logo
Trois millions d'habitants appelés à évacuer après des pluies torrentielles au Japon

Trois millions d'habitants appelés à évacuer après des pluies torrentielles au Japon

24 Heures6 days ago
Plus de 37 centimètres de précipitations sont tombés en six heures lundi sur la ville de Tamana dans le sud-ouest du pays. Les autorités redoutent d'autres catastrophes.
Publié aujourd'hui à 14h34
Des maisons, des magasins et des véhicules sont envahis par des eaux d'environ un mètre de haut dans la préfecture de Kumamoto.
Kyodo News via AP
Les autorités nippones ont appelé lundi plusieurs millions de personnes à évacuer leur domicile en raison d'inondations et de glissements de terrain survenus après des pluies violentes dans le sud-ouest du Japon qui ont fait plusieurs disparus.
Des images de la télévision nippone montrent plusieurs zones de la préfecture de Kumamoto où des maisons, des magasins et des véhicules sont envahis par des eaux d'environ un mètre de haut.
En six heures lundi matin, plus de 37 centimètres de précipitations sont tombés sur la ville de Tamana, la plus touchée par la pluie, un record au niveau local, selon l'agence météorologique japonaise.
À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe.
«La situation présente un danger mortel et la sécurité doit être assurée immédiatement», ont averti les météorologues, ajoutant qu'«une vigilance maximale [était] requise». Des sols «affaiblis»
Au total, des avertissements et appels à évacuer ont été émis pour plus de 3 millions d'habitants de régions du sud-ouest du Japon, selon l'Agence de gestion des incendies et des catastrophes. Quelque 384'000 personnes résidant pour la plupart dans le Kumamoto font l'objet du plus haut niveau d'alerte, de même source.
Bien que les fortes pluies aient diminué dans cette zone, des fronts pluvieux actifs pourraient toucher d'autres régions du Japon à tout moment, a déclaré lors d'une conférence de presse Shuichi Tachihara, un responsable de l'agence météorologique nationale.
«Les fortes pluies qui se sont abattues jusqu'à présent ont affaibli le sol dans certaines zones et provoqué une montée du niveau de l'eau dans certaines rivières», a-t-il ajouté.
Des maisons sont inondées à Tensuimachi Oama, dans la préfecture de Kumamoto, sur l'île de Kyushu, au sud-ouest du Japon, le 11 août 2025.
keystone-sda.ch
«Le risque de catastrophes pourrait augmenter à nouveau à l'avenir, même si les précipitations diminuent», a-t-il prévenu, tout en demandant à la population de «rester extrêmement vigilante». Des personnes emportées et disparues
Selon la presse locale, les secouristes ont trouvé le corps d'une personne à Kosa, dans le Kumamoto, où un homme avait été porté disparu lundi après un glissement de terrain qui avait touché son domicile.
Les responsables locaux n'ont pas été en mesure de confirmer cette information dans l'immédiat.
À Misato, autre ville du département, des secouristes ont réussi à sauver un homme âgé piégé à l'intérieur de son logement touché lui aussi par un glissement de terrain.
Deux personnes de la grande ville de Fukuoka ont, elles, été emportées dimanche par un cours d'eau et sont toujours portées disparues lundi, d'après le média public NHK.
Ces pluies diluviennes suivent un épisode de chaleur intense dans de nombreuses régions de l'archipel, avec notamment un record absolu de température dans le pays le 5 août (41,8 °C dans la grande banlieue de Tokyo.
D'autres catastrophes naturelles Newsletter
«Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde.
Autres newsletters
AFP
Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Perturbation ferroviaire: La ligne de train Nyon-Saint-Cergue a été foudroyée vendredi soir
Perturbation ferroviaire: La ligne de train Nyon-Saint-Cergue a été foudroyée vendredi soir

24 Heures

time3 hours ago

  • 24 Heures

Perturbation ferroviaire: La ligne de train Nyon-Saint-Cergue a été foudroyée vendredi soir

