
Quinté du mardi 22 juillet à Dieppe : Alicja Karkosa et sa famille de passionnés comptent sur Misurina
le top 100 de sa profession
avec des résultats en constants progrès et de bonnes performances dans toutes les catégories. Contrairement à ses débuts, elle est désormais épaulée par son mari, Robert, ancien jockey titulaire d'environ 500 victoires en Pologne. « Sa grande expérience m'aide beaucoup, confesse celle qui a travaillé auprès de
Jean de Roualle
et
Fabrice Chappet
avant de voler de ses propres ailes. Le fait qu'il soit là tous les jours facilite les choses et l'organisation du travail. De plus, comme mes deux filles, Julia et Emilia, sont passionnées, elles sont également très investies lorsqu'elles sont disponibles. » Alors qu'elle a commencé avec deux chevaux, Alicja Karkosa en compte désormais près de trente fois plus. « Je loue l'ancienne écurie de Rodolphe Collet à Lamorlaye (Oise) donc je suis contente que les boxes soient remplis, car il y en a une soixantaine », se félicite celle qui réalise sa meilleure année avec déjà 6 succès en 65 partants. Et d'évoquer son premier semestre : « En attendant des poulains intéressants qui vont débuter en août à
Deauville
(Calvados), les autres chevaux ont répondu présent. Je suis contente des résultats mais ce n'est pas fini. Il faut toujours continuer de s'améliorer. »

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le HuffPost France
5 minutes ago
- Le HuffPost France
Vasque olympique, Zeus… Où retrouver les emblèmes des JO de Paris 2024, un an après la cérémonie d'ouverture ?
JEUX OLYMPIQUES - C'était il y a un an tout pile. Le 26 juillet 2024, la cérémonie d'ouverture pluvieuse mais heureuse lançait officiellement la France et le monde dans un grand été sportif, entre les Jeux olympiques et les Jeux paralympiques quelques semaines après. Mais un été plus tard, que reste-t-il de ces Jeux olympiques ? Une cérémonie d'anniversaire est prévue ce samedi soir à Paris, coorganisée par la mairie et le CNOSF. Mais au-delà des souvenirs toujours vivaces des exploits de Léon Marchand, Pauline Ferrand-Prévot, Alexis Hanquinquant ou Marie Patouillet, de nombreux emblèmes et symboles des Jeux sont encore bien présents à Paris… et pas seulement. La vasque olympique illumine de nouveau le ciel de Paris Elle avait émerveillé le monde entier à la fin de la cérémonie d'ouverture, allumée par nul autre que Teddy Riner et Marie-José Pérec. Après s'être élevée chaque soir dans le ciel de Paris durant tout l'été 2024, la vasque olympique a fait son retour au jardin des Tuileries depuis le 21 juin dernier à l'occasion de la fête de la musique. Un souvenir qui est voué à durer : la vasque s'élève chaque soir depuis, et ce jusqu'au 14 septembre prochain. Jusqu'à la fin du mois de juillet, elle décollera à 22 h 30, avant que les horaires ne soient avancés à 21 h 30 en août et à 20 h 30 en septembre avec la tombée plus précoce de la nuit. Et pour celles et ceux qui n'auraient pas le loisir d'observer la vasque cet été, rassurez-vous : il est prévu qu'elle soit réinstallée au jardin des Tuileries aux étés 2026 et en 2027. Le Tour de France de « Zeus », le cheval de métal Lui aussi était l'un des grands symboles de la cérémonie d'ouverture, chevauchant au-dessus de la Seine en transportant le drapeau olympique. « Zeus », le grand cheval métallique d'1m80 de haut et de près de 300 kg, aura beaucoup vadrouillé depuis un an. Après avoir été d'abord exposé à Paris, que ce soit à l'Hôtel de Ville ou au Château de Versailles, il a ensuite été présenté à Lyon, Marseille, Rouen, Bordeaux et même Francfort. Ce 26 juillet, « Zeus » sera au Mont Saint-Michel, sur l'une des terrasses de l'abbaye, où il est exposé du 12 juillet au 7 septembre. Son périple s'arrêtera ensuite le 29 septembre à Nantes, la ville où il a été construit au sein de l'atelier Blam Les statues des figures féministes au cœur de Paris Leur souvenir n'est peut-être pas aussi vivace que la vasque ou le cheval métallique, mais leur présence à Paris sera quant à elle bien plus durable. Les dix statues dorées de figures féministes