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La liste des coureuses engagées sur le Tour de France femmes 2025

La liste des coureuses engagées sur le Tour de France femmes 2025

L'Équipe6 days ago
À l'approche du Tour de France femmes, les 22 équipes annoncent progressivement la liste des coureuses qu'elles enverront de Vannes à Châtel le 26 juillet et le 3 août.
Victorieuse de l'édition 2024, Katarzyna Niewiadoma remet son titre en jeu sur le Tour de France femmes avec Zwift, avec pour première concurrente Demi Vollering. Battue pour quatre infimes secondes l'année dernière par la Polonaise, la lauréate 2023 a changé d'écurie pour reconquérir le maillot jaune avec le soutien de la nouvelle armada de FDJ-Suez.
Parmi les outsiders, la Française Cédrine Kerbaol (EF Education-Oatly) vise le podium, mais aura face à elle Sarah Gigante (AG Insurance-Soudal), récente 3e du Giro, ou encore Marlen Reusser (Movistar), 2e de la Vuelta et du Giro cette année. De retour sur route, Pauline Ferrand-Prévôt (Visma-Lease a bike) est également présente.
Sur les étapes moins escarpées, l'équipe SD Worx-Protime semble la mieux fournie avec notamment Lotte Kopecky et Lorena Wiebes, mais elle devra faire face à la concurrence de Marianne Vos (Visma-Lease a bike) et Elisa Balsamo (Lidl-Trek) notamment.
AG Insurance-Soudal (BEL)
Emmenée par Sarah Gigante, 3e du Giro début juillet avec deux victoires à la clé, AG Insurance-Soudal peut légitimement viser un nouveau podium au classement général. Elle est notamment accompagnée de Justine Ghekiere, qui s'est imposée au Grand-Bornand l'année dernière, et de Kim Le Court, qui a remporté Liège-Bastogne-Liège en avril.
Arkéa-B & B Hotels (FRA)
Orpheline de Maëva Squiban, deuxième de la 7e étape du Tour 2024, Arkéa-B & B Hotels a encore quelques armes pour briller : Valentina Cavallar en montagne, Lotte Claes (victorieuse sur l'Omloop Nieuwsblad) sur les terrains vallonnés, et Marjolein Van 't Geloof au sprint.
Canyon-SRAM zondacrypto (ALL)
Toute l'équipe Canyon-SRAM zondacrypto sera concentrée sur la défense du titre de Katarzyna Niewiadoma, un peu en retrait depuis le début de saison (3e du Tour de Suisse, 11e de la Vuelta). Neve Bradbury sera son premier soutien en montagne, Soraya Paladin dans les bosses et Chloé Dygert sur le plat.
Ceratizit (ALL)
La formation Ceratizit a perdu sa carte maîtresse, Cédrine Kerbaol, 6e du classement général et victorieuse sur la 6e étape de l'édition 2024. La Française Dilyxine Miermont sera la meilleure chance de décrocher un bon résultat, mais l'équipe semble destinée à jouer son va-tout dans les échappées.
Cofidis (FRA)
Les Nordistes n'ont jamais brillé sur le Tour de France femmes, avec une 9e place d'étape en 2024 pour meilleur résultat. Mais Julie Bego et Victoire Berteau poursuivent leur progression, tandis qu'Amalie Dideriksen est capable de places d'honneur au sprint, même si l'absence de Valentine Fortin dans ce domaine est dommageable.
EF Education-Oatly (USA)
L'objectif annoncé est ambitieux : le podium du classement général pour Cédrine Kerbaol, 6e l'année dernière et en constante progression. Avec Kristen Faulkner et Alison Jackson, l'équipe a aussi de belles cartes pour les étapes.
FDJ-Suez (FRA)
Les Françaises Juliette Labous et Évita Muzic, habituées à jouer le classement général, devront cette année se mettre au service de Demi Vollering, favorite après le crève-coeur de l'édition 2024. Auréolée de son nouveau statut de numéro une au classement UCI, l'équipe française est armée pour briller sur tous les terrains, sauf au sprint.
Fenix-Deceuninck (BEL)
Victorieuse de la 4e étape l'an passé, Puck Pieterse est à nouveau la meilleure carte de l'équipe néerlandaise, notamment sur les parcours vallonnés. Deuxième jusqu'à la dernière étape à l'Alpe d'Huez, elle pourrait à nouveau s'essayer au classement général, même si ses compatriotes Yara Kastelijn et Pauliena Rooijakkers offrent plus de garanties en montagne.
Human Powered Health (USA)
Pas encore annoncé.
Laboral Kutxa-Fundacion Euskadi (ESP)
Plusieurs fois présente en échappée l'année dernière, l'équipe basque devrait à nouveau animer les courses. Usoa Ostolaza et Catalina Soto Campos sont sans doute les plus susceptibles d'obtenir un résultat.