Durant l'orage, des installations de la compagnie du NStCM ont été victimes de la foudre. Un tronçon de rails a été obstrué par une coulée de boue. Publié aujourd'hui à 20h14 Un train du chemin de fer Nyon-Saint-Cergue-Morez (NStCM) a la gare de la Cure, en 2024. Bastien Gallay Une nouvelle tuile s'abat sur le NStCM, le petit train rouge qui dessert la région nyonnaise. Après avoir subi deux inondations plus ou moins dévastatrices entre 2023 et 2024, la compagnie ferroviaire a été touchée par les conséquences d'un violent orage, vendredi soir, selon le site du quotidien «La Côte» . «Il s'agissait d'un événement complètement imprévisible», assure Emmanuel Laurent, directeur de la compagnie et ingénieur de formation. Il raconte: «Du haut en bas de la ligne, cela a tapé. En début de soirée, vers 18 h 30, la foudre est tombée sur des installations de sécurité à Trélex. Tous les équipements de parasurtension ont explosé et deux passages à niveau se sont retrouvés hors d'état de fonctionnement.» Le temps de les remettre en état, le trafic ferroviaire a été largement perturbé. Face aux retards conséquents observés sur la ligne, la compagnie a préféré supprimer les courses sur la partie basse de la ligne, au profit de bus. Grâce à la mobilisation éclair d'une dizaine de collaborateurs, le trafic ferroviaire avait presque repris son cours normal samedi matin. Glissement de terrain De manière quasi simultanée – et «parce qu'un malheur n'arrive jamais seul», une inondation sur le haut de la ligne a causé un glissement de terrain sur les voies ferrées, à hauteur de l'arrêt «Pralies». «Un mécanicien de locomotive a donné l'alerte, décrit Emmanuel Laurent. Nous nous sommes rendus sur place à pied. Là, on a constaté que des centaines de kilos de boue bloquaient la voie. Dès lundi 7h, nous allons devoir purger tout ça.» De manière quasi simultanée, une inondation sur le haut de la ligne a causé un glissement de terrain sur les voies ferrées. NStCM La circulation des trains restera interrompue entre La Cure et St-Cergue jusqu'au 19 août à 4 h environ, indique le site internet du NStCM . Le directeur espère que les travaux seront achevés d'ici à lundi soir. Entre-temps, des bus de remplacement (EV) circulent. La temporalité des événements, à trois jours de la rentrée, a évidemment été une source de stress. «Nous avons prévenu les associations scolaires et les écoles concernées, et notre société de transports partenaire rajoutera des bus de manière à assurer une offre suffisante.» Le NStCM face aux intempéries Newsletter «La semaine vaudoise» Retrouvez l'essentiel de l'actualité du canton de Vaud, chaque vendredi dans votre boîte mail. Autres newsletters Marine Dupasquier est journaliste à la rubrique Vaud & Régions depuis 2020 et couvre essentiellement la région de Nyon. Sensible aux thématiques locales, elle a effectué ses premières piges au Journal de Morges. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Au Pakistan, les chances de retrouver des survivants diminuent
Au Pakistan, les chances de retrouver des survivants diminuent

24 Heures

time7 hours ago

  • 24 Heures

Au Pakistan, les chances de retrouver des survivants diminuent