françaises sont officiellement installées rue de la Chapelle, dans la 18e arrondissement de Paris, avec une inauguration prévue ce samedi. On avait pu voir ces dix statues rendant hommage à des femmes marquantes du monde du sport, mais aussi des lettres, des arts, de la politique ou des sciences être présentées au fil des différents tableaux de la cérémonie d'ouverture des JO. Parmi elles, Gisèle Halimi, Simone Veil, Simone de Beauvoir, Olympe de Gouges ou Louise Michel. Mais aussi Christine de Pizan, Jeanne Barret, Alice Guy, Alice Milliat ou encore Paulette Nardal. Pour « les préparer à la vie en extérieur », les statues ont dû être recouvertes d'une résine ultra-résistante, explique auprès de l'AFP Michèle Zaoui, architecte au secrétariat général de la ville de Paris. Après avoir d'abord été exposées face à l'Assemblée nationale, les statues devraient rester rue de la Chapelle pour plusieurs années, au moins jusqu'aux JO de Los Angeles en 2028. Dans ce quartier, l'un des plus défavorisés de la capitale mais massivement rénové à l'occasion des JO, ces statues se situeront non loin d'un autre ouvrage majeur des Jeux : l'Adidas Arena. Cette salle avait été bâtie pour l'événement, accueillant notamment les épreuves de badminton et de gymnastique rythmique. Elle est désormais l'antre du club du Paris Basketball, sacré champion de France en juin dernier. Piquer une tête au Centre aquatique olympique… ou dans la Seine Autre site emblématique des Jeux : le Centre aquatique olympique de Saint-Denis, où se sont tenues les épreuves de plongeon, de natation artistique et de water-polo, est ouvert gratuitement au public ce samedi. « Ce geste fort incarne notre volonté de faire vivre l'héritage en l'ouvrant à toutes et tous, et notamment aux habitants de la Seine-Saint-Denis, où un enfant sur deux ne sait pas nager », a déclaré Patrick Ollier, président de la Métropole du Grand Paris. L'entrée est d'ordinaire à 6,50 € pour un adulte - 5,80 € si vous habitez dans le Grand Paris -, un peu moins pour un enfant, selon son âge. Pour celles et ceux qui ne pourront se rendre à Saint-Denis ce 26 juillet et qui souhaitent tout de même revivre l'expérience des JO, une autre option s'offre toujours : celle de la baignade dans la Seine, l'une des grandes promesses des Jeux. Trois sites de baignade ont été ouverts jusqu'au 31 août dans la capitale, au bras Marie (IV e arrondissement), au bras de Grenelle (XV e) et à Bercy (XII e). Malgré les péripéties météorologiques, avec plusieurs jours de fermeture des sites en raison de la pluie, la mairie de Paris revendiquait au 15 juillet près de 20 000 personnes qui s'étaient déjà testées à la baignade dans le fleuve, un « succès populaire ». Mais où sont passés les anneaux olympiques ? Ils seront les grands absents du premier anniversaire des JO. Les immenses anneaux olympiques qui avaient été installés sur la Tour Eiffel, de 29 mètres de long et 15 mètres de haut, ne seront pas présents ni ce samedi, ni pour les mois à venir dans la capitale. Si Anne Hidalgo avait annoncé vouloir conserver les anneaux sur la Dame de fer jusqu'aux JO de Los Angeles, en 2028, ils avaient finalement dû être retirés en septembre dernier afin d'être remplacés par une structure « plus pérenne ». Mais les choses se sont depuis compliquées. Car pour pouvoir être réinstallés, un amendement doit être voté au projet de loi sur les JO d'Hiver de 2030, dans les Alpes, afin que la ville de Paris puisse « disposer de la marque » des anneaux olympiques, propriété du CIO. Problème : l'amendement a été rejeté par le Sénat lors de l'examen du texte le 24 juin dernier. Si l'Assemblée nationale doit maintenant se prononcer sur le projet de loi en septembre prochain - et potentiellement réintroduire cet amendement - les anneaux ne pourront de toute façon pas faire leur retour « avant 2026 » sur la Tour Eiffel, même si le projet était validé, le temps de les construire. Ce samedi et dimanche, pour l'anniversaire de la cérémonie d'ouverture, les anneaux seront projetés sur la Dame de fer, un « clin d'œil hautement symbolique ». C'est déjà ça.