Lidl-Trek (USA)
Sans Elisa Longo Borghini, qui vient de remporter le Giro, l'équipe Lidl-Trek s'en remettra pour le classement général à une Niamh Fisher-Black toujours en progrès. Elisa Balsamo, parmi les meilleures sprinteuses du monde, attend toujours son premier succès sur le Tour, contrairement à Emma Norsgaard, victorieuse de la 6e étape en 2023.
Liv AlUla Jayco (AUS)
La doyenne Mavi Garcia (41 ans) est encore capable de bien figurer au classement général, comme l'Italienne Monica Trinca Colonel. Silke Smulders, qui continue de progresser sur les parcours accidentés, pourrait se mettre en évidence en échappée.
Movistar (ESP)
Deuxième du Giro et de la Vuelta, Marlen Reusser a une belle chance de figurer sur le podium final du Tour cette année, accompagnée de la redoutable coursière Liane Lippert notamment. Surtout, l'équipe Movistar monte en puissance, comptant déjà plus de victoires cette année (16) qu'en 2024 (15).
Roland Le Dévoluy (SUI)
L'équipe suisse devra se montrer en échappée pour exister sur le Tour 2025. Meilleures cartes de leur formation sur le papier, Morgane Coston et Petra Stiasny sont de bonnes grimpeuses, mais ne devraient pas pouvoir lutter face aux meilleures à la pédale.
St Michel-Preference Home-Auber 93 (FRA)
L'équipe française invitée a perdu sa pépite Marion Bunel, 11e à l'Alpe d'Huez l'année dernière, qui court désormais sous les couleurs de Visma-Lease a bike. St Michel-Preference Home-Auber 93 devrait donc tenter des échappées publicitaires, par exemple avec la grimpeuse Ségolène Thomas ou la puncheuse-sprinteuse Lucie Fityus, qui montent en puissance cette saison.
Picnic PostNL (HOL)
SD Worx-Protime (HOL)
En perdant Demi Vollering, SD Worx-Protime a aussi perdu ses chances de victoire finale. Pour les étapes en revanche, elle est toujours l'équipe la mieux armée : Lorena Wiebes reste la meilleure sprinteuse du peloton, Lotte Kopecky peut briller sur tous les terrains, et Mischa Bredewold comme Blanka Vas sont de redoutables puncheuses. Pour son retour après trois ans d'une retraite finalement temporaire, Anna Van der Breggen (35 ans) reste capable de finir dans le top 5 du classement général.
Visma-Lease a bike (HOL)
Maillot Vert de la Grande Boucle en 2022 et 2024, Marianne Vos est toujours l'une des meilleures coureuses du peloton à 38 ans. Le plafond en montagne de Pauline Ferrand-Prévôt, qui s'est entièrement consacrée à la route pour la première fois cette année, reste une inconnue, mais elle peut espérer un bon classement général, épaulée par la très prometteuse Marion Bunel (20 ans).
UAE Team ADQ (EAU)
Uno-X Mobility (NOR)
Comme la plupart des équipes qui n'ont jamais gagné sur le Tour de France femmes, Uno-X Mobility doit miser sur les échappées pour s'illustrer. La jeune sprinteuse Linda Zanetti (23 ans) compte déjà cinq podiums cette saison et sera l'une des principales cartes de la formation norvégienne, avec Mie Bjorndal Ottestad.
VolkerWessels (HOL)
De retour sur le Tour de France femmes après une première participation en 2022 (sous le nom de Parkhotel Valkenburg), l'équipe néerlandaise n'a pas de tête de proue majeure. Mais Eline Jansen et Margot Vanpachtenbeke sont de bonnes puncheuses.
Winspace Orange Seal (FRA)
Comme VolkerWessels, la formation française fait son retour sur le Tour après deux ans d'absence. Elle sera certainement cantonnée aux échappées, avec Karolina Perekitko et Nadia Gontova comme meilleures coureuses sur le papier.