Depuis trois jours, 2000 sauveteurs tentent de retrouver 150 disparus dans le nord du pays, touché par des pluies torrentielles. Publié aujourd'hui à 15h56 Les survivants des inondations aident les secouristes à retirer de lourds rochers et à déblayer les débris des bâtiments endommagés dans le district de Buner, dans la province montagneuse de Khyber Pakhtunkhwa, le 17 août 2025. AFP L'espoir s'amenuise dimanche de retrouver des survivants parmi les 150 disparus après les pluies de mousson dévastatrices qui ont fait près de 350 morts dans le nord du Pakistan , où secouristes et habitants fouillent les décombres depuis trois jours. Depuis jeudi, des pluies torrentielles s'abattent sur le pays et provoquent inondations, crues et glissements de terrain, emportant des villages entiers et laissant de nombreux habitants prisonniers des décombres. La plupart des victimes ont été emportées par des crues subites, sont mortes dans l'effondrement de leur maison ou ont été électrocutées. La province montagneuse du Khyber-Pakhtunkhwa, frontalière de l'Afghanistan, a enregistré à elle seule 317 décès en deux jours, soit la moitié des morts de cette saison de mousson, selon les autorités. Dans le seul district de Buner, «au moins 150 personnes sont portées disparues et pourraient être coincées sous les débris de leurs maisons ou avoir été emportées par les eaux», a annoncé dimanche à l'AFP Asfandyar Khattak, directeur de l'Autorité de gestion des catastrophes de la province du Khyber-Pakhtunkhwa. Mais «leurs chances de survie sont désormais très minces», assure Bilal Ahmed Faizi, porte-parole des secours de la province, précisant qu'au total, «une dizaine de villages ont été dévastés». Recherches à Buner Les 2000 secouristes déployés dans les villages les plus touchés fouillent inlassablement les débris aux côtés des habitants. Dans le district de Buner, en partie enseveli sous une coulée de boue et qui recense au moins 208 morts, les survivants veulent prêter main-forte et refusent d'évacuer. «Nous continuons à chercher nos proches, à chaque corps retrouvé, on ressent une profonde tristesse mais aussi un soulagement car on sait que la famille pourra récupérer la dépouille», raconte Mohammed Khan, un habitant du district où trois pelleteuses s'activent. es personnes transportent un cercueil dans une ambulance à Buner, après des inondations dévastatrices dans le district de Khyber Pakhtunkhwa au Pakistan, le 17 août 2025. AFP Mais le travail des secouristes, qui peinent à accéder à des zones reculées, est entravé par «les fortes pluies, les glissements de terrain et les routes bloquées qui empêchent les ambulances d'accéder et les forcent à se déplacer à pied», note Bilal Ahmed Faizi. Pour tenter d'aider les secours, les habitants coupaient des arbres dimanche pour créer de nouvelles routes. Vendredi, un hélicoptère venu à la rescousse s'est écrasé, faisant cinq morts. Intensification de la mousson Les pluies devraient encore s'intensifier ces deux prochaines semaines, préviennent les autorités. «L'intensité de la mousson cette année est 50 à 60% supérieures à celle de l'année dernière», a déclaré dimanche le lieutenant général Inam Haider, président de l'Autorité nationale de gestion des catastrophes. Pour Syed Muhammad Tayyab Shah, membre de la même agence, «l'intensité de la mousson va encore augmenter jusqu'à la fin du mois d'août». Les autorités mettent en garde contre de nouvelles crues éclair et glissements de terrain dans le nord-ouest du pays et exhortent les habitants à éviter les zones exposées, notamment la région touristique du Gilgit-Baltistan, prisée l'été des alpinistes venus du monde entier. Le Pakistan, cinquième pays le plus peuplé au monde, est l'un des plus vulnérables aux effets du changement climatique. Les 255 millions de Pakistanais ont déjà subi ces dernières années des inondations massives et meurtrières, des explosions de lacs glaciaires et des sécheresses inédites, autant de phénomènes qui vont se multiplier, préviennent les scientifiques. Mousson au Pakistan: Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Pourquoi les cas de phobie scolaire sont en hausse en Suisse
Pourquoi les cas de phobie scolaire sont en hausse en Suisse