Le Figaro
5 minutes ago
- Le Figaro
Tennis: tombeur de Medvedev, Moutet s'offre sa première demi-finale en ATP 500 à Washington
Corentin Moutet a dominé Daniil Medvedev, 14e joueur mondial, 1-6, 6-4, 6-4 dans la touffeur de Washington vendredi pour s'offrir sa toute première demi-finale en ATP 500, dans un tournoi où il a été repêché en dernière minute. Battu en qualifications dimanche, Moutet (59e) doit sa présence dans le tableau principal au forfait du Danois Holger Rune avant son entrée en lice. Samedi pour une place en finale, le gaucher français affrontera l'Australien Alex de Minaur (13e). À découvrir Classement ATP Son parcours jusque dans le dernier carré est la promesse, déjà, de son entrée dans le top 50 lundi, synonyme de meilleur classement de sa carrière, à 26 ans. Jusque-là, il avait grimpé au mieux au 51e rang (fin 2022). «Ça veut dire qu'on fait les choses bien», apprécie Moutet auprès de l'AFP. Publicité «Le but principal, quand j'ai commencé à travailler avec mon entraîneur (Hugo Guerriero, ndlr) cette année, c'était de jouer une année pleine, sans blessures, ce qui n'a pas été mon cas depuis quelques années. C'était de construire un corps qui tient pour pouvoir utiliser mes qualités, développe-t-il. J'étais sûr que si j'arrivais à le faire, j'arriverais à monter au classement.» «Quand je jouais, je faisais des bons résultats, mais il n'y avait pas assez de constance pour trouver mon rythme, enchaîner les matches et jouer à ce niveau-là, poursuit-il. Pour le moment, on y arrive.» En battant Medvedev, Moutet a obtenu sa troisième victoire de la saison contre un joueur du top 15 (après Rune à Rome et Fritz au Queen's). «Faire partie de ces joueurs» «Je n'aime pas voir ça comme des exploits parce que j'ai envie de faire partie de ces joueurs-là régulièrement, souligne-t-il. C'est une bonne performance, mais pas une fin en soi.» Transparent dans le premier set, empoché par Medvedev en une vingtaine de minutes, Moutet s'est ensuite installé dans la partie, faisant parler toute sa palette de coups - service à la cuillère compris - et résistant mieux à la fournaise de Washington que le Russe, mal en point au milieu de la deuxième manche. Dans le troisième set, l'orage grondant a interrompu le match à 5-4 en faveur de Moutet, pendant près d'une heure. Une bénédiction, alors qu'il était assailli par les crampes, a-t-il avoué: «Je regardais les nuages et je pensais: +s'il vous plaît, aidez-moi+». Les deux joueurs sont revenus sur le court moins de sept minutes, le temps pour le Français de breaker Medvedev - bien aidé par trois doubles fautes de l'ex-N.1 mondial, qui a piqué une colère en jetant de rage raquette et gourdes. Dans quel état physique sera Moutet samedi après ces 2h25 min d'efforts ? «Je ne vois pas dans le futur» mais «on va faire les choses bien», promet-il. S'il a déjà joué (et perdu) deux finales sur le circuit principal, il s'agissait de tournois de la catégorie inférieure (ATP 250), à Majorque (Espagne) en juin et à Doha en 2020.


Le Figaro
5 minutes ago
- Le Figaro
Mondiaux de natation: Marchand assure avoir «encore beaucoup à faire», un an après les JO 2024
La star française des bassins Léon Marchand a déclaré samedi avoir encore «beaucoup à faire dans le monde de la natation», un an après sa performance aux Jeux olympiques de Paris. Marchand s'est exprimé à la veille des Championnats du monde de natation à Singapour, sa première grande compétition depuis les JO 2024, lors desquels le Français a raflé quatre titres en individuel avant d'entamer, selon ses mots, «une année de transition». «J'ai passé une assez bonne année à me détendre et me remettre dans le bain, mais vraiment en prenant mon temps», a déclaré le champion, en anglais. «J'ai hâte des championnats du monde. Je veux m'approcher de mes meilleurs temps dans toutes mes courses et bien sûr battre des records du monde ces prochaines années (...) J'ai encore beaucoup à faire dans le monde de la natation», a lancé le Français. Marchand, détenteur du record du monde du 400 m 4 nages et plusieurs fois champion du monde, a déclaré que l'attention dont il faisait l'objet, en particulier en France, avait été «lourde à gérer au début». Publicité «Je m'y habitue, je sais comment mieux gérer cela, je sais mieux comment dire non (...) Je suis bien plus en paix quand je voyage hors de France, c'est certain. Je (peux) mieux m'entraîner». Marchand a revu à la baisse son programme à Singapour afin de se concentrer sur les 200 m 4 nages et 400 m 4 nages. Il ambitionne de battre le record du monde de Ryan Lochte sur 200 m 4 nages, détenu par l'Américain depuis 2011.