autant de valeurs essentielles au mythe fondateur américain. Les films Ghibli racontent peu ou prou les mêmes histoires. Elles sont universelles. S'y ajoutent toutefois une spiritualité et une poésie que les films Disney ne recherchent pas, peut-être par volonté de gagner le cœur du plus grand nombre. Cela tient à l'utilisation de la 2D réalisée à la main, proche des dessins japonais traditionnels. À la fascination de l'Occident pour une mythologie foisonnante et omniprésente. Et au postulat des films Ghibli, toujours le même. « L'intérêt ne porte pas seulement sur les relations entre humains. Le monde dans son ensemble, autrement dit les paysages, le temps qu'il fait, la lumière, les plantes, l'eau, le vent, tout cela est magnifique et je fais tout mon possible pour que cela soit inclus dans nos films. », dit le maître Hayao Miyazaki dans une rare interview. La nature et les écosystèmes sont des motifs récurrents. Lorsqu'on l'exploite ou la souille, elle se rebelle et provoque la destruction. On n'oublie pas que le Japon est un pays de séismes. On n'oublie pas non plus qu'il est le seul à avoir jamais subi les ravages d'une atomisation. Ce dont témoigne le mythe de Godzilla ou Gojira. Plus sensible qu'autrefois. Désireux de s'ouvrir à d'autres chants du monde, le public a mordu aux appâts. Le succès des films Ghibli est planétaire. Le Studio a désormais son parc d'attractions. Et les plateformes s'arrachent les droits de diffusion de son catalogue. Dont qui cet été diffuse une demi-douzaine de références, ainsi qu'un joli documentaire.

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