24 Heures

time9 hours ago

  • 24 Heures

Pourquoi les cas de phobie scolaire sont en hausse en Suisse

En Suisse, 3 à 5% des élèves seraient angoissés à l'idée de se rendre à l'école, parfois jusqu'à décrocher. La prise en charge est complexe, mais les autorités réagissent. Publié aujourd'hui à 13h51 En Suisse, la phobie scolaire toucherait entre 3 et 5% des élèves, et une étude menée en 2024 a recensé un peu plus de 300 situations d'absentéisme scolaire pour le seul Valais romand. IMAGO/Depositphotos En bref: Alors qu'enfants et adolescents s'apprêtent à reprendre le chemin de l'école , le Syndicat des enseignantes et enseignants de Suisse romande (SER) vient d'attirer l'attention sur l'augmentation des cas d'absentéisme . Ces dernières années, plusieurs cantons et villes ont constaté que les absences fréquentes, non justifiées et sans cause physique étaient de plus en plus nombreuses. Ces absences de plusieurs jours ou semaines «s'accompagnent d'une résistance importante à la fréquentation scolaire», précise le SER. En clair: les élèves suisses sont de plus en plus nombreux à souffrir de phobie scolaire, parfois dès le cycle primaire. D'après des données publiées en 2023, pas moins de 3 à 5% d'entre eux seraient concernés. Lucie* sait trop bien de quoi il s'agit. Malmenée par certains camarades, sa fille a rencontré des difficultés dès le début du secondaire. La situation s'est progressivement aggravée et, à partir de décembre 2024, elle n'était plus capable de se rendre en classe. «Bien sûr, j'ai essayé de la «pousser» un peu, mais je voyais qu'elle se détruisait jour après jour. Après plusieurs semaines, j'ai enfin pu obtenir un rendez-vous avec le collège, et elle a recommencé à y aller, trois heures par jour. Mais elle n'a jamais réussi à faire une semaine entière», raconte cette maman fribourgeoise. Après les vacances de Pâques, la jeune fille parvient à réintégrer la classe à son rythme, sans évaluations. «Comme elle était en dernière année, elle ne voulait pas finir sur un échec. L'école a accepté de ne pas lui mettre la pression et elle a tenu bon pour terminer les six dernières semaines, même si c'était très difficile», poursuit sa mère. À cette période, l'adolescente a réussi à mettre des mots sur ce qu'elle subissait. Une bonne nouvelle même si le retard accumulé la pénalise aujourd'hui. «Dans l'état où elle était, c'était compliqué de chercher une formation, raconte Lucie. Elle a fait de nombreux stages, mais elle n'a rien pour la rentrée et nous ne savons pas trop quoi faire.» La phobie scolaire peut venir des parents Aujourd'hui, Lucie met en cause deux paramètres, qu'elle juge particulièrement nocifs pour les enfants: la pression de la performance et l'usage des réseaux sociaux. Président du SER, David Rey souligne que les cas de figure sont différents mais qu'il y a deux schémas classiques: soit la phobie engendre l'absentéisme, soit c'est l'inverse. «Dans le premier cas, il y a des angoisses directement liées à l'école et elles entraînent des absences de plus en plus régulières. Dans le second, il y a des difficultés indépendantes du cadre scolaire mais elles occasionnent des absences qui peuvent déboucher sur une crainte générale, y compris de l'école.» Lorsqu'elles sont directement liées à l'école, les angoisses peuvent concerner les évaluations, les interactions sociales, le fait de quitter le domicile familial ou encore être le reflet de l'appréhension parentale. «Nous pensions que le harcèlement sur les réseaux sociaux expliquerait beaucoup de situations mais nous constatons qu'il faut être plus nuancé. Chaque enfant est différent et les causes sont parfois multiples», rapporte David Rey. Pareil pour le Covid, «qui a pu aggraver la problématique, mais ne suffit pas à l'expliquer». Eveline Ziehli connaît bien ces situations où difficultés sociales, familiales et scolaires peuvent être entremêlées. Elle est responsable du Centre médico-pédago-thérapeutique de jour ( CMPTJ ) de Martigny (VS), un centre de compétence spécialisé dans l'accompagnement des élèves en décrochage scolaire. «Lorsqu'on parle de décrochage, il y a toujours l'image de l'école buissonnière. En réalité, chez nous, presque tous les jeunes sont en refus scolaire anxieux. Ça ne veut pas dire que le problème vient de l'école mais ils ne peuvent plus y mettre les pieds.» Eveline Ziehli est responsable du Centre médico-pédago-thérapeutique de jour de Martigny (VS). DR Le CMPTJ accueille chaque année 24 jeunes de 11 à 15 ans. «C'est en général à ce moment-là que les situations de rupture surviennent. Le passage au cycle d'orientation (ndlr: le secondaire I en Valais, comme à Genève) est un moment sensible. La pression sur les résultats augmente et le regard des autres prend beaucoup d'importance», constate Eveline Ziehli. La prise en charge se fait en deux temps: trois mois dans les locaux de la structure, en lieu et place de l'école, puis deux mois de réintégration progressive en classe avec un accompagnement spécial par une équipe mobile. Dans la majeure partie des cas, le jeune reprend le chemin de l'école, parfois à temps partiel. Un modèle encourageant même si le centre ne couvre qu'une partie des besoins: une étude menée en 2024 a recensé un peu plus de 300 situations d'absentéisme scolaire pour le seul Valais romand. Manque de ressources à l'école De quoi suggérer que certaines situations ne sont pas prises en charge de manière optimale. Quand sa fille s'est retrouvée en grande difficulté, Lucie confie s'être «sentie très seule». Elle comprend que les enseignants sont débordés par la recrudescence des troubles psychiques , mais elle aurait aimé davantage de soutien, y compris de la direction de l'école. «Beaucoup d'enseignants ne prennent pas au sérieux le refus scolaire anxieux. Pour eux, ce ne sont que des caprices. Mais forcer ma fille à aller en «enfer», comme elle disait à propos de l'école, ce n'était pas une option.» Heureusement, les choses bougent. Le Valais, par exemple, mettra cette année un «kit» à disposition des enseignants et des directions d'établissement. «Ce dossier évolutif de plus de 100 pages leur donnera des outils pour se familiariser avec la thématique ainsi que pour détecter et désamorcer rapidement les situations problématiques», décrit Eveline Ziehli. Des outils qui seraient aussi utiles aux familles, d'après la Fédération des associations des parents d'élèves du canton de Fribourg: «La santé psychique étant un vaste domaine, il serait judicieux que l'école mette à disposition des sites internet ou des brochures pour les familles concernées. Les psys sont submergés donc il est important que les parents puissent être présents pour encourager l'enfant à aller à l'école.» «Les parents sont souvent démunis et s'ils acceptent que l'enfant reste un jour, puis deux, puis trois à la maison, c'est parce qu'ils veulent le préserver, ajoute David Rey. Le risque, c'est qu'il s'habitue. Plus on laisse le phénomène s'installer, plus c'est difficile de faire revenir le jeune en classe.» Phobie scolaire et rentrée des classes Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Romaric Haddou est journaliste à la rubrique Vaud et régions depuis 2016. Il couvre en particulier le domaine de la santé. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store