
Deux buts en deux matches : à 37 ans, Angel Di Maria soigne son retour avec Rosario Central
Angel Di Maria ne s'arrête plus. Samedi soir, l'ailier de 37 ans a marqué sur penalty pour offrir la victoire à Rosario Central contre Lanus (1-0). Une semaine plus tôt, l'ancien joueur du PSG y était déjà allé de son but pour son retour au sein de son club formateur, face à Godoy Cruz (1-1).
L'ex du Benfica est par ailleurs devenu le premier joueur du Championnat argentin à marquer à l'extérieur devant ses propres supporters... depuis douze ans. La Fédération argentine (AFA) a exceptionnellement autorisé, cette semaine, les fans de Rosario à faire le déplacement samedi soir, alors qu'elle interdit aux supporters des équipes évoluant à l'extérieur de se déplacer depuis de violents incidents et la mort d'un spectateur en 2013. L'AFA s'est félicitée de la réussite de la soirée, décrite comme un « test pilote réussi pour le retour du public visiteur dans les stades ». Quelque 6 500 supporters de Rosario étaient annoncés avant la rencontre.
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L'Équipe
an hour ago
- L'Équipe
Malgré sa bonne forme, Jonas Vingegaard a une nouvelle fois raté le coche sur la dernière étape de montagne du Tour de France 2025
Sa deuxième place au général actée, Jonas Vingegaard visait la victoire d'étape vendredi. Il a fini devant Tadej Pogacar mais a manqué le coche, battu par Thymen Arensman. Jonas Vingegaard a rejoint son bus rigolard, blaguant avec Krists Neilands (Israel-Premier Tech), tandis que, quelques minutes plus tôt, Sepp Kuss pouffait auprès de Victor Campenaerts : « Quand je t'ai entendu demander ''tu veux que je fasse le rythme ?'', je me suis dit ''oh, Viki est dans un bon jour !'' », lâchait l'Américain. Ambiance décontractée chez les Visma-Lease a bike, passés proches d'une victoire d'étape, ce qui prouve bien qu'ils ont déjà acté, et digéré, leur échec dans ce Tour. « Tadej (Pogacar) est extrêmement fort, le plus fort. Il mérite de gagner, il faut savoir l'accepter et, désormais, je l'accepte », avouait vendredi soir le Danois. La veille, il avait promis qu'il tenterait encore, mais la nuit a porté conseil aux Frelons, et le seul objectif, au départ d'Albertville, était de « tenter de gagner l'étape, expliquait Grischa Niermann, le directeur sportif. On savait que Tadej la voulait aussi, qu'UAE allait contrôler l'échappée, donc ça n'avait pas de sens d'attaquer tôt. Oui, on a vu Primoz Roglic faire ''all in'' dans la première ascension [en s'échappant, ndlr], on aurait pu faire pareil avec Jonas, il y avait peut-être 0,1 % de chance que ça fonctionne... On savait que ça n'allait pas passer, donc on a joué l'étape. » Vingegaard a préféré faire perdre Pogacar plutôt que de tenter de gagner Le maillot à pois (par procuration) a donc joué petit bras, profité du travail de son adversaire dans l'ultime ascension vers La Plagne. Et l'a suivi, quand le Maillot Jaune a attaqué. « On a vu que Jonas était encore très fort, se félicitait son directeur sportif. Il a pu rester dans sa roue, garder des forces, il a très bien manoeuvré mais, finalement, ils n'ont pas pu revenir sur (Thymen) Arensman et gagner l'étape. » Car si le plan de laisser rouler Pogacar a fonctionné, il y a eu un hic. Parti à 13 kilomètres du sommet, Arensman n'a jamais été repris, Vingegaard échouant à quelques mètres du Néerlandais d'Ineos. « Si Jonas avait lancé plus tôt, ils auraient pu le reprendre mais il y avait de grandes chances que Pogacar déborde Jonas ensuite », résumait Niermann. Faire perdre Pogacar plutôt que tenter de gagner, donc. « En Belgique, on dit que quand deux chiens se battent pour quelque chose, c'est souvent le troisième qui le prend », imageait Campenaerts. Le double vainqueur du Tour va ainsi quitter l'édition 2025 sans un os à ronger, puisque les deux dernières étapes ne lui conviennent pas. « Mais on n'est pas déçus, promettait le moustachu belge. Il y a un coureur plus fort, le meilleur du moment et peut-être de l'histoire, et nous, nous avons le deuxième meilleur. »


L'Équipe
an hour ago
- L'Équipe
Comme chez les Kluivert, la filiation père-fils pros est à la mode chez les Néerlandais
Alors qu'il vient de s'engager à l'OL, Ruben Kluivert vient mettre en lumière une curiosité observée chez plusieurs gloires néerlandaises du début du siècle : une descendance qui suit leur trace en se faisant également une place dans le monde professionnel. Ruben Kluivert est devenu le quatrième néerlandais de l'histoire de l'OL ce vendredi. Si son frère Justin, aujourd'hui brillant à Bournemouth, a fait un bref passage en Ligue 1 avec Nice en 2021-2022 (27 matches, 4 buts), l'histoire retient que son père Patrick a terminé sa carrière dans le Nord en s'offrant une ultime pige pas vraiment mémorable à Lille (13 matches toutes compétitions confondues lors de la saison 2007-2008, 4 buts). En plus de ces deux fils qui ont découvert ou vont découvrir le Championnat, l'actuel sélectionneur de l'Indonésie a eu deux autres