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« Ça ne peut plus durer » : à Paris, les plaques de rue historiques sont-elles volontairement remplacées ?

« Ça ne peut plus durer » : à Paris, les plaques de rue historiques sont-elles volontairement remplacées ?

Le Parisiena day ago
Paris
en compte des dizaines de milliers. Des plaques de rue, d'avenues, de boulevards ou des places, devenues un symbole de la capitale, copiées et recopiées dans les boutiques de souvenirs qui ravissent les touristes venus y passer quelques jours.
Ces plaques mythiques, Anne-Élizabeth Rouault y tient. Depuis maintenant trois ans, elle s'inquiète du remplacement de ces rectangles, vieux du XIXe siècle pour les plus anciens, par des modèles plus récents.
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Ne pas se maquiller au premier rendez-vous amoureux : la tendance qui séduit les jeunes célibataires
Ne pas se maquiller au premier rendez-vous amoureux : la tendance qui séduit les jeunes célibataires

Le Figaro

timean hour ago

  • Le Figaro

Ne pas se maquiller au premier rendez-vous amoureux : la tendance qui séduit les jeunes célibataires

Se montrer telle que l'on est, avec ses cernes et sans mascara : sur TikTok, la jeune génération revendique le naturel pour une première rencontre amoureuse. Une façon de s'affranchir des injonctions au maquillage et de tester une relation sous le signe de l'authenticité. Pamela Anderson n'est pas seule à s'émanciper du maquillage. Sur les réseaux sociaux, une tendance incite les femmes à arriver au premier rendez-vous sans make-up. L'objectif ? Briser les diktats, mais aussi s'assurer que l'autre s'intéresse à elles sans artifice, avant de déployer - si elles le souhaitent - leur plein potentiel beauté. «J'y suis allée sans maquillage… et il est devenu mon mari» Sur TikTok, les témoignages affluent Outre-Atlantique. «Quelqu'un m'a dit cette semaine d'aller à un premier rendez-vous sans maquillage, puis d'en ajouter progressivement aux prochains», confie une jeune femme dénommée Kara, dans une vidéo qui cumule plus de 12 millions de vues et près de 2 millions de mentions «J'aime». «C'est tellement effrayant de penser que je n'ai jamais eu de rendez-vous sans maquillage», admet-elle en légende de sa publication qui a lancé un vif débat dans les commentaires. @karatheworstt lowkey so scary ive never done a date with no makeup original sound - Publicité Certaines internautes racontent avoir adopté la méthode avec succès : «Je l'ai fait quand j'ai rencontré mon mari. J'ai opté pour mes cheveux naturels et je n'ai pas mis de maquillage. (...) Je l'ai fait parce que je voulais qu'il me voie telle que je suis et qu'il m'apprécie telle que je suis 90 % du temps. (...) Ça a marché», «Je l'ai déjà fait ! Au premier rendez-vous, il faut s'habiller simplement et voir comment on vous accepte. On ne peut pas servir un plat à quelqu'un s'il n'aime pas l'entrée», «Je l'ai fait avec mon petit ami au premier rendez-vous, j'y suis allée en leggings et en t-shirt, visage nu. Aux rendez-vous suivants, j'ai commencé à me pomponner petit à petit comme je le fais au quotidien, je voulais m'assurer qu'il pensait que j'étais jolie dans mon état le plus décontracté», «Je suis allée à un premier rendez-vous sans maquillage et en jogging. Devinez quoi… il est maintenant mon futur mari», lit-on parmi les anecdotes. «Je me maquillerai quand ils le mériteront» Pour d'autres, il s'agit surtout de renverser la logique habituelle. Ne pas s'épuiser à se préparer pour un inconnu, mais réserver le glamour pour plus tard, lorsque l'intérêt sera réciproque. «Premièrement, je n'en ai pas envie. Deuxièmement, pas besoin de démaquillage. Et