logo
A la convention citoyenne sur les temps de l'enfant, le vertige des participants : « Changer les rythmes, ça va bouleverser notre économie »

A la convention citoyenne sur les temps de l'enfant, le vertige des participants : « Changer les rythmes, ça va bouleverser notre économie »

LeMonde4 hours ago
Sur quoi va plancher la convention citoyenne sur les temps de l'enfant, lancée le 20 juin, qui vient d'achever son deuxième week-end de travail, dimanche 6 juillet ? Le dispositif, voulu par le président de la République, Emmanuel Macron, recouvre un sujet très vaste, qui touche aux rythmes scolaires et au temps d'écran, au sommeil et aux transports, à la cantine et à la lutte contre le harcèlement. Pour déterminer de quoi il va être réellement question, les 140 citoyens tirés au sort se sont réunis deux fois trois jours au Palais d'Iéna sous l'égide du Conseil économique, social et environnemental (CESE) : ces week-ends dits « d'acculturation », devaient permettre d'identifier les sujets à approfondir avant le deuxième temps, qui s'ouvrira en septembre : la phase de délibération.
Au total, 42 sujets ont été identifiés, regroupés en neuf thématiques. Les citoyens approfondiront les questions de la « coordination entre les acteurs des temps de l'enfant », des « rythmes et temps scolaires », de la « complémentarité des temps et de la diversité des apprentissages », du « temps des parents et la parentalité », des « écrans et du numérique ». Ces grands thèmes sont traversés par quatre enjeux, des sujets si structurants qu'on les retrouve partout : le handicap, les inégalités sociales et territoriales, la santé, la violence et le harcèlement.

Hashtags

Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Israël annonce des frappes sur trois ports yéménites en raison d'activités militaires houthies
Israël annonce des frappes sur trois ports yéménites en raison d'activités militaires houthies

Le Figaro

time37 minutes ago

  • Le Figaro

Israël annonce des frappes sur trois ports yéménites en raison d'activités militaires houthies

Le ministre israélien de la défense indique que l'armée israélienne a attaqué des cibles houthies dans les ports de Hodeidah, Ras Isa et Salif, ainsi que la centrale électrique de Hodeidah. L'armée israélienne a émis dimanche un avertissement d'évacuation pour les habitants de trois ports yéménites, annonçant des frappes dans ces zones en raison des activités militaires qui y sont menées. Dans un communiqué, le porte-parole arabophone de l'armée, Avichay Adraee, a identifié ces lieux comme étant les ports de Hodeidah, Ras Isa et Salif, ainsi que la centrale électrique de Hodeidah. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro International De leur côté, des médias houthis font état de frappes israéliennes sur le port d'Hodeida.

Savoie : un randonneur décède après une chute de 70 m, sa compagne rapatriée en urgence absolue
Savoie : un randonneur décède après une chute de 70 m, sa compagne rapatriée en urgence absolue

Le Parisien

time38 minutes ago

  • Le Parisien

Savoie : un randonneur décède après une chute de 70 m, sa compagne rapatriée en urgence absolue

La randonnée vire à la tragédie. Un homme a perdu la vie ce dimanche après une chute à la Dent du Corbeau, sur la commune de Sainte-Hélène-sur-Isère, en Savoie , relatent nos confrères du Dauphiné Libéré . Les équipes de la Compagnie républicaine des Alpes (CRS) sont intervenues sur les lieux du drame, au col du Charvan, en milieu d'après-midi. L'homme, qui était sur une barre rocheuse, a fait une chute de 70 m. Il est décédé sur le coup. Sa compagne, qui l'accompagnait, a également fait une chute. Elle a survécu mais se trouve dans un état grave, et a été rapatriée en urgence absolue par hélicoptère à l'hôpital de Grenoble. Selon Ici Pays de Savoie , les circonstances de l'accident sont encore très floues. L'enquête a été confiée à la gendarmerie d'Albertville.

