
Football : à la veille de ses débuts en Liga, Levante ne compte que dix joueurs inscrits et pas de gardien
Pire, la section « gardiens » affiche complètement vide. Pour l'instant, aucun portier n'est enregistré pour défendre les cages du club de Valence. Embêté par le fair-play financier, Levante n'a pour l'instant pas pu enregistrer ses dernières recrues (Goduine Koyalipou, Alan Matturro, Manu Sanchez, Matias Moreno ou encore Kervin Arriaga).
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Le Figaro
27 minutes ago
- Le Figaro
Ligue 1 : l'OM avec Weah et Aubameyang mais sans Medina et Paixão pour affronter le Stade rennais FC
Face aux Rouge et Noir, ce vendredi soir (20h45), Roberto De Zerbi pourra compter sur Timothy Weah et Pierre-Emerick Aubameyang. Mais pas sur Facundo Medina, suspendu, et Igor Paixão, blessé. Presque au complet. Pour son début de saison – et l'ouverture du championnat – face au Stade rennais FC, ce vendredi soir (20 heures 45), l'Olympique de Marseille pourra compter sur la quasi-totalité de ses recrues estivales, et plus généralement sur l'ensemble de ses joueurs. En effet, les Phocéens viennent de dévoiler leur groupe de vingt et un joueurs. Y figurent les cadres habituels tels que Gerónimo Rulli, Leonardo Balerdi, Pierre-Emile Højbjerg, Adrien Rabiot ou encore Mason Greenwood. Mais aussi CJ Egan-Riley, Angel Gomes, Timothy Weah et Pierre-Emerick Aubameyang, tous arrivés sur la Canebière cet été. À lire aussi Ligue 1 : stabilité, recrutement prometteur, (grandes) ambitions...L'OM de Roberto De Zerbi lance sa saison à Rennes Publicité En revanche, Roberto De Zerbi devra faire sans l'ex-Lensois Facundo Medina, suspendu, et Igor Paixão, blessé. À noter que les jeunes Darryl Bakola et Robinio Vaz font partie du voyage en Bretagne, mais pas Neal Maupay, dont l'avenir à Marseille est désormais plus qu'incertain.

L'Équipe
an hour ago
- L'Équipe
« J'ai attendu deux ou trois heures dans ma voiture sur le parking » : avant de retrouver l'OL, Pierre Sage se confie sur les moments forts de sa carrière
Alors qu'il va recroiser l'OL dès la première journée de Ligue 1, ce samedi (17 heures), Pierre Sage, le nouvel entraîneur de Lens, passe en revue sa carrière au filtre de ses premières expériences, du foot amateur au monde professionnel. Mercredi 30 juillet, Lens s'impose en amical face à Wolverhampton (3-1) à Walsall. Le lendemain, en fin d'après-midi, à l'issue d'une séance d'entraînement variée, Pierre Sage nous a longuement reçus dans le hall de l'hôtel Hilton du centre d'entraînement national anglais, où les Artésiens terminaient leur stage estival. Le nouvel entraîneur des Sang et Or y a déroulé le fil de sa carrière, de ses premières séances chez les amateurs à son arrivée dans le Nord, en passant par son expérience mouvementée à la tête de l'OL, qu'il retrouve dès ce samedi (17 heures) à l'occasion de la reprise de la Ligue 1. Lens-OL, le match du destin pour Pierre Sage Le jour où... il a compris qu'il ne serait pas professionnel « J'adore l'entraînement. Préparer, animer les séances, les suivre quand je les délègue au staff » « À 15-16 ans, j'étais gardien d'un bon niveau régional, après un essai non concluant à Louhans-Cuiseaux (alors en D2). Avec les jeunes, je me suis découvert un appétit pour l'encadrement. J'ai passé des formations, des études universitaires dans ce sens. Je n'ai pas arrêté depuis trente ans. J'adore l'entraînement. Préparer, animer les séances, les suivre quand je les délègue au staff. La compétition n'est qu'une finalité. Ce qui me stimule, c'est le processus de