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«Garder l'équipe de France en haut de l'affiche» : malgré les absences, Fauthoux ambitieux avant l'EuroBasket

Le sélectionneur de l'équipe de France de basket a fait le point ce mardi, quelques jours après le début du rassemblement et à un peu moins d'un mois du début de l'Euro. Le match d'entraînement face au Sénégal lundi à huis clos : «Très intéressant, on a pu voir certaines choses intéressantes pour nous. Après trois jours, on voulait voir comment les joueurs allaient se comporter en termes de sérieux et d'engagement. Ces trois jours ont été chargés, beaucoup d'entraînements, les tests médicaux et les entretiens individuels, qui se sont très bien passés. Pour revenir au match face au Sénégal, c'était intéressant face à une équipe en forme. Belle cohésion, bel engagement. On a hâte de faire le stage à la Roche-sur-Yon pour intégrer les joueurs NBA.» Processus de sélection : «Il n'y a rien de défini pour savoir à quel moment on va sortir les joueurs. Cette équipe est en pleine reconstruction. Des joueurs sont partis à la retraite. On n'a pas pris Andrew Albicy dans un secteur en reconstruction aussi. S'il y a des choix faciles on les fera, sinon on prendra notre temps. On veut le meilleur résultat possible. On a une vague idée.» Publicité Ambitions : «Construire la meilleure équipe possible, on a un groupe et une équipe à bâtir, une hiérarchie aussi. Après deux ou trois semaines, on pourra fixer des objectifs plus précis. Les joueurs, le staff, le président, on vise la plus haute marche. D'autres équipes ont le même objectif. Beaucoup de secteurs repartent de zéro avec des absents majeurs, on a moins de marge mais ça ne veut pas dire qu'on ne peut pas avoir une équipe très compétitive.» Gerschon Yabusele : «Comme chaque joueur un peu vétéran, il n'est pas le seul, j'attends qu'il accompagne bien le groupe, aussi Vincent Poirier, Isaia Cordinier, Mam Jaiteh… Ils doivent encadrer les joueurs sur et en dehors du terrain. Quand des joueurs ont des capes, il faut savoir être les grands frères pour les autres.» Les entretiens individuels : «C'était très intéressant, il y a pas mal de concurrences sur des postes clés en reconstruction. Il ressort cette volonté de faire partie de l'équipe à tout prix en mettant si nécessaire son ego de côté. Ce n'est pas forcément le même rôle en sélection qu'en club. Ça permet d'avancer dans la sérénité d'entendre notre discours mais aussi de connaître leurs attentes. On veut garder l'équipe de France en haut de l'affiche en partageant une belle aventure humaine. On veut une équipe avec des valeurs et une cohésion totale.» Ousmane Dieng et les jeunes joueurs NBA inconnus en France : «Si je les connais mieux maintenant ? Sur le terrain, non, on ne les a pas vus jouer, même s'ils ont travaillé individuellement. On a pu échanger avec eux. C'est important de connaître le caractère des uns et des autres. Ils ont en tout cas hâte de porter le maillot de l'équipe de France. C'est pour cela que j'ai hâte de voir tout le monde sur le terrain, on va les observer, les évaluer. J'ai parlé d'évaluation aussi dans ces entretiens, certains sont partis jeunes aux États-Unis et n'ont que peu jouer. Ils veulent prouver qu'ils ont le niveau international.» L'expérience ne s'achète pas mais se construit. Freddy Fauthoux L'absence de Mathias Lessort, présélectionné mais finalement forfait : «On a vu son impact aux JO et en Euroligue. On peut avoir l'un des meilleurs secteurs intérieurs au monde mais le vivier est énorme. Vincent Poirier et Mam Jaiteh au moins ont un cursus Euroligue qui fait envie à beaucoup de nations… Ça a été un crève-cœur pour Mathias, il voulait absolument faire partie de cette campagne. Mais sa cheville a dit non… Il va nous manquer, c'est sûr. C'est encore une marge qui se réduit sans lui. Mais je crois à la force du collectif et de l'équipe. Les joueurs qui sont là sont d'un excellent niveau. On va essayer de construire le meilleur groupe possible.» Publicité Théo Malédon : «On connaît le parcours de Théo. Sa décision de revenir jouer en Europe et à l'Asvel a été importante pour lui, il a pu montrer tout son talent. On a beaucoup de joueurs qui ont performé à ce poste, Matthew Strazel, Sylvain Francisco, Franck Ntilikina et Théo Malédon. On prendra peut-être les quatre ou non, il n'y a pas de hiérarchie. On peut presque ajouter Nadir Hifi et Elie Okobo. Les 15 premiers jours seront donc très intéressants pour la suite.» Le capitaine : «On devrait valider cela demain (mercredi). Il faut que ce soit un vrai relais sur et en dehors du terrain. Il faut qu'on parle avec lui et les cadres.» État d'esprit : «Beaucoup de joie excitation et hâte d'y aller. C'est un honneur d'être à la tête de l'équipe de France de basket, on représente des clubs, des amateurs, des gens qui aiment le basket. C'est une responsabilité forte mais qui donne envie d'y aller. Il reste un mois avant le premier match officiel, beaucoup de travail à faire mais l'envie et la passion sont là». Comment profiter de l'héritage des JO : «L'identité de toutes les équipes de France, c'est être fort défensivement, on ne peut pas passer à côté. C'est très dur de travailler en si peu de temps sur l'expérience qui ne s'achète pas mais se construit. On va essayer de gagner du temps vite sur les matchs de préparation, montrer des images du passé. Mais se baser sur une défense forte et aussi sur ce que l'équipe a fait sur la deuxième partie des JO». Propos recueillis en conférence de presse

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