garçons ayant emprunté la voie du football : Shane (U19 du Barça) et Quincy (plus en activité, passé par le centre de formation de l'Ajax). Plus globalement, le cas de la famille Kluivert s'inscrit dans la lignée d'un phénomène typiquement néerlandais (l'exemple le plus parlant étant incontestablement Johan Cruyff avec son fils Jordi), visible dans la descendance des joueurs bataves qui ont marqué le début du XXIe siècle sur les terrains. Jeune, rapide, abordable : Ruben Kluivert, une allégorie du mercato de l'OL 11 juillet 2010 à Johannesburg (Afrique du Sud). L'Espagne décroche sa première étoile mondiale grâce à un but d'Andrés Iniesta en prolongation. Sur les 11 Oranje titulaires dans le camp d'en face, 4 ont aujourd'hui un fils footballeur professionnel : Joris Mathijsen, Mark Van Bommel, Wesley Sneijder et Robin Van Persie. À ce contingent, on peut presque ajouter l'entrant Rafael Van der Vaart et Klaas-Jan Huntelaar, resté sur le banc ce soir-là. Fils de Joris, Jens Mathijsen en est encore aux prémices de sa carrière. À 17 ans, le défenseur central, comme son père, a disputé 7 rencontres d'Eredivisie cette saison avec Willem II, finalement relégué en D2. Prometteur, il lui reste du chemin à parcourir avant d'imiter le paternel, roc qui a roulé sa bosse au pays, à Hambourg ou à Malaga en plus de compter 84 capes avec la sélection batave. La famille Van Bommel fait, elle, coup double. Si Thomas (23 ans) n'évolue qu'en 4e division belge, son petit frère fait déjà parler de lui aux Pays-Bas. Transfuge au début du mois de l'AZ Alkmaar au PSV Eindhoven, club où son père s'est révélé et où il a effectué une grande partie de sa formation, Ruben (20 ans) est promis à un bel avenir. L'élégant ailier pourrait même revêtir très prochainement le maillot des Oranje, une tunique portée par Mark à 79 reprises au milieu d'une brillante et besogneuse carrière entre le PSV, le Barça et l'AC Milan. Une publication partagée par PSV (@psv) Maître à jouer de la bande à Bert Van Marwijk en Afrique du Sud, Wesley Sneijder (134 sélections) tient peut-être un héritier avec Jessey. gé de 18 ans, le milieu offensif vient de parapher son premier contrat professionnel mi-juillet au FC Utrecht et est appelé à s'aguerrir avec les U21 du club, en D2. Même cas de figure pour Shaqueel Van Persie, évidemment fils de Robin (102 capes). Élément des U21 du Feyenoord Rotterdam à tout juste 18 ans, le natif de Londres occupe le poste de buteur... comme son paternel. Dans la famille Van der Vaart, après le père Rafael, est demandé le fils Damian, milieu offensif, ça ne s'invente pas. « J'ai beaucoup appris de lui, sur sa façon de vivre comme un athlète de haut niveau, sur et en dehors du terrain. Mais au final, je fais ce que je veux. Je suis Damian, pas ''le fils de'', lançait-il en octobre 2024 sur le site de son club, l'Ajax Amsterdam, au sujet du paternel aux 109 sélections. Aujourd'hui, à 19 ans, le droitier vient d'ailleurs d'intégrer les U21 ajacides. Enfin, le fils de Klaas-Jan Huntelaar, Seb (16 ans), buteur tout comme la gâchette de Schalke 04 (76 sélections), évolue au Vitesse Arnhem et fait déjà ses gammes dans les équipes de jeunes nationales (U16). Un poil avant cette génération dorée, presque récompensée au Mondial 2010, Clarence Seedorf (87 sélections) régnait dans l'entrejeu et Ruud Van Nistelrooy (70 sélections) menait l'attaque des Oranje. Viana (18 ans), fils du milieu aux cuisses de golgoth, grandit à l'AC Milan chez les U20. Au PSV, un club qui a vu Van Nistelrooy père explosé en tant que joueur puis se lancer en tant que coach, Liam garnit les rangs des U17. Avant d'espérer, comme tous les autres, embrasser une carrière chez les grands. Van Nistelrooy, le finisseur devenu entraîneur


Le Parisien
an hour ago
- Le Parisien
Ligue 1 : Les abonnements à la nouvelle plateforme Ligue 1 + ouvriront le 11 août
La date est à cocher dans les agendas des amateurs du football français. La plateforme Ligue 1 + , nouvelle hôte de la diffusion du championnat , se lancera officiellement le 15 août avec l'affiche entre le Stade rennais et l'Olympique de Marseille (1ère journée, 20h45). Mais le coup d'envoi de la saison se fera dès le 11 août pour Ligue 1 + avec le lancement de la campagne d'abonnements. Selon les informations de L'Équipe , cette date a été choisie en accompagnement d'un slogan publicitaire : « Notre football ». Les prix de la plateforme ont d'ores et déjà été annoncés par LFP Media et son président Nicolas de Tavernost . La première offre débute à 14,99 euros par mois avec un engagement de 12 mois. Sans engagement, le prix grimpe à 19,99 euros par mois. Toujours selon L'Équipe, plusieurs offres couplées devraient voir le jour dès le 11 août. Le tarif réservé aux moins de 26 ans (9,99 euros, uniquement sur tablettes et mobiles) attendra, lui, encore un peu pour des raisons techniques. Ligue 1 + a déjà trouvé des accords de diffusion avec les fournisseurs d'accès à Internet comme Orange, Bouygues, SFR ou Free, ainsi qu'avec la plateforme DAZN.