Municipales 2026 : Mathilde Panot affirme que les maires LFI élus désarmeront leur police communale
Municipales 2026 : Mathilde Panot affirme que les maires LFI élus désarmeront leur police communale

Le Figaro

time38 minutes ago

  • Le Figaro

Municipales 2026 : Mathilde Panot affirme que les maires LFI élus désarmeront leur police communale

Invitée dimanche de BFMTV, la chef de file des députés Insoumis a également annoncé que les édiles mélenchonistes démantèleront certains systèmes de vidéosurveillances. Tollé après les propos de Mathilde Panot. À neuf mois des élections municipales de 2026, lors desquelles La France Insoumise (LFI) espère renforcer sa présence dans les conseils municipaux, la chef de file des députés LFI a suscité une vive polémique ce dimanche, en déclarant sur BFMTV que les maires mélenchonistes élus au printemps prochain désarmeraient les polices municipales dans les communes où elles sont équipées. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro Politique avec Yves Thréard En contrepartie, le mouvement de gauche proposera que les agents concernés «soient réintégrés dans la police nationale», au bénéfice de la «police de proximité». Une prise de position controversée, formulée en réponse au projet de loi porté par François-Noël Buffet, le ministre délégué auprès du ministre de l'Intérieur, qui entend «accroître les compétences des policiers municipaux» afin d'adapter leur cadre juridique «aux nouvelles réalités de l'insécurité», a-t-il dit ce dimanche dans Le Parisien. Publicité Alors que le gouvernement «préconise aussi un usage élargi des technologies de captation d'images», en «donnant aux gardes champêtres l'accès aux images de vidéoprotection et à l'usage de caméras-piétons dont disposent déjà les policiers municipaux», l'élue du Val-de-Marne est radicalement opposée à cette philosophie. Et plaide pour le démantèlement de certains systèmes de vidéosurveillance. «Il faut voir dans le cadre des contrats, mais je ne suis pas favorable à ce qu'on mette des caméras partout, qui n'ont jamais prouvé leur utilité», a développé Mathilde Panot, confirmant que les futurs maires LFI mettront en œuvre un plan pour enlever les équipements numériques déjà installés. À lire aussi Pourquoi la gauche a-t-elle toujours autant de mal avec la sécurité ? Dans une séquence au ton véhément et au raisonnement parfois confus, la parlementaire a poursuivi : «Ne faites pas semblant que c'est extrêmement choquant de proposer ça. Tous ceux qui ont mis de la police municipale à tout-va, qui l'ont surarmé à tout-va et qui ont mis des caméras de surveillance, qu'est-ce que ça a créé ? Qu'est-ce que ça a créé ? Ce ne sont pas des solutions», a-t-elle lancé. Une critique directe des opérations «place nette» lancées sous l'impulsion de Gérald Darmanin lorsqu'il était ministre de l'Intérieur, pour renforcer la lutte contre le trafic de drogues dans les quartiers sensibles. Une pique qui n'a pas échappé à celui qui est désormais ministre de la Justice. «Traduction : avec cette gauche, vous n'aurez plus le droit à la sécurité. La gauche sans le peuple», a épinglé le garde des Sceaux sur X. Dans un contexte de rivalités croissantes au sein du bloc central en vue de la présidentielle de 2027, le maire du Havre (Seine-Maritime), Édouard Philippe, déjà candidat déclaré à l'Élysée, lui a rapidement emboîté le pas : «Aux électeurs de ne pas tomber dedans», a tancé l'ancien premier ministre. Si les critiques émises par ces deux responsables issus de la droite n'ont rien de surprenantes, les déclarations de Mathilde Panot ont également été désapprouvées par certaines figures de gauche. Comme le maire socialiste de Montpellier (Hérault) Michaël Delafosse, en guerre ouverte de longue date avec les Insoumis. «L'armement de la police municipale lui permet d'intervenir en tout lieu, seule ou aux côtés de la police nationale, elle peut, en cas de danger évident, agir pour protéger mais aussi pour se protéger en légitime défense», a-t-il écrit sur le même réseau social, ajoutant au passage que «la vidéo protection permet à la police nationale sous l'autorité judiciaire d'identifier les auteurs et de rendre justice aux victimes». Une controverse qui, sans nul doute, continuera d'alimenter le débat politique en début de semaine.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store