développement du jeu, des ressources, des compétences. » Le jour où... il a quitté Belley (Ain), où il est resté des années « Un déchirement parce qu'on a l'impression de quitter une ville de 8 000 habitants dans laquelle on a toujours vécu » « En 1998. J'ai fait la première année de DEUG Staps à l'UFR de Lyon. Ça a été un déchirement parce qu'on a l'impression de quitter une ville de 8 000 habitants dans laquelle on a toujours vécu. Mais aussi un soulagement et une libération de l'esprit de se dire qu'on se donne de nouvelles perspectives dans sa vie en s'ouvrant sur de grandes métropoles. C'est ma plus grande richesse aujourd'hui. » Le jour où... il a rencontré Habib Beye « On a rapidement été connectés en termes d'idées sur le jeu, l'entraînement, la vie » « J'ai été contacté en novembre (2021) par son agence qui cherchait un adjoint (Beye était l'entraîneur du Red Star, alors en National). J'ai repoussé l'offre parce que j'étais bien au centre de formation de l'OL. Mais j'avais laissé la porte ouverte. L'entraînement des seniors m'intéressait. On s'est rencontrés début décembre. Ça a été décisif. C'est un ancien joueur, un consultant que je suivais. On a rapidement été connectés en termes d'idées sur le jeu, l'entraînement, la vie de manière plus générale. J'ai accéléré le processus et revu ma position initiale. » Le jour où... il a fait la connaissance de John Textor « Il avait apprécié ma manière de voir les choses » « C'était à l'Académie. Un quart d'heure avant, j'apprends qu'il veut la visiter. C'était un accueil improvisé, mais plutôt bien mené. On a rencontré un joueur d'origine américaine qu'on avait dans l'effectif. Ce jour-là, on croise la mère de Rayan Cherki venue inscrire un de ses petits frères. Ils ont eu une discussion sympa. J'ai servi d'interprète. On a parlé une heure de foot dans mon bureau. Il avait apprécié ma manière de voir les choses. Il était venu comprendre l'Académie, découvrir les personnes et les différentes activités. » Le jour où... il a appris qu'il devenait l'entraîneur de l'OL « Fabio ne comprenait pas la procédure. Ils ont eu du mal à le faire partir » « Il y avait eu une alerte au moment où Laurent Blanc avait été débarqué (en septembre 2023), juste avant que Fabio Grosso n'arrive. Jean-François Vulliez avait fait l'intérim contre Le Havre (0-0). Mon nom avait beaucoup circulé. Mais ça n'avait pas abouti. Le lendemain de la défaite à domicile contre Lille (0-2, le 26 novembre 2023), John Textor me demande d'aider le coach tactiquement. Je réponds qu'il n'acceptera pas d'être aidé par un coach qu'il ne connaît pas. On en reste là. Deux jours plus tard, on m'informe que Fabio Grosso est mis à pied. Je dois prendre la séance du lendemain, préparer le match à Lens (2-3, le 2 décembre). Je n'ai pas dormi de la nuit. J'ai regardé les matches de Lens pour préparer l'entraînement. Je me suis présenté au club à l'heure annoncée. Fabio ne comprenait pas la procédure. Ils ont eu du mal à le faire partir. La séance a été annulée. J'ai attendu deux ou trois heures dans ma voiture sur le parking. On s'est entraîné l'après-midi. » Le jour où... il a pris en main un groupe professionnel « Je leur ai dit : ''Je ne vais pas perdre de temps à me présenter, puisque de toute façon, vous ne me connaissez pas'' » « À l'OL, j'ai été face à des joueurs que je connaissais très bien, sans qu'ils ne puissent savoir qui j'étais, même si j'étais à ce moment-là le directeur du centre de formation, parce que l'organisation géographique du club fait qu'il est difficile de se croiser. Je leur ai dit : ''Écoutez, je ne vais pas perdre de temps à me présenter, puisque de toute façon, vous ne me connaissez pas. Donc, parlons tout de suite du match à Lens que nous devons préparer (deux jours plus tard).'' » Le jour où... il a gagné pour la première fois avec l'OL « Un soulagement, parce que j'étais en sursis permanent » « Contre Toulouse (3-0, le 10 décembre 2023). Un soulagement, parce que j'étais en sursis permanent. Sans être sûr qu'il y aurait une réduction de peine issue du jugement, puisque le club cherchait un coach. Après 14 journées et 7 points, c'était statistiquement impossible de se maintenir. Il ne fallait pas trop traîner. Ce premier succès avait été essentiel, même si on avait beaucoup souffert. D'ailleurs, Anthony Lopes repousse un penalty. » Le jour où... il a annoncé à Anthony Lopes qu'il ne serait plus titulaire « Je pense qu'il m'en a voulu, estimant que je n'avais pas décidé » « Il y a eu des premières fois. En Coupe de France, le jeu des rotations avait été compris. Après, il y a eu la finale contre le PSG (1-2, le 25 mai 2024) qu'il ne jouerait pas. Je pense clairement qu'il m'en a voulu, estimant que je n'avais pas décidé. Il a fallu que j'éclaircisse sa situation en juillet. J'avais été très clair. C'était une décision contractuelle. On ne remettait pas en cause ses performances. Il a accepté, même si c'était difficile à gérer. Il est resté et a eu une attitude très professionnelle. Il ne voulait pas remettre en cause ses années à l'OL avec un mauvais comportement. » Le jour où... il a appris que Paulo Fonseca était sollicité alors qu'il était en poste « C'est un peu l'histoire de ma vie de coach amateur qui a eu cette opportunité » « Ils étaient déjà en contact avec lui, même quand il était à Lille, en décembre 2023. Il n'avait pas dû donner suite parce qu'il était sous contrat. Son nom, malgré tout, circulait encore dans la période où on a fait notre remontée et notre finale de Coupe de France. J'ai été reconduit parce qu'on a fait quelque chose d'extraordinaire. Dans la tête de John Textor, Paulo Fonseca était l'option numéro un. C'était un désaveu. Mais c'est un peu l'histoire de ma vie de coach amateur qui a eu cette opportunité. Je ne me considérais pas être dans la même cour que ces gens-là. On m'a donné cette chance. Je l'ai saisie. Quand on est l'OL, on a besoin d'un profil comme Paulo Fonseca pour les investisseurs, donner de la consistance au projet. C'est beaucoup plus parlant que l'ancien directeur de l'Académie, ex-éducateur amateur et illustre inconnu. » Fonseca : « Ce match, ce n'est pas Pierre contre Paulo » Le jour où... il a appris qu'il était viré « J'ai récupéré ma lettre de mise à pied et on m'a dit : ''Ecoute, John est sur Lyon et veut te voir'' » « Il y avait des bruits dans la semaine. On parlait d'ultimatum après notre nul à Fenerbahçe (0-0, le 23 janvier en Ligue Europa). J'ai fait en sorte qu'on fasse un bon résultat là-bas. On va faire nul à Nantes (1-1, le 26 janvier). Le lendemain, j'étais de repos mais je suis quand même allé au club chercher ma lettre de mise à pied qu'on ne m'avait pas promis. Je l'ai récupérée ce soir-là. On m'a dit : ''Écoute, John est sur Lyon et il veut te voir''. Tous les entraîneurs qu'il avait sortis auparavant, il ne les avait jamais rencontrés. J'étais content qu'il veuille me voir, déjà pour assumer la chose, mais aussi pour le remercier de m'avoir donné ma chance. Cette décision était complètement indépendante du résultat à Nantes. J'ai appris après que Fonseca avait dit clairement qu'il avait vu jouer l'OL lors du match contre