troisièmement, si je décide qu'il me plaît, au prochain rendez-vous, je me maquillerai pour l'impressionner», confie une jeune créatrice de contenu nommée @americanfille, dont la vidéo dépasse les 15.000 mentions «J'aime» sur TikTok. Un point de vue partagé par les pros des pinceaux. «Ne gaspille pas ton maquillage. Ils doivent mériter ce glamour», «Je ne me maquille jamais au premier rendez-vous parce que je me dis : "S'il ne me veut pas sans maquillage, il ne me mérite pas avec"», «Je me maquille quand je commence à l'apprécier... Je ne peux pas gaspiller un fond de teint onéreux pour certains», «Je fais toujours les premiers rendez-vous sans maquillage, sans effort, et puis quand je commence à les aimer un peu, je dis : "Emmène-moi dans un endroit sympa où il faut s'apprêter"», défendent-elles sur la plateforme. Une tendance pour (ré)apprendre à s'accepter Phénomène frivole ou véritable élan libérateur ? Selon la psychologue clinicienne Janine O'Brien, ce mouvement pourrait bien renforcer la confiance en soi et poser les bases d'une relation saine : «Si quelqu'un perd son intérêt pour vous parce que vous n'étiez pas maquillée, c'est une information utile», explique-t-elle dans une interview au magazine américain Bustle . «C'est aussi un exercice efficace pour guérir du perfectionnisme, du people pleasing ou d'un attachement anxieux. Cela transmet à votre partenaire un signe de confiance en soi, d'acceptation de soi et d'authenticité. Et cela peut donner le ton à une relation où vous n'aurez pas peur de vous montrer pleinement.» Mais tout le monde n'adhère pas, comme l'illustrent certains messages réfractaires sous la vidéo de Kara. «Je comprends la vision, mais j'ai trop peur d'essayer», «C'est plus facile quand on a un visage parfait sans maquillage ! Vous n'en avez pas besoin !», «Je me maquille parce que j'ai des cicatrices d'acné et des cernes. Toi tu es parfaite», «Si j'étais aussi jolie que toi, je ne me maquillerais plus jamais», déplorent quelques personnes, rappelant que l'injonction inverse peut être tout aussi pesante. Une Française sur trois estime qu'apparaître sans maquillage en public est un signe de laisser-aller Étude Ifop pour le label Slow Cosmétique, 2020 Publicité Certaines ont aussi eu besoin de rappeler que le vrai sujet n'est pas de séduire sans maquillage, mais avant tout de choisir pour soi : «Je me fiche complètement de ce que les hommes préfèrent. S'ils préfèrent quelqu'un qui ne se maquille pas, ils peuvent trouver ça bien, mais je ne vais pas m'empêcher de faire quelque chose à cause de la façon dont ils pourraient me percevoir», tranche une internaute. Une autre insiste : «Pourquoi agissons-nous comme si le maquillage était un masque transformateur fou ? Présentez-vous comme vous le souhaitez.» Une résonance avec la «charge esthétique» Des conversations qui rappellent un autre débat devenu viral l'année dernière : celui des femmes réclamant que les hommes paient l'addition au premier rendez-vous pour compenser le coût et le temps investis dans leur mise en beauté. Une «charge esthétique» que la tendance no make-up remet, une fois de plus, en question. À lire aussi «Les hommes devraient toujours payer le premier rendez-vous» : sur Tiktok, ces vidéos virales sur la «charge mentale esthétique» En France, la vague s'installe doucement : selon une étude de l'Ifop, seules 21 % des Françaises disent se maquiller au quotidien (contre 42 % en 2017). En toile de fond : le désir d'une beauté plus naturelle et d'une peau saine post-confinement. Pourtant, un tiers des femmes estiment encore qu'apparaître sans maquillage en public reste perçu comme un signe de laisser-aller, surtout en soirée (33%) et au restaurant (28%).

Disparition de Delphine Jubillar : pourquoi la justice décide de rouvrir l'enquête
Disparition de Delphine Jubillar : pourquoi la justice décide de rouvrir l'enquête

Le Parisien

timean hour ago

  • Le Parisien

Disparition de Delphine Jubillar : pourquoi la justice décide de rouvrir l'enquête

À deux mois de l'ouverture du procès de Cédric Jubillar devant la cour d'assises du Tarn , prévue le 22 septembre, la Justice vient de décider ce lundi 21 juillet de l'ouverture d'un supplément d'information afin de percer peut-être le mystère qui enveloppe toujours la disparition de Delphine Jubillar en décembre 2020. Ce cadre juridique doit permettre de procéder à l'audition de la dernière petite amie en date de l'accusé afin qu'elle répète les propos que lui aurait tenus Cédric Jubillar ces derniers mois au cours de parloirs à la prison de Toulouse-Seysses (Haute-Garonne). Cette audition libre doit se dérouler dans le courant de cette semaine.

Avant "Le Serpent", Tahar Rahim et Charles Sobhraj avaient déjà un lien
Avant "Le Serpent", Tahar Rahim et Charles Sobhraj avaient déjà un lien

Le HuffPost France

timean hour ago

  • Le HuffPost France

Avant "Le Serpent", Tahar Rahim et Charles Sobhraj avaient déjà un lien

SÉRIES - À la croisée du 'true crime' et du thriller, la série Netflix Le Serpent est diffusée sur France 2 à partir de ce lundi 21 juillet, Et elle risque de captiver les sériephiles. Et pour cause, les huit épisodes coproduits par la BBC racontent l'histoire (vraie) de Charles Sobhraj, incarné par un Tahar Rahim glacial et manipulateur. Ce tueur en série français est l'auteur de nombreux meurtres de touristes en Asie du Sud-Est dans les années 1970. Se faisant passer pour un négociant en pierres précieuses, Charles Sobhraj et sa compagne Marie-Andrée Leclerc (Jenna Coleman) voyagent à travers la Thaïlande, le Népal et l'Inde entre 1975 et 1976, commettant en chemin une série de crimes sur le 'Hippie Trail' asiatique. Leur mode opératoire? Se lier d'amitié avec des 'backpackers' avides d'aventure puis les droguer pour leur dérober argent et bijoux, et finalement les tuer. Prendre les traits d'un serial killer alors que de nombreux protagonistes de l'affaire et familles de victimes sont toujours de ce monde aurait pu être un terrain dangereux pour un acteur. Mais si Tahar Rahim a immédiatement accepté ce rôle, c'est parce qu'il avait un lien particulier avec l'histoire de Charles Sobhraj. 'Après avoir lu ce livre, je me suis dit: 'Je veux jouer ce gars'' ' J'avais 16 ans lorsque mon frère lisait ce livre - ce gros livre épais près de son lit, et il était tellement dedans. C'était The life and crimes of Charles Sobhraj... alors je l'ai lu aussi, et il m'a fasciné ', se souvenait le comédien dans les notes de production de la série sortie en 2021. ' Je crois qu'en tant qu'être humain, nous sommes fascinés par - dans ce cas - les tueurs, mais aussi par le mal en général. C'est autant de la fascination que de la répulsion. J'étais un jeune homme qui voulait être acteur et après avoir lu ce livre, je me suis dit: 'Je veux jouer ce gars '.' Sorti en 1979, ce livre signé par Richard Neville et Julie Clarke est l'un des ouvrages de référence sur la vie Charles Sobhraj. Les deux journalistes australiens ont mené une enquête fouillée et notamment interviewé le tueur en série alors qu'il était en attente de son procès en Inde deux ans plus tôt, un entretien au cours duquel il livre toute une série de détails sordides sur ses crimes. Tahar Rahim, le parfait Charles Sobhraj Il y a quelques années de ça, au moment de rencontrer les coproducteurs Tom Shankland et Richard Warlow pour ce rôle, le Français leur a parlé de cette lecture adolescente et de son envie de jouer Charles Sobhraj. Avant de découvrir sur le tournage que les deux hommes n'avaient pas su dire s'il disait vrai ou non... ' Quand j'en ai rediscuté avec Tom récemment, il m'a dit qu'il ne savait pas si j'avais menti ou non, mais qu'il s'était dit: 'Ce gars est notre Charles, parce qu'on ne sait jamais s'il ment ou non, mais on le croit.′ Mais je ne mentais pas! ', raconte Tahar Rahim. Le réalisateur Tom Shankland avait quant à lui brièvement entendu parler de l'histoire de Charles Sobhraj lors d'un voyage au Népal, à l'époque où il perpétrait ses crimes. Mais il n'avait pas intégré la réalité de son parcours meurtrier. Ce n'est que quelques années plus tard, en se remémorant ce souvenir, qu'il est tombé sur le même livre, The life and crimes of Charles Sobhraj ' Je ne pouvais pas croire ce que je lisais! Il y avait tellement de choses dans cette histoire qui m'intriguaient... Sobhraj évidemment, Marie-Andrée et Ajay, mais aussi les esprits poignants, et aventuriers de ses victimes, et bien sûr, le remarquable, calme et héroïsme de personne comme Herman, Angela et Nadine ', détaille le Britannique. Car le point de la vue de la série n'est pas uniquement du côté de Charles Sobhraj, qui a en grande partie orchestré la construction de sa légende à travers les nombreuses interviews qu'il a données à la télévision, dans des livres ou des documentaires. Le Serpent fait le pari de se placer aussi et surtout du point de vue du diplomate hollandais Herman Knippenberg et de sa femme de l'époque Angela, qui ont mené une enquête périlleuse lorsque la police thaïlandaise rechignait à s'en mêler. Toujours vivants aujourd'hui, tous deux ont largement raconté ces événements en détail aux créateurs de la série diffusée à partir de ce lundi 21 juillet sur France 2.

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