Montpellier (1-0) le 5 janvier. Il était déjà en contact avec le club. À partir du moment où il avait été sorti de l'AC Milan, il a rapidement été appelé pour reprendre le club. » Le jour où... il a été dans l'attente d'un poste « On était dans l'idée de rester en France, dans un club qui ressemble à l'OL. Ou de s'ouvrir à l'étranger » « Après mon départ de l'OL, Rennes cherchait un entraîneur. Mais le club était déjà d'accord avec Habib (Beye). Ça a été calme pendant trois mois. J'étais plus dans l'idée de bien gérer ma sortie de Lyon, assez compliquée. Il n'y avait pas forcément de tension, mais c'était très long. Les demandes étaient traitées avec beaucoup de temps. J'ai toujours eu des interlocuteurs. Il n'y a pas eu d'animosité, ni contentieux ou rancoeur. Juste une procédure qui a capté du temps et qui est maintenant terminée. C'est un accord amiable. Ensuite, j'ai eu de premiers contacts avec des clubs, certains ont été vite balayés (Golfe). Mon agent a géré. On était dans l'idée de rester en France, dans un club qui ressemble à l'OL. Ou de s'ouvrir à l'étranger. J'ai apprécié les contacts avec Lens. Les choses ont été rapides. C'est souvent un gage d'intérêt réciproque. » Le jour où... il a dit oui à Lens « J'ai surtout besoin d'évaluer les personnes avec qui je vais travailler en proximité » « C'était une évidence. Je viens de la formation. Je n'ai pas une ambition démesurée. Je ne veux pas consommer des contrats. Avec ces valeurs, les gens se sont dit que cela correspondrait au RC Lens. Un club familial et populaire qui ressemble beaucoup aux clubs anglais. Du coup, j'ai perçu ce mariage comme ça. Autour de la table avec Jean-Louis Leca (directeur sportif) et Benjamin Parrot (directeur général), ça a matché tout de suite. Je sais dérouler mes idées. Mais j'ai surtout besoin d'évaluer les personnes avec qui je vais travailler en proximité. J'avais aussi été impressionné par l'intervention de Joseph Oughourlian lors des échanges autour des droits télés révélés par la presse. Quand il a pris la parole, il a élevé le débat. C'est pour ça que j'ai eu une certaine affection par rapport à ce qu'il représentait ce jour-là. Je n'ai pas fait un choix d'argent. Je me considère jeune entraîneur. Je suis dans la logique d'un projet et de performance. Ma situation à Lens est différente de Lyon sur le plan financier. » Le guide de la Ligue 1 : Lens a tout changé et compte sur Thauvin


L'Équipe
an hour ago
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Les Bleus sans Vincent Poirier ni Zaccharie Risacher face à l'Espagne samedi
Pour sa deuxième rencontre amicale face à l'Espagne, samedi à Paris, l'équipe de France se présentera sans Vincent Poirier ni Zaccharie Risacher, laissés au repos pour des soucis physiques. Frédéric Fauthoux a dévoilé la liste des douze joueurs qui affronteront l'Espagne, pour un deuxième match amical en trois jours, ce samedi à l'Accor Arena de Paris (21h, en direct sur la chaîne L'Équipe). Les Bleus évolueront sans Vincent Poirier ni Zaccharie Risacher, laissés au repos le temps d'évaluer leur soucis physiques. Le premier, visiblement gêné jeudi soir en Espagne, avant d'être remplacé, doit passer des examens médicaux au genou droit. Le second est victime d'une contusion musculaire au coude droit. Jeudi, à Badalone, les vice-champions olympiques étaient venus à bout des Espagnols pour la première fois en onze ans (75-67). Ils disputeront un dernier match de préparation en Grèce, le 24 août, avant d'entamer l'Euro (27 août au 14 septembre) à Katowice, en Pologne, le 28 face